10 juillet 2019 | International, C4ISR, Autre défense

Can machine learning decipher an overcrowded radio spectrum?

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The Department of Defense is pursuing a $4.7 million initiative to use machine learning to decipher radio signals.

The Defense Advanced Research Projects Agency awarded funding to BAE Systems, a British defense company, for its Controllable Hardware Integration for Machine-learning Enabled Real-time Adaptivity (CHIMERA) solution.

The CHIMERA solution uses machine learning to interpret radio frequency signals in crowded electromagnetic spectrum environments.

“CHIMERA brings the flexibility of a software solution to hardware,” said Dave Logan, vice president and general manager of Command, Control, Communications, Computers, Intelligence, Surveillance, and Reconnaissance Systems at BAE Systems in a news release. “Machine-learning is on the verge of revolutionizing signals intelligence technology, just as it has in other industries.”

This contract is contingent on the completion of preset milestones and works alongside the Radio Frequency Machine Learning Systems (RFMLS) program, which was previously awarded to integrate data-driven machine learning algorithms.

https://www.c4isrnet.com/artificial-intelligence/2019/07/09/can-machine-learning-decipher-an-overcrowded-radio-spectrum/

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    26 septembre 2018 | International, Aérospatial, Terrestre

    France: Budget 2019: l'armée se débarrasse de ses vieilleries

    Par Romain Rosso Avec 35,9 milliards d'euros (+5% par rapport à l'an dernier), la France consacre 1,82% de la richesse nationale à sa défense. Longtemps en déflation, le budget de la Défense est désormais une priorité nationale. A l'heure de la réduction de la dépense publique, le ministère des Armées est le grand gagnant des arbitrages budgétaires pour 2019. Les Armées présentent un budget en hausse de 5% par rapport à 2018, pour un montant de 35,9 milliards d'euros (hors pensions)*. "Pour mesurer le chemin parcouru, souligne l'hôtel de Brienne, c'est près de 4 milliards de plus qu'en 2016, après les attentats de Paris et l'actualisation de la précédente Loi de programmation militaire (LPM) [sous François Hollande, ndlr]. Pendant la même période, les crédits alloués à l'équipement des forces armées ont progressé, eux, de 2,5 milliards d'euros, soit 19,5 milliards d'euros en 2019." La question des crédits accordés à la défense est devenue sensible depuis la démission fracassante de l'ancien chef d'état-major des armées, le général Pierre de Villiers, en juillet 2017. L'officier s'était alors fait rabroué par le président de la République après avoir critiqué des coupes budgétaires. Pas de surprise cette année : avec une augmentation de 1,7 milliard d'euros, ce budget 2019 suit une trajectoire conforme à celle inscrite dans la nouvelle LPM, votée en juin dernier. Celle-ci prévoit une hausse substantielle, de l'ordre de 295 milliards d'euros, à l'horizon 2025. Renouveler des avions et des blindés hors d''ge Ces sommes permettront de "régénérer", c'est-à-dire de réparer, et surtout de renouveler certaines capacités les plus anciennes, dont les armées ont cruellement besoin lors des nombreuses opérations extérieures qu'elles mènent, notamment en Afrique et au Levant sur le thé'tre irako-syrien. Ainsi, le premier avion ravitailleur MRTT (un gros airbus A330) doit enfin arriver, en octobre, en remplacement des appareils actuels qui datent des années 1960. Douze appareils neufs sont prévus d'ici à 2023. Six drones Reaper seront aussi livrés : plusieurs sont déjà déployés au Sahel, où ils sont des outils indispensables dans la guerre contre les groupes armées djihadistes. Nouveauté : ces drones seront armés, comme l'a annoncé la ministre l'an dernier. Le futur porte-avions à l'étude L'armée de terre, elle, attend la livraison de 89 véhicules Griffon, un blindé "multirôle" à 6 roues motrices, pouvant partager en temps réel ses données avec les autres, à la place des VAB, eux aussi, hors d''ge. Quant à la marine, elle recevra une frégate multimissions (Fremm). Autre bonne nouvelle pour les marins : les études pour le futur porte-avions, qui doit succéder au Charles-de-Gaulle d'ici à 2040, ont été lancées. Si l'hypothèse d'un second navire étendard fait partie de la réflexion, il est peu probable qu'elle soit retenue, en raison du coût d'un tel outil, dans un horizon stratégique imprévisible et lointain. "Le choix se fera après la LPM", glisse-t-on à Brienne. Dans les prochaines années, un autre débat risque d'être encore plus animé, lié à la dissuasion nucléaire. 400 millions d'euros supplémentaires viennent d'être alloués à la modernisation de ses deux composantes (aérienne et navale) : missile, système de transmission, programme de simulation... Avec 4,45 milliards d'euros consacrés en 2019 à l'armement atomique, la "clef de voûte" de la défense nationale consume près de 23% du budget d'équipement des armées et 12% du budget global. Ce montant va aller croissant à partir de 2020. Certains, notamment dans l'armée de terre, craignent que cela ne se fasse aux dépens de l'armement conventionnel. Améliorer le quotidien des soldats Il n'y a pas que les grands équipements. Florence Parly en fait son mantra : la LPM, dite à "hauteur d'homme", prévoit d'améliorer le quotidien du soldat. Par exemple, en renforçant les petits équipements individuels, tels que les treillis intégrant une protection contre le feu ou les gilets pare-balles - 25 000, sur les 55 000 prévus à terme, doivent être livrés. De même que 8 000 nouveaux fusils d'assaut allemand HK 416, qui remplacent depuis peu les fameux Famas français. Quant au "plan familles", il bénéficiera de 57 millions d'euros supplémentaires. Au total, 450 postes seront créés, dont les trois quarts iront au renseignement et à la cyberdéfense. Le ministère des Armées affiche désormais la volonté de rendre son budget "sincère". Ainsi, les provisions des opérations extérieures (opex), naguère sous-évaluées en début d'exercice, progressent de 200 millions d'euros, à hauteur de 850 millions d'euros. Elles seront progressivement portées à 1,1 milliard d'euros, proche de leur coût réel. Si, malgré tout, des surcoûts devaient survenir, ils seraient pris en charge par la solidarité interministérielle, indique-t-on à Brienne. Dans le cas inverse - peu probable dans le contexte actuel - où les opex coûteraient moins cher dans l'avenir, les Armées conserveraient le surplus. Aux armées désormais de payer les "opex" Si la franchise a des vertus, elle n'en masque pas moins un changement de périmètre : "Tout ce qui concourt à rendre 'sincère' le budget est une bonne chose, relevait, dans une interview à L'Express, le général Pierre de Villiers, ancien chef d'état-major des armées. Toutefois, je note que, dans le programme présidentiel [du candidat Macron], le budget des armées 2025 devait s'élever à 50 milliards d'euros courants, hors pensions et hors opex." En clair, ce sont désormais les armées qui paient le surcoût des opérations extérieures et non plus la solidarité gouvernementale. Quant à la fameuse trajectoire prévue, elle sera portée à 3 milliards d'euros supplémentaires par an [soit 44 milliards d'euros en totalité] à partir de 2023, c'est-à-dire au-delà du quinquennat. * Une première augmentation de 1,8 milliard avait été décidée l'an dernier, qui a couvert les engagements de la précédente mandature. https://www.lexpress.fr/actualite/politique/budget-2019-l-armee-se-debarrasse-de-ses-vieilleries_2036930.html

  • When the challenge of coronavirus becomes a catalyst to change

    19 août 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    When the challenge of coronavirus becomes a catalyst to change

    By: Mike Gruss One way to understand how the United States' largest defense companies are responding to the coronavirus pandemic is to listen to what their leaders said on the most recent round of earnings calls. Consider this anecdote from General Dynamics. Phebe Novakovic, the company's chief executive, told analysts in late July that when COVID-19 struck, “our classified customers closed their sites to all but mission-essential employees. This impacted revenue and earnings and will continue to do so. Some of IT services' highest-margin programs have come to a hard stop because of COVID-19.” Novakovic described the pandemic as a time of “significant uncertainty.” That story was not unusual. David Calhoun, Boeing's CEO, described this as “a historically dynamic and challenging time.” Greg Hayes, Raytheon Technologies' top executive, opened his second-quarter call by stating: “As everyone knows, these last several months have been incredibly challenging.” And Bill Brown, the CEO of L3Harris, said: “The pandemic has challenged us all to find new ways of working effectively.” To be clear, defense contractors have lost roughly 20 percent of their value in the last six months, by tracking exchange-traded funds. That's the worst run for publicly traded companies in at least a decade. So what to make of this? James Taiclet, Lockheed Martin's new leader, said his philosophy is that there may be “an opportunity for us if there is a downturn, we're going to look at the silver linings that may be there.” He was talking about mergers and acquisitions. But defense companies of all sizes should look for another opportunity: a reason to operate differently, not an excuse to get back to basics. Leaders should reexamine how to embrace new talent, how to effectively telework, and how to add new equipment or partnerships with unexpected sources. Military leaders for years have said they value agility. Now they will get to watch firsthand who changes, who is prepared for the long term, who adapts and who merely talks about adapting. These “challenges” can give acquisition officials a reason to reward agility. But back to the earnings calls. Officials hinted about what may happen next, before we — fingers crossed — enter a post-pandemic world. Lockheed's Kenneth Possenriede, the company's chief financial officer, said that while solicitations may be slower getting out the door, final deadlines have not changed. Brown at L3Harris said: “We believe that the heightened threat environment will drive the trajectory of U.S military spending regardless of the election.” Novakovic seconded that notion. “There's a general consensus that the threat has not dissipated,” she said. “In fact, arguably some of our potential adversaries have raised additional questions. ... We'll see going forward, but [I'm] not hearing a lot at the grassroots level on ... any pending defense cuts.” The threat may not have changed. Nor may the business of defense. Yet. But it's impossible to ignore that almost everything else has. https://www.defensenews.com/opinion/2020/08/17/when-the-challenge-of-coronavirus-becomes-a-catalyst-to-change/

  • SOCOM awards $47M for radio software

    17 septembre 2018 | International, C4ISR

    SOCOM awards $47M for radio software

    By: Kelsey Atherton U.S. Special Operations Command awarded the Sierra Nevada Corporation Aug. 23 a contract worth $47 million to keep supplying and maintaining the software it uses in to ensure radios can communicate with one another across frequencies. Dubbed, TRAX, for “Tactical Radio Application eXtension,” the software “fills a [redacted] role in the Special Operations air-to-ground communication architecture," and it works on Android devices, too. The contract award is available online, and while the text omits several details, what can be seen is clear on why Sierra Nevada Corporation is the only contractor that can meet this need. Convenience is one factor. Sierra Nevada developed the software, so it makes sense to continue, and funding a new or redundant development to work in the same way and with the same interoperability would be added cost for no meaningful, tangible benefit. There is also the matter of specific intellectual property. Sierra Nevada owns the TRAX software. Keeping the TRAX program with the same provider avoids the legal battles and technical issues that could come with trying to replicate it elsewhere. While SOCOM solicited information about an alternative capability, the justification statement argues that whatever that redacted capability is, the decision was made to single track it. In the field, TRAX translates data protocols, allowing for communication across devices that otherwise couldn't speak to each other. While military machines from radios up through planes are designed with the knowledge that they will need to be used together, and often built around shared protocols to match, reality is messier than planning, so a reliable software medium is one way to retain a capability even if the equipment on hand isn't the equipment that was intended. Full article: https://www.c4isrnet.com/c2-comms/2018/09/14/socom-awards-47-million-for-radio-software

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