16 janvier 2019 | Local, Naval

Business group wants National Shipbuilding Strategy reopened for Quebec shipyard

Murray Brewster · CBC News

Association puts pressure on Liberals to direct new projects to Davie yard

A Quebec-based business association claiming to represent over 1,000 companies inside and outside the province is launching a high-profile campaign to convince the Liberal government to reopen the oft-maligned National Shipbuilding Strategy.

The group is demanding the federal government include the Davie shipyard, in Levis, Que., in the policy and plans to make it a major issue in the October federal election.

The Association of Davie Shipbuilding Suppliers, which has been around for about a year, represents companies that do business with the shipyard.

It plans an online campaign, beginning Thursday, and will lobby chambers of commerce as well as federal and provincial politicians.

It is hoping to use its extensive membership and thousands of associated jobs to put pressure on the government in an election year to direct the building of additional coast guard ships exclusively to the Quebec yard, one of the oldest in the country.

The shipbuilding strategy, conceived under the previous Conservative government but embraced by the Liberals, has turned into a giant sinkhole for federal cash with little to show for it, Simon Maltais, the association's vice-president, told CBC News.

"We can call it a boondoggle," he said. "It has been seven years in the making. At the moment, there is absolutely no operational ship afloat and working for Canada."

The Conservatives under former prime minister Stephen Harper chose two shipyards — Irving Shipbuilding of Halifax and Seaspan in Vancouver — as the government's go-to companies for the construction of new warships and civilian vessels.

The Davie shipyard was, at the time, emerging from bankruptcy, and under the strategy it only became eligible for repair and refit work on existing vessels and perhaps the construction of smaller vessels.

Delays and cost overruns

Irving and Seaspan have invested hundreds of millions of dollars in modernizing their yards and have just begun to produce new vessels.

The first Arctic offshore patrol ship for the navy is being outfitted in Halifax and others are in various stages of construction.

Three offshore fisheries science vessels, constructed in Vancouver for the coast guard, are undergoing repairs after defective welds were discovered last year.

The entire program has been beset with delays and rising cost estimates.

Last year, Public Services and Procurement Canada refused to release a revised timeline for the delivery of ships from Seaspan, including construction of a heavy icebreaker and the navy's two joint support ships.

Politics and shipbuilding

Maltais said it makes no sense to keep excluding Davie from full-fledged ship construction work when much of the coast fleet is over three decades old and in dire need of replacement.

Refreshing the strategy would insure the federal government gets the ships it needs and Quebec companies "get their fair share" of the program.

"We know it's an electoral year and, yes, we want the federal government and the people in the election to talk about it," he said.

Maltais clams members of his association have been talking to federal politicians on both sides of the aisle in the province and they support the idea.

"They seem to be on the same page as us," he said.

Defence analyst Dave Perry, an expert in procurement and the shipbuilding program, said the political campaign has the potential to make the federal government uncomfortable, but he doubts it will achieve the objective of reopening the strategy to add a third shipyard.

"That would certainly be a major change in the strategy," he said. "There had been a view of doing something less than that."

The proposal being put forward by the association would not take any work from Halifax or Vancouver, but instead direct all new work, on additional icebreakers for example, to the Quebec yard.

Just recently, Davie was awarded a contract to convert three civilian icebreakers for coast guard use, but the association argues the need is greater.

The federal government did debate an overhaul of the strategy, according to documents obtained and published by CBC News last summer.

The size and scope of the "policy refresh" was not made clear in a heavily redacted memo, dated Jan. 23, 2018.

So far, nothing has taken place and government officials have insisted they were still committed to the two-yard strategy.

During the last election campaign, the Liberals pledged to fix the "broken" procurement system and invest heavily in the navy.

https://www.cbc.ca/news/politics/business-group-wants-national-shipbuilding-strategy-reopened-for-quebec-shipyard-1.4979592

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    Feuille de route – Transformation en brigade du groupement tactique de la présence avancée renforcée (PAR) en Lettonie

    Nous, les ministres de la Défense de la République de Lettonie et de la Défense nationale du Canada, reconnaissons nos intérêts communs en matière de paix et de sécurité internationales et faisons preuve d’un engagement inébranlable à l’égard de nos valeurs communes, d’un ordre international fondé sur des règles et de la coopération internationale. Dans le contexte de la guerre dévastatrice et illégale menée par la Russie en Ukraine et en réponse aux actions agressives et déstabilisatrices continues de la Russie, les Alliés ont convenu, au Sommet de 2022 à Madrid, qu’un dispositif militaire plus robuste, polyvalent et adaptable s’imposait pour accroître la présence militaire en Europe, en particulier le long du flanc est de l’OTAN, à des fins de dissuasion et de défense. Au Sommet de Madrid en juin 2022, les ministres de la Défense du Canada et de la Lettonie ont signé une déclaration conjointe témoignant de l’engagement des deux pays à renforcer la dissuasion et la défense sur le flanc oriental de l’OTAN et à renforcer la sécurité de la région euro-atlantique. La Russie continue de représenter la menace la plus importante et la plus directe pour la sécurité des Alliés. À ce titre, nous reconnaissons l’importance de la posture à long terme de l’OTAN, que nous tenons à mettre en œuvre de manière ferme et rapide. Cette feuille de route présente notre plan commun pour la mise en œuvre des engagements pris au Sommet de Madrid et dans la déclaration conjointe signée par nos deux pays. La mise en œuvre de cette feuille de route renforcera davantage la présence de l’OTAN en Lettonie et notre capacité à contrer, aux côtés des Alliés fournisseurs de troupes, les menaces posées par la Russie et à y réagir plus rapidement et plus efficacement. Ceci entraînera une augmentation considérable des forces alliées déployées de façon persistante en Lettonie et contribuera ainsi à notre objectif commun de protéger nos populations et de défendre chaque pouce du territoire Allié. La feuille de route décrit l’approche en trois phases (à savoir préparation, construction et stabilisation) adoptée par le Canada pour transformer l’actuel groupement tactique multinational de présence avancée renforcée dirigé par le Canada en une brigade multinationale de présence avancée renforcée apte au combat. Elle souligne également les investissements de la Lettonie dans le renforcement des capacités militaires pour améliorer la défense du flanc oriental de l’OTAN. Phase de préparation : La phase de préparation initiale a commencé peu après le sommet des dirigeants des pays de l’OTAN à Madrid en juin 2022, et beaucoup de progrès a déjà été accomplis. Le Canada a accueilli la première conférence multinationale de la brigade de présence avancée renforcée en octobre 2022, qui sera suivie de conférences régulières à l’avenir; Le Canada a officiellement affecté à la Lettonie ses forces d’intervention terrestres consacrées à l’OTAN, ce qui constitue une première étape importante pour la mise en place d’une brigade; Pour rendre cette affectation possible, l’Armée canadienne a restructuré son plan de gestion de l’état de préparation pour affecter un groupe-brigade mécanisé du Canada au soutien des mesures de dissuasion et de défense en Lettonie, y compris des forces déployées à l’avant et des renforts basés au Canada; En plus des approvisionnements déjà annoncés pour répondre aux besoins opérationnels urgents du groupement tactique de présence avancée renforcée, à savoir des systèmes de missiles anti-X portatifs, des systèmes de lutte contre les aéronefs sans équipage et des systèmes de défense aérienne, le Canada continuera d’investir dans les capacités et l’infrastructure pour soutenir la brigade, notamment en assurant le déploiement avancé de plus d’équipement et de matériel en Lettonie; En janvier 2023, le Canada a déployé l’élément de commandement avancé en Lettonie pour se préparer à l’intégration du quartier général de la brigade dirigée par le Canada à la Division multinationale Nord et à l’arrivée future des capacités et des troupes de la brigade; La Lettonie a adopté une loi sur le développement de la nouvelle zone d’entraînement militaire « Selonia », qui s’étend sur 25 000 hectares. Elle a octroyé un financement national de 38 millions d’euros pour la première phase du développement de cette zone d’entraînement; La Lettonie a affecté des fonds à l’acquisition de systèmes de défense aérienne moyenne portée, de systèmes de lance-roquettes et de systèmes de défense côtière; La Lettonie a instauré un système de conscription afin d’augmenter la force de frappe des Forces armées nationales lettones (FANL). Phase de construction : Le Canada et les Alliés achemineront l’essentiel des forces et des équipements de la brigade en Lettonie. À la phase de construction, les efforts de constitution de la brigade et de développement de l’infrastructure devront être harmonisés. La brigade de présence avancée renforcée commencera graduellement à rendre compte directement au quartier général de la Division multinationale Nord; Le Canada renforcera sa présence en Lettonie en déployant un escadron de chars de l’Armée canadienne composé de 15 chars de combat Leopard 2 et du personnel connexe d’ici la fin de 2023; À l’automne 2024, la brigade de présence avancée renforcée effectuera son premier exercice de brigade et l’évaluation de la préparation au combat de l’OTAN; Le groupement tactique de présence avancée renforcée passera de la brigade d’infanterie mécanisée lettone à la brigade de présence avancée renforcée dirigée par le Canada; La constitution de la brigade devrait s’achever en 2025, ce qui entraînera une augmentation importante du nombre de soldats des forces armées canadiennes et multinationales déployées de façon persistante sur le terrain en Lettonie, ainsi que des forces supplémentaires en disponibilité opérationnelle élevée affectées depuis leur pays d’origine au renforcement de la Lettonie; À l’automne 2025, la Lettonie achèvera la construction de la première phase de la zone d’entraînement « Selonia », qui comprendra un espace habitable et des champs de tir, offrant ainsi les premières possibilités d’entraînement et d’exercices militaires dans la région. Entre-temps, les infrastructures actuelles et les nouvelles infrastructures supplémentaires seront disponibles pour faciliter l’établissement de la brigade de présence avancée renforcée; La FANL mettra en service des systèmes de défense aérienne moyenne portée et des systèmes de défense côtière, renforçant ainsi les capacités habilitantes; Le système de conscription est stabilisé et les unités de la FANL bénéficient d’un flux régulier de personnel; En tant qu’un des pays-cadres du quartier général de la Division multinationale Nord, la Lettonie élaborera un plan pour le développement futur de la Division multinationale Nord. Phase de stabilisation : À la phase de stabilisation, la brigade multinationale de présence avancée renforcée dirigée par le Canada en Lettonie sera composée d’une proportion importante de forces déployées à l’avant. Des stocks et des équipements seront prépositionnés pour faciliter le recours à des forces d’appoint rapidement déployables et prêtes à intervenir basées au Canada et dans l’ensemble des pays alliés fournisseurs de troupes. Cette phase vise à maintenir l’état de préparation et à démontrer la capacité de la brigade à prendre des mesures de dissuasion et de défense contre toute agression potentielle. D’ici 2026, le Canada aura mis en œuvre l’intégralité des capacités de la brigade déployée de façon persistante en Lettonie; La brigade de présence avancée renforcée se déploiera et s’exercera de manière épisodique afin de maintenir son état de préparation et de démontrer ses capacités; La FANL mettra en service les systèmes de lance-roquettes, renforçant ainsi davantage les capacités habilitantes; Jusqu’à 2 200 membres des Forces armées canadiennes seront déployés de façon persistante dans le cadre de la présence avancée renforcée et des éléments d’appui en Lettonie, et le Canada sera prêt à en déployer des centaines d’autres en cas de besoin; La Lettonie augmentera progressivement la capacité de la zone d’entraînement militaire « Selonia » pour permettre des exercices de brigade; En tant qu’un des pays-cadres du quartier général de la Division multinationale Nord, la Lettonie dirigera le développement de la Division multinationale Nord en vue d’en faire une division de combat dotée de toutes les ressources et de tous les moyens nécessaires. Cette feuille de route constitue le fondement d’un plan durable visant à concrétiser les engagements pris au Sommet de Madrid en juin 2022 et dans la déclaration commune signée par le Canada et la Lettonie. Elle témoigne de l’engagement du Canada et de la Lettonie à l’égard de la dissuasion et de la défense, ainsi que de la sécurité de la région euro-atlantique, des pays de l’OTAN et de leurs Alliés. Nous continuerons à faire front commun contre les agressions et à nous montrer solidaires contre les éléments qui menacent notre sécurité individuelle et collective. Signé à Camp Adazi le 10e jour de juillet de l’année 2023 en trois (3) copies, en anglais, en français et en letton. Pour le ministère de la Défense nationale de la république de Lettonie Ināra Mūrniece, Ministre de la Défense, République de Lettonie Pour le ministère de la Défense du Canada Anita Anand, Ministre de la Défense nationale, Canada https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2023/07/feuille-de-route--transformation-en-brigade-du-groupement-tactique-de-la-presence-avancee-renforcee-par-en-lettonie.html

  • Davie souhaite une «grappe maritime»

    24 janvier 2019 | Local, Naval

    Davie souhaite une «grappe maritime»

    JEAN-MICHEL GENOIS GAGNON Le Soleil En prévision du passage du premier ministre du Canada dans la capitale vendredi, deux joueurs de l'industrie maritime du Québec dressent leurs demandes à Justin Trudeau en lien avec la Stratégie nationale de construction navale. Si rien n'est fait, de l'expertise et des emplois sont en danger. Chantier Davie souhaite que le Québec s'inspire de l'Europe pour faire évoluer sa stratégie navale. L'entreprise demande au gouvernement provincial de mettre sur pied une grappe maritime qui «permettrait de générer des milliards de dollars en retombées économiques», a appris Le Soleil. Dans un document présenté à l'occasion des consultations prébudgétaires, Davie dresse le portrait de sa situation ainsi que ses prévisions pour les années à venir. Si rien n'est fait, le chantier maritime de Lévis pourrait connaître de nouveau des jours sombres entre 2019 et 2020. Période où le carnet de commandes est presque à sec. De 1331 travailleurs en 2017, Davie sert de gagne-pain aujourd'hui à environ 200 personnes. Rappelons qu'au moment où le groupe Inocea, nouveau propriétaire, a pris les commandes en 2012, il n'y avait qu'une poignée de salariés, notamment des agents de sécurité et des employés d'entretien. Pour éviter d'autres problèmes de santé, Davie propose de faire du Québec un centre d'excellence pour l'Arctique spécialisé dans une niche de technologies et de classes de navires. Davie lance comme idée la création d'une grappe maritime, comme on retrouve en Finlande, en Norvège, aux Pays-Bas, en France et en Italie. «L'avantage concurrentiel d'une grappe maritime réside dans son intégralité et ses connexions, dans ses connaissances et compétences avancées ainsi que dans sa spécialisation régionale», notent des responsables du chantier maritime. «Les fournisseurs qui font affaire avec l'industrie maritime, même s'ils ne sont pas traditionnellement liés à celle-ci, augmentent considérablement leurs opportunités d'exportation», ajoutent-ils. Ces derniers estiment que le Québec possède actuellement tous les ingrédients pour créer une grappe maritime prospère. «Davie a construit le premier traversier au GNL en Amérique du Nord, Chantier Forillon a construit le premier traversier à piles en Amérique du Nord et Terragon de Montréal est le leader mondial des technologies de déchets marins écologiques». Stratégie maritime Pour y parvenir, Davie demande toutefois au gouvernement provincial de faire davantage pression sur Ottawa afin que le Québec obtienne sa juste part des 100 milliards $ investis dans la Stratégie nationale de construction navale. L'organisation réitère que ses rivaux n'ont toujours pas livré la marchandise. L'entreprise de Lévis juge que 23 % de la cagnotte de 100 milliards $ aiderait à faire de la province un leader à l'international. Un montant qui générerait «50 milliards $» en retombées économiques pour le Québec sur une période de 20 ans et qui assurerait le maintien de 8000 à 12 000 emplois directs et indirects. «Munie d'une telle base, la chaîne de valeur de la construction navale au Québec pourrait rivaliser avec les grands pays constructeurs navals européens», fait valoir Davie. «En 2016, la grappe maritime norvégienne a rapporté plus de 9,7 milliards $, a atteint une création de valeur de 2,7 milliards $ et a employé 18 000 personnes.» En décembre dernier, l'Assemblée nationale a adopté à l'unanimité une motion visant à appuyer la croisade du chantier maritime. Québec, qui reconnaît ainsi l'expertise de l'entreprise, réclame qu'Ottawa ajuste sa Stratégie nationale de construction navale et octroie, à court terme, à Davie un contrat pour un second navire ravitailleur de la classe Resolve. Cet accord qui vise la construction du navire Obelix pour la Marine royale canadienne — son jumeau l'Asterix avait coûté 650 millions $ — pourrait agir comme bouée de sauvetage et assurer du boulot à 1500 travailleurs. Sans le feu vert pour la construction de ce nouveau navire, Davie ne cache pas que certaines périodes pourraient être plus difficiles, et ce, même si des contrats ont récemment été signés. Contrat mal présenté Dans son document, la direction du chantier maritime affirme que le contrat de 610 millions $ lui étant octroyé par Ottawa pour la construction de trois brise-glaces pour la Garde côtière a été «faussement présenté». «En réalité, la vaste majorité de ce montant a servi à l'achat des navires déjà construits à l'étranger, et non pas pour les travaux ni pour des emplois au chantier». Quant aux travaux annoncés pour l'entretien des 12 frégates de la classe Halifax de la Marine royale canadienne, des contrats de 7 milliards $, Davie rappelle que ces chantiers ne commenceront que vers la fin 2020 et que le travail sera réparti entre les trois grands joueurs au pays, Davie, Irving Shipyards (Halifax) et Seaspan Shipyards (Victoria). «Les intervalles entre les travaux pour chacun de ces trois navires peuvent atteindre jusqu'à 9 mois. Cette charge de travail sporadique n'est pas suffisante pour maintenir le plus grand chantier naval canadien ni pour assurer des emplois stables et de valeur aux travailleurs de près de 900 entreprises locales», prévient Davie. https://www.latribune.ca/actualites/le-fil-groupe-capitales-medias/davie-souhaite-une-grappe-maritime-afc7b5ef4a1d96e31263d006e57e7b8a

  • Journée Innovation MRO et défense

    7 février 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Journée Innovation MRO et défense

    Journée Innovation MRO et défense Date de l'événement 22 avril 2020 Lieu de l'événement Palais des congrès de Montréal 1001 Jean Paul Riopelle Pl, Montreal, QC H2Z 1H5 Place Jean-Paul-Riopelle, Montréal, QC H2Z 1H5 Contact CHARLOTTE LARAMÉE charlotte.laramee@aeromontreal.ca Retour à la liste ÉVÉNEMENT AÉRO MONTRÉAL Cette année, nous invitons les secteurs de la défense et du MRO à participer à un événement combiné sur une journée. Les participants pourront assister aux conférences de leur choix sur le thème de la défense ou du MRO le matin avant de participer à des ateliers ou à des rencontres B2B et à la visite de la zone d'exposition l'après-midi. Volet au programme défense Cet événement va fournir un aperçu détaillé des programmes d'innovation en défense et des besoins du secteur pour les prochaines années qu'il s'agisse d'innovation, de technologies de ruptures ou encore de cybersécurité. Les sessions B2B/B2G seront complétées de plusieurs conférences utiles sur le développement d'affaires en matière de défense au Canada et sur le marché des exportations. Volet au programme MRO A l'ère de la globalisation, le secteur aérospatial doit faire face à la pression grandissante de la concurrence étrangère et rencontre de nouveaux enjeux, qu'il s'agisse de la pénurie de main d'œuvre ou des changements climatiques. Cette journée conférence apportera des pistes de solutions aux entreprises du secteur MRO qui s'appuieront sur l'innovation, les nouveaux modèles d'affaires ou encore la réglementation. Vous pourrez aussi rencontrer en format B2B / B2G ou dans la zone d'exposition, les donneurs d'ordre, leurs tiers 1 et les responsables gouvernementaux en lien avec ces projets.

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