2 août 2021 | International, Aérospatial

Britain’s ‘next generation’ Tempest fighter jet secures huge funding boost

PLANS for a new British fighter jet received a major boost, with another £250million secured for the project.

https://www.express.co.uk/news/uk/1469711/Defence-news-Tempest-fighter-jet-BAE-Systems-RAF-Ministry-of-Defence

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    26 janvier 2021 | International, Aérospatial

    British shell out seed funding for ‘loyal wingman’ combat drone

    By: Andrew Chuter LONDON — A British initiative to develop an unmanned air vehicle known as a “loyal wingman” has received a boost with the announcement by the Ministry of Defence that a Spirit AeroSystems-led consortium is to build a full-scale test vehicle. The Belfast, Northern Ireland-based arm of Spirit and partners, including Northrop Grumman UK, have been awarded a £30 million (U.S. $41 million) deal to lead a partnership, known as Team Mosquito, for building the demonstrator vehicle in time to start a test flight program by the end of 2023. Work maturing the Lightweight Affordable Novel Combat Aircraft, or LANCA, will run for three years until the conclusion of the flight trials, an MoD official said. Following completion of the demonstration phase, the Royal Air Force will analyze the data and use it to inform capability decisions, said the official. The unmanned vehicle is part of the air force's push to produce a low-cost machine in a fraction of the time of normal combat jets. The Spirit Mosquito team, previously known as Blackdawn and led by Callen-Lenz , secured the deal beating out proposals from partnerships led by Boeing and Blue Bear Systems. Spirit acquired the Belfast-based aerostructures operations of Canadian commercial and business jet builder Bombardier last year. Designing and building the airframe is a small but significant win for the company, which centers on building structures for the Airbus A220 airliner and other civil sector work. Northrop Grumman UK, the key partner alongside Spirit in Team Mosquito, said in a statement it will be providing model-based systems engineering and agile engineering expertise. The company said it will also integrate its advanced mission management (AMM) and airborne communication node technologies to enable seamless human-machine collaboration and cooperative mission management across distributed manned and unmanned assets. The MoD said further companies in the new team will be announced later. Work on LANCA has been underway since 2015, with the MoD's Defence Science and Technology Laboratory taking the lead pursing innovative combat air technologies and concepts that offer radical reductions in cost and development time. Defense Ministry officials previously said they want to produce a drone for 10 percent of the cost and in one-fifth of the time of a combat jet. “If successful, Project Mosquito's findings could lead to the capability being deployed alongside RAF Typhoon and F-35 Lightning jets by the end of the decade,” said the MoD. The drone is now a RAF Rapid Capabilities Office (RCO)-led project under the Future Combat Air System Technology Initiative (FCAS TI). If the project is successful the Mosquito loyal wingman platform could eventually become the first unmanned platform in British service able to target and shoot down enemy aircraft. The Mosquito effort is one of several future air combat initiatives being pursued by the British, including development of swarming drones and the Tempest next-generation manned and unmanned combat jet. Air Chief Marshal Mike Wigston said the British were “taking a revolutionary approach, looking at a game-changing mix of swarming drones and uncrewed fighter aircraft like Mosquito, alongside piloted fighters like Tempest, that will transform the combat battlespace in a way not seen since the advent of the jet age.” The loyal wingman concept is generating increasing interest with militaries across the world, with similar work underway in the United States, Australia and Europe. https://www.defensenews.com/global/europe/2021/01/25/british-shell-out-seed-funding-for-loyal-wingman-combat-drone/

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    31 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    «Le fonds européen de défense: quelles perspectives?». La tribune libre de Bruno Alomar

    Bruno Alomar Se profile désormais la création d'un Fonds européen de défense de 13 milliards d'euros en capacité initiale, pour lequel le Parlement européen s'est solennellement prononcé en avril, et qui devrait être confirmé lors de l'adoption des prochaines perspectives financières 2021-2027 Parent pauvre de la construction européenne depuis l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, le projet d'Europe de la défense a connu, au moins dans les intentions, une accélération spectaculaire au cours des deux dernières années. Se est ainsi succédé la création en décembre 2017 d'une Coopération structurée permanente (CSP) regroupant 25 Etats, puis l'Initiative européenne d'intervention (IEI) en juin 2018. Se profile désormais la création d'un Fonds européen de défense de 13 milliards d'euros en capacité initiale (devant monter in fine à 20 milliards), pour lequel le Parlement européen s'est solennellement prononcé en avril, et qui devrait être confirmé lors de l'adoption des prochaines perspectives financières 2021-2027. La prochaine Commission européenne, pourrait même voir la création d'un poste de Commissaire européen à la défense, avec une Direction générale dédiée. Disons-le tout net : il n'est que temps que les Européens, adeptes du « doux commerce » et du soft power, prennent conscience de la dangerosité du monde et de leur fragilité dans le domaine militaire ! Il n'est que temps de dissiper l'illusion qui a prévalu depuis 1989, celle des « dividendes de la paix », d'un monde irénique structuré autour des seules questions économiques. Pourtant, alors que dans les mots l'idée d'une Europe de la défense progresse, d'autres mots indiquent d'autres réalités. Ainsi, les Sous-secrétaires d'Etat américains à la défense, Ellen Lord, et au département d'Etat, Andrea Thompson, ont adressé une lettre au Haut Représentant de l'Union européenne, Mme Mogherini, en date du 1er mai, qui ne déguise par le mépris dans lequel l'Amérique tient les timides efforts européens en la matière. Dans cette lettre, les autorités américaines rappellent que si la création d'un Fonds européen de défense est de la responsabilité des Européens, il va de soi que ceci ne saurait compromettre les relations qui existent au sein de l'OTAN. Le tropisme américain, Donald Trump n'ayant rien inventé si ce n'est une brutalité inédite sur la forme, demeure : « Européens, si vous voulez être protégés, achetez américain ; sinon gare ! » Sécurité. Rien de nouveau dira-t-on : hormis le Royaume-Uni et la France, puissances nucléaires indépendantes, tous les autres pays européens sont redevables à l'Amérique pour leur sécurité. C'est bien la raison pour laquelle ces Etats se fournissent avec zèle en matériel militaire américain, le dernier exemple en date étant le choix du F 35 par la très europhile Belgique, destinés d'ailleurs à remplacer les F-16 américains. C'est, plus encore, l'une des raisons essentielles pour lesquelles, face à une Russie redevenue menaçante, les pays scandinaves et baltes, avec le soutien silencieux de Berlin, mettent systématiquement en échec toute perspective d'approfondissement de l'Union européenne ou d'inflexion commerciale qui pourrait indisposer Washington. Dans un tel contexte, qu'il soit tout de même permis de formuler quelques orientations pour le futur Fonds européen de défense. Car, au-delà des intentions, c'est dans le détail que son succès au service de la sécurité des européens se jouera. Premièrement, la préférence européenne. N'en déplaise à nos alliés américains, si les européens, auxquels Washington reproche tant – à juste titre – de consacrer insuffisamment de ressources à leur défense, mobilisent des fonds, ceux-ci doivent à l'évidence être entièrement consacrés à la fortification d'une base industrielle et technologique de défense (BITD) européenne, d'autant plus fragile qu'elle est sous pression des industriels américains. Le programme F-35 a d'ailleurs réussi son pari industriel : assécher la R&D des entreprises européennes partenaires comme BAE ou Leonardo. C'est non seulement une question de crédibilité militaire pour les Européens. C'est aussi, si l'on tient compte du rôle essentiel des industries de défense en matière d'innovation au service de toute l'économie, une condition essentielle de restauration de leur base industrielle et de renforcement de leur compétitivité, le tout sur fond de rachat forcené de certains acteurs par leurs concurrents américains (Santa Barbara, Mowag, etc.). Deuxièmement, au moment où les conditions exactes de création et de gestion du Fonds sont débattues, il est essentiel, dans l'intérêt des Européens, de fixer clairement les responsabilités de chacun. Aux instances européennes de centraliser les projets, d'en évaluer l'intérêt, et d'apporter une « plus-value » communautaire. Ensuite, ce sont les Etats, et les Etats seuls, qui doivent gérer les fonds dégagés en coopération avec industriels. Mais rien ne serait pire que les institutions européennes, dont l'ADN est le libre marché et la compétence en matière de défense inexistante, prétendent se substituer au choix et à la décision finale des Etats membres, seuls comptables de leur souveraineté devant leur peuple. Bruno Alomar, auditeur de la 68 em session « politique de défense » de l'iHEDN et de la 25 em promotion de l'Ecole de Guerre. https://www.lopinion.fr/edition/international/fonds-europeen-defense-quelles-perspectives-tribune-libre-bruno-alomar-188032

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