23 avril 2024 | International, Terrestre

Britain's increased defence spending commitment: how will it work?

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  • Au salon Eurosatory, l’Eurosatory Lab, un pôle pour encourager les ponts entre innovations civiles et militaires

    17 juin 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Au salon Eurosatory, l’Eurosatory Lab, un pôle pour encourager les ponts entre innovations civiles et militaires

    Au salon Eurosatory, qui s'est tenu au Parc des expositions de Paris-Nord Villepinte du 13 jusqu'à ce vendredi 17 juin, les startups étaient fortement représentées. Hébergées au sein de l'Eurosatory Lab, le pôle du salon dédié à l'innovation, 67 startups françaises et internationales ont été accueillies, dont un grand nombre proposant des produits ou des technologies ayant un usage dual, à la fois civil et militaire : la cybersécurité, l'intelligence artificielle, la simulation, la robotique, la réalité virtuelle... L'Usine Nouvelle cite notamment Conscious Labs, une startup française spécialisée dans les neurotechnologies, qui propose des casques qui analysent l'activité cérébrale. Présente surtout dans le secteur médical, elle se propose d'utiliser sa technologie pour l'analyse de l'activité cérébrale des pilotes d'avions ou d'hélicoptères dans des situations de stress intense. Emmanuel Chiva, directeur de l'Agence de l'innovation de défense au sein du ministère français des Armées, entend favoriser les liens entre secteur civil et militaire : l'objectif est de « construire des ponts entre les innovations militaires et civiles », a-t-il affirmé à l'occasion de son discours d'ouverture de l'Eurosatory Lab. En 2022, les armées françaises devraient consacrer pour leurs crédits dédiés à l'innovation un montant de l'ordre d'1 Md€, indique L'Usine Nouvelle. L'Usine Nouvelle du 17 juin

  • Le drone tactique Patroller très proche de sa première livraison

    8 novembre 2019 | International, Aérospatial

    Le drone tactique Patroller très proche de sa première livraison

    Par Michel Cabirol Le drone tactique Patroller, qui doit être livré très prochainement à l'armée de Terre, devrait être armé d'une roquette guidée laser de 68 mm. Safran a reçu de la DGA une étude de levée de risques pour armer le Patroller. Tic-tac, tic-tac, tic-tac... La livraison du drone tactique Patroller est désormais une question de semaines. Prévue initialement le 22 novembre, elle a été très légèrement reportée à début décembre en raison de l'encombrement du trafic aérien à Istres, où le premier système (5 avions et deux stations sol) doit être remis à l'armée de Terre à l'issue d'une série de vols. Une fois le système testé à Istres, il sera rapatrié dare-dare à Chaumont où les créneaux de vol sont beaucoup plus simples à gérer pour l'armée de Terre, qui va devoir s'approprier ce nouveau système d'arme. Le Patroller est attendu sur les thé'tres d'opération mi-2021, et notamment sur la bande sahélo-saharienne (BSS). Le Patroller sera la "rolls" de l'armée de Terre. Équipé d'une boule optronique gyrostabilisée dernier cri, ce drone tactique vise à répondre aux missions de renseignement au profit des unités tactiques de l'armée de Terre en leur offrant une capacité de surveillance, d'acquisition, de reconnaissance et de renseignement (SA2R). Ce système d'observation est capable de détecter, d'identifier et de localiser, de jour comme de nuit, dans un champ atteignant presque 360°, tous les éléments observés sur une portée de 150 km (14 heures d'autonomie). "Il permet ainsi, presque immédiatement, de décrire une éventuelle unité ennemie, avait confirmé en juin dernier le général Jean-Pierre Bosser, qui était encore chef d'état-major de l'armée de Terre. Voilà un progrès essentiel apporté par la troisième dimension à l'armée de terre". Le Patroller armé d'une roquette guidée laser Une bonne nouvelle peut en cacher une autre. Safran a récemment obtenu la notification d'un contrat d'une durée de 18 mois pour une étude de levée de risques pour l'armement du Patroller, selon des sources concordantes. L'armée de Terre avait fortement plaidé pour armer le Patroller. "Pour les militaires l'armement des drones était depuis longtemps considéré comme une nécessité. (...) Nous avons clairement affirmé le besoin d'armer le Patroller", avait indiqué en mai 2018 lors d'une audition à l'Assemblée nationale le général Charles Beaudouin, sous-chef d'état-major chargé des plans et des programmes de l'état-major de l'armée de Terre. Le choix s'est porté sur la roquette guidée laser de 68mm de Thales, qui équipe déjà l'hélicoptère Tigre. Elle a été préférée à la version sol-air du missile MMP, le MHT de MBDA. Pourquoi ? La roquette guidée laser est dimensionnée aux besoins de l'armée de Terre en étant parfaitement adaptée à des objectifs rencontrés par le Patroller lors de ses missions de surveillance pour réaliser des tirs sur des cibles d'opportunité (pick-up, sniper...). La roquette est également beaucoup moins chère et plus légère que le MMP et son poste de tir. Ce dernier point permet d'optimiser l'autonomie du Patroller, qui un outil de gestion de crise. Enfin, la solution MMP, qui traite des cibles plus importantes (char, bunker...), aurait été plus compliquée techniquement à mettre au point en raison de son guidage (fibre optique). Bloqué par la direction générale de l'armement (DGA) en rétorsion aux retards du Patroller, cette étude de levée de risque était attendue depuis deux ans environ. C'était il y a deux ans déjà en septembre 2017 que la ministre des Armées Florence Parly avait annoncé dans un discours devenu fameux sa décision d'armer les drones Reaper français. "Deux ans de perdu", soupire une source interrogée par La Tribune. Aujourd'hui le Patroller armé est attendu au sein de l'armée de Terre en 2023 https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-drone-tactique-patroller-tres-proche-de-sa-premiere-livraison-832585.html

  • HeliDax fera le MCO des Airbus Fennec de l'ALAT

    28 janvier 2019 | International, Aérospatial

    HeliDax fera le MCO des Airbus Fennec de l'ALAT

    Par Yann Cochennec Après s'être vu confier la fourniture et le MCO des 36 Airbus H120 pour la formation des pilotes militaires, HeliDax vient de remporter le contrat de maintenance des Airbus Fennec de l'ALAT. La nouvelle Direction de la maintenance aéronautique (DMAé) vient d'attribuer à la société HeliDax le MCO des 18 hélicoptères Airbus AS355N ou Fennec de l'ALAT au Cannet des Maures. Un contrat d'une durée de dix ans dont le montant n'est pas précisé et qui vont se traduire par la création de 26 emplois, souligne HeliDax. Huit seront affectés au siège de la société à Dax, trois dans un régiment de l'ALAT dans le nord-est de la France et quinze au Cannet des Maures, au sein de l'Ecole de l'ALAT et de la base Ecole Général Lejay. HeliDax s'est déjà vue confier la fourniture, le MCO et la gestion des 36 Airbus Helicopters H120 destinés à la formation des pilotes des forces françaises et de l'armée belge. http://www.air-cosmos.com/helidax-fera-le-mco-des-airbus-fennec-de-l-alat-119655

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