29 août 2023 | International, Aérospatial

Balloon-tracker Synthetaic partners with Microsoft for cloud power

Synthetaic said the cloud resources will empower its RAIC tool, which lets users mine vast collections of imagery for specific objects.

https://www.defensenews.com/industry/2023/08/29/balloon-tracker-synthetaic-partners-with-microsoft-for-cloud-power/

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    30 septembre 2022 | International, C4ISR

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    Modernization of the Army's networks and underlying computer infrastructure is among the service's most pressing priorities.

  • Insitu unveils new extended range unmanned system

    18 septembre 2018 | International, Aérospatial

    Insitu unveils new extended range unmanned system

    By: Aaron Mehta NATIONAL HARBOR, Md – Insitu, a Boeing subsidiary, today unveiled a new extended-range drone that it claims can hit previously unattainable distances for small unmanned systems. The company's Integrator Extended Range design has a 200-nautical mile radius with 10 hours on station, or 300 miles with six hours on station, according to company officials. The 145-pound system was unveiled at the annual Air Force Association conference. Those ranges improve on current capabilities for unmanned systems of that size, which traditionally have been limited to around 50-70 miles distance and line-of-sight tethering. The increased distance and time comes from advances in satcom technology that have made it possible to shrink down the needed components to useable size. Esina Alic, Insitu CEO, made it clear the company is targeting the Integrator-ER for the Air Force, saying bluntly during her presentation, “Air Force customer, we have heard you. We are giving you a theater range platform, at a fraction of cost, at a fraction of a footprint compared to today's ISR asset in the field.” Specifically, Alic and Don Williamson, vice president and general manager for defense with the company, positioned the system as giving the Air Force an option to stop using high end systems for surveillance missions. Buying a lower-cost system like the Integrator would allow higher-capability MALE systems, like the MQ-9, to focus on higher-stakes opportunities or strike missions, while also allowing those systems to pick up missions currently tasked to top-end fighter jets. “No one in the air force has specifically evaluated this capability,” Williamson said. “One of the purposes of being able to show here is, to be able to reveal this with our Air Force customer. We have a number of engagements coming up over the next couple of days.” Full article: https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/air-force-association/2018/09/17/insitu-unveils-new-integrator-extended-range-unmanned-system

  • Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    28 janvier 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    (B2 – exclusif) Peu importe les émois à Westminster et les tourments de Downing Street, ou la conduite sans ceinture du Prince Philippe, dans le domaine des opérations de stabilisation menées par l'Union européenne (au titre de la PSDC), le départ des Britanniques est désormais bien engagé et devrait se terminer bientôt Un mouvement engagé Le transfert du QG de l'opération anti-piraterie Première concernée, la plus emblématique, l'opération anti-piraterie de l'UE (alias EUNAVFOR Atalanta) va déménager de Northwood (près de Londres) à la Rota et à Brest, le commandant britannique cédant sa place au commandant espagnol avec un second français. Le QG de La Rota est en pleine préparation, le QG secondaire de Brest — qui accueille la liaison avec la marine marchande — également. Les officiers ont commencé à rejoindre leur poste. Le « tuilage » est en cours, selon nos informations (lire : La revanche de Trafalgar). Le changement de commandement en Bosnie-Herzégovine Deuxième concernée, l'opération EUFOR Althea en Bosnie-Herzégovine. Plus discrète, après avoir été l'opération phare (de l'OTAN sous le nom IFOR) et de l'Union européenne, elle ne rassemble plus aujourd'hui que 600 hommes maximum. Elle n'en est pas moins importante, car un « poste d'observation » important de ce qui se passe dans les Balkans, notamment en matière de retour des combattants étrangers. Un Français va prendre la tête de l'opération, à partir du QG de l'OTAN à Mons (le SHAPE). Un petit noyau de Français est aussi prévu à Sarajevo au sein de l'état-major de la force (lire : Le retour de la France dans l'opération de l'UE en Bosnie-Herzégovine). L'abandon d'un poste de numéro 2 en Somalie Enfin, au sein de la mission civile EUCAP Somalia chargée d'assurer le conseil et la formation des Somaliens pour la sécurité maritime, le poste de numéro 2 assuré par un Britannique est en voie de changer de main, selon nos informations. Les Britanniques ne pouvant assurer de poste de commandement des opérations européennes. Le retrait du planning des battlegroups De même, en matière de force de réaction rapide de l'UE, les Britanniques se sont retirés du tour d'astreinte des battlegroups (lire : La prise d'astreinte française au battlegroup 2019 se prépare). Du personnel détaché au titre d'un pays tiers Des Britanniques resteront dans quelques unes de ces missions et opérations qu'ils estiment ‘stratégiques', en particulier celles déployées en Somalie et dans l'Océan indien. Mais en tant que pays tiers, dès que le Brexit sera consommé. Un officier britannique de la marine marchande devrait ainsi être positionné à Brest, chargé d'assurer le lien (précieux) avec toutes les structures britanniques de la marine marchande. Et dans la mission EUCAP Somalia, Londres entend détacher un de ses officiers pour occuper le poste de chef des opérations. Une transition en douceur Dans toutes ces opérations et missions, le départ des Britanniques est désormais non seulement acté, mais leur remplacement est assuré, sans difficulté. Il est difficile désormais, voire quasi impossible, de faire machine arrière. Les Britanniques ont perdu leur tour. Difficile de faire machine arrière Si le Brexit devait être repoussé, il ne changera pas les changements opérés dans les commandements : la relève est déjà en place. Les Britanniques qui occupaient ces positions ont déjà (ou vont) retrouver d'autres fonctions dans l'armée britannique, l'OTAN ou d'autres opérations multinationales. Et dans les générations de force actuelles, ce serait un pari insensé pour les planificateurs britanniques de miser sur une possible annulation ou prolongation longue du Brexit pour faire de nouvelles offres de participation importante. Quelques leçons du départ A cette transition en douceur, si en douceur qu'elle passe inaperçue, on peut tirer d'ores-et-déjà quelques leçons. Premièrement, contrairement à ce qu'avaient affirmé certains dignitaires britanniques, assis confortablement dans leurs sièges en cuir dans des ministères londoniens, et quelques observateurs, peu au fait du fonctionnement réel de l'Union européenne, l'apport britannique dans les missions et opérations de l'Europe de la défense reste modeste. Il peut être facilement compensé, avec juste un peu de bonne volonté de quelques pays membres. Deuxièmement, le départ britannique consacre en fait le retour français dans des opérations et missions qu'ils avaient, ces dernières années, un peu délaissées. Au final, il reste tout de même un pincement au cœur. Les officiers de sa Royale Majesté, croisés durant ces années, m'ont toujours fait bonne impression, avec ce mélange de courtoisie, de rudesse, d'ironie et d'enthousiasme qui fait le charme et l'efficacité de l'armée outre-Manche. Dommage... (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/01/28/le-brexit-deja-en-marche-pour-la-defense/

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