21 mars 2024 | International, Naval

Australia selects BAE Systems and ASC to build sovereign nuclear powered submarines

Under the AUKUS agreement, Australia and the UK will operate a common submarine of the future, incorporating technology from all three nations, based on the UK’s next generation design which...

https://www.epicos.com/article/793729/australia-selects-bae-systems-and-asc-build-sovereign-nuclear-powered-submarines

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  • Le contrat Rafale en Inde est-il menacé ?

    14 septembre 2018 | International, Aérospatial

    Le contrat Rafale en Inde est-il menacé ?

    Par Vincent Lamigeon Le parti du Congrès, principal parti d'opposition en Inde, attaque durement les conditions du contrat pour 36 Rafale signé par Delhi en 2016. Le camp français évoque une polémique liée au contexte électoral. Et affirme toujours croire à un contrat de 114 avions supplémentaires. "L'affaire Rafale". C'est devenu l'obsession de Rahul Gandhi, leader du parti du Congrès, à l'approche des élections de mai 2019. Depuis novembre 2017, le dirigeant du principal parti d'opposition indien a fait du contrat pour 36 Rafale, signé par Delhi en septembre 2016, l'aiguillon de son offensive contre le premier ministre, le nationaliste hindou Narendra Modi. Gandhi évoque carrément une "escroquerie", accusant le gouvernement d'avoir favorisé un industriel proche du pouvoir, le patron du conglomérat Reliance, Anil Ambani. Ce groupe, jusqu'alors absent du secteur de la défense, avait été choisi par Dassault comme partenaire local pour remporter le contrat. "Un capitalisme de copinage", selon Rahul Gandhi, qui a multiplié ces dernières semaines les manifestations contre le contrat Rafale. L'accord pour 36 appareils pourrait-il être menacé ? Peu probable. Certes, un certain malaise est palpable. La visite à Paris de la ministre de la Défense indienne Nirmala Sitharaman, prévue ces prochains jours, a été reportée sine die, signe de la gêne persistante autour du sujet. Le passage du détachement Pégase de l'armée de l'air française en Inde (3 Rafale, un A400M, un C-135 et 130 aviateurs) début septembre a été accueilli avec un certain embarras par les responsables indiens. Un vol en Rafale de l'ambassadeur français a été annulé, de même que le survol du Taj Mahal par un A400M et le vol d'aviateurs indiens en place arrière sur les Rafale français. Contexte pré-électoral Pour autant, une dénonciation du contrat apparaît très improbable. L'armée de l'air indienne s'est même livrée à une défense en règle du contrat le 12 septembre. Dans un document dévoilé par le site indien LiveFist, elle assure que "l'Inde a obtenu le Rafale au meilleur prix" et "avec les meilleurs armements du marché". Le patron de l'armée de l'air indienne B.S. Dhanoa a même assuré que les "chasseurs high-tech Rafale" étaient plus que jamais nécessaires pour faire face aux menaces pakistanaise et chinoise. Delhi attend ses appareils à partir de septembre 2019, avec des livraisons qui s'échelonneront jusqu'à 2022. Article complet: https://www.challenges.fr/entreprise/le-contrat-rafale-en-inde-est-il-menace_612305

  • La solution aux feux de forêt passe-t-elle par une garde partagée canado-australienne?

    14 janvier 2020 | International, Aérospatial, Naval, Sécurité

    La solution aux feux de forêt passe-t-elle par une garde partagée canado-australienne?

    Marc Godbout Une idée proposée discrètement en 2016 par le secteur privé au gouvernement fédéral refait surface. Elle consiste à doter le Canada et l'Australie d'équipements en commun pour mieux lutter contre les feux de forêt. Dans le contexte des changements climatiques et de la crise australienne, le concept mérite-t-il d'être exploré à nouveau? Spencer Fraser est le premier à l'admettre. Quand nous avons présenté le concept, c'était un peu trop tôt, mais les choses ont changé, comme on le voit en Australie. C'est lui qui, au nom du chantier naval Davie, a soumis, au printemps 2016, une proposition au gouvernement fédéral : construire un navire sur mesure pour transporter entre le Canada et l'Australie 14 nouveaux avions-citernes de Bombardier. Ces nouveaux équipements seraient en garde partagée et s'ajouteraient aux ressources déjà existantes dans les deux pays. Leur saison d'incendies est à l'opposée de la nôtre. Notre hiver, c'est leur été et leur hiver, c'est notre été, rappelle le PDG de Federal Fleet, une filiale de Davie. Le chantier maritime n'était pas l'unique promoteur du projet. Il avait l'appui de Bombardier, l'ancien constructeur de l'avion CL-415. undefined Commentaires Marc Godbout Publié à 4 h 14 Une idée proposée discrètement en 2016 par le secteur privé au gouvernement fédéral refait surface. Elle consiste à doter le Canada et l'Australie d'équipements en commun pour mieux lutter contre les feux de forêt. Dans le contexte des changements climatiques et de la crise australienne, le concept mérite-t-il d'être exploré à nouveau? Spencer Fraser est le premier à l'admettre. Quand nous avons présenté le concept, c'était un peu trop tôt, mais les choses ont changé, comme on le voit en Australie. C'est lui qui, au nom du chantier naval Davie, a soumis, au printemps 2016, une proposition au gouvernement fédéral : construire un navire sur mesure pour transporter entre le Canada et l'Australie 14 nouveaux avions-citernes de Bombardier. Ces nouveaux équipements seraient en garde partagée et s'ajouteraient aux ressources déjà existantes dans les deux pays. Leur saison d'incendies est à l'opposée de la nôtre. Notre hiver, c'est leur été et leur hiver, c'est notre été, rappelle le PDG de Federal Fleet, une filiale de Davie. Le chantier maritime n'était pas l'unique promoteur du projet. Il avait l'appui de Bombardier, l'ancien constructeur de l'avion CL-415. La proposition avait été soumise à des fonctionnaires fédéraux et à la ministre de l'Environnement de l'époque, Catherine McKenna. Le document précisait notamment que l'Australie et le Canada obtiendraient ainsi un actif stratégique pour répondre à leurs besoins, dans un contexte de changements climatiques. Cette garde partagée permettrait aux deux pays de réduire les coûts pour leurs contribuables respectifs. La moitié de la facture serait assumée par les Canadiens, l'autre par les Australiens. À l'époque, la motivation n'avait pas été assez grande de la part du gouvernement et des bureaucrates pour poursuivre l'idée, mais il n'y avait pas de crise. C'était avant Fort McMurray, avant l'Australie, indique Spencer Fraser. Deux nations, une solution? Les conséquences dramatiques des incendies qui ravagent l'Australie ont ravivé un certain intérêt à Ottawa. Des sources indiquent que deux ministères fédéraux ont reparlé de cette proposition la semaine dernière et qu'au moins un des deux ministères s'est informé auprès de Viking Air, l'entreprise à qui Bombardier a vendu son programme d'avions-citernes en juin 2016. La proposition, telle que soumise au gouvernement canadien il y a quatre ans, recommandait un arrangement entre le Canada et l'Australie, qui se partageraient les coûts d'un bail annuel de 145 millions de dollars. Davie et Bombardier auraient loué le navire, les avions et fourni les équipages ainsi que le personnel pour l'entretien. En pleine crise nationale, de plus en plus de voix s'élèvent en Australie pour réclamer davantage de gros avions-citernes. Le haut-commissariat d'Australie à Ottawa n'a pas répondu à notre demande d'entrevue. L'Australie essuie des critiques virulentes ces jours-ci. Le pays a un manque chronique d'avions-citernes, soutient notamment l'ancien commissaire aux incendies de l'État de Nouvelle-Galles du Sud, Greg Mullins. Dans une entrevue accordée sur les ondes du diffuseur public national, M. Mullins a souligné que les besoins de l'Australie vont au-delà de l'expertise du Canada. Notre premier ministre devrait être au téléphone avec Justin Trudeau du Canada, en ce moment, en demandant : Justin, nous avons besoin de plus de 20 de vos bombardiers d'eau. Logique? Cette proposition de 2016 a le mérite d'être étudiée, croit David Perry, analyste et vice-président de l'Institut canadien des Affaires mondiales. Selon lui, les changements climatiques doivent forcer les gouvernements à revoir la définition de ce qu'est un actif stratégique qui est traditionnellement militaire, comme les avions de chasse ou encore les navires de guerre. Il est absolument nécessaire de veiller à ce que nous investissions des ressources supplémentaires pour atténuer autant que possible les effets des changements climatiques. Cette initiative stratégique proposée par le secteur privé soulève aussi certaines des interrogations. C'est une question pertinente, il faut bien l'évaluer. Mais je ne suis pas convaincu que d'avoir 14 avions supplémentaires soit absolument nécessaire, croit Jonathan Boucher, chercheur au Centre de foresterie des Laurentides. Le fait d'avoir plus de bombardiers d'eau lors de conditions extrêmes n'aurait pas nécessairement un impact direct. Jonathan Boucher explique que la meilleure action est d'arriver tôt avant que l'incendie génère trop d'énergie. Mais parfois les conditions sont tellement extrêmes que c'est difficile, voire impossible, de s'y rendre. Un autre élément pourrait influencer d'éventuelles discussions face à ce genre de proposition. L'organisation et les stratégies varient d'une province à l'autre, rappelle l'expert. Et c'est sans compter que ce sont les provinces au Canada et les États en Australie qui ont compétence en matière de lutte contre les incendies de forêt par l'intermédiaire d'actifs publics et privés. Sur papier, la proposition peut sembler alléchante, mais la suite pourrait être politiquement complexe. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1471807/feux-foret-garde-partagee-canada-australie

  • THALES: RADARS NS50 POUR LES FLOTTES BELGE ET NÉERLANDAISE

    21 janvier 2021 | International, Naval

    THALES: RADARS NS50 POUR LES FLOTTES BELGE ET NÉERLANDAISE

    Publié le 20 Janvier 2021 Copyright © 2021 CercleFinance - (CercleFinance.com) - Thales annonce qu'il va fournir son nouveau radar NS50 pour équiper douze navires de guerre des mines de nouvelle génération des Marines belge et néerlandaise, dans le cadre d'un contrat avec Kership, co-entreprise de Piriou et Naval Group. 'Le radar NS50 permettra à cette catégorie de navires de bénéficier, pour la première fois, de capacités complètes d'auto-défense contre tous types de menaces aériennes et de surface', souligne le groupe français d'électronique de défense.Il offre un temps sur cible maximal, 'permettant d'évaluer l'ampleur de la menace et de mettre en oeuvre les contremesures nécessaires, en offrant un tableau précis de la situation environnante afin de sauvegarder le navire et de protéger les forces alliées'. Copyright (c) 2021 CercleFinance.com. Tous droits réservés. https://www.easybourse.com/aeronautique/news/1393671/thales-radars-ns50-pour-flottes-belge-neerlandaise.html

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