6 septembre 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

Adam Smith expects future defense budgets to dip below $716 billion

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WASHINGTON — When Congress delivered a $716 billion defense budget to the Pentagon, defense leaders made it clear it was a welcome boost — but some questioned if the number would be enough to do everything the department foresees as necessary.

Now the ranking Democrat on the House Armed Services Committee — who is poised to take over the HASC should November elections go blue — is warning that tightened belts are on the horizon.

Asked specifically if $716 billion is the right number for defense and whether future budgets will stay at that level, Rep. Adam Smith, D-Wash, said flatly: “No and no.”

“I think the number's too high, and its certainly not going to be there in the future,” Smith said at the second annual Defense News Conference.

The congressman argued that the debt and deficit situation facing the country requires balancing out how the government is spending, particularly after the Trump administration's tax cuts made it “even more difficult to get our budget under control.”

But drawing down the defense budget has to be part of a broader look at U.S. strategy, something that Smith said requires a realistic look at America's military strategy. He pointed to the idea that 355 ships are vital for the Navy as an example of flawed logic, because “capability matters.”

“We can do this,” Smith said of the U.S. remaining the key world power. “I'm not even remotely worried about it. It is a more complicated and different world in some ways, but the Cold War was no walk in the park either. World War II certainly wasn't. We will always face challenges. The question is about being smart.

“We just have to be smart instead of trying to force our way back into a world that is never going to be again."

“We are going to be a major, major player, probably the major player, on the global stage” for a long time to come, Smith added. “But we are not going to be utterly and completely dominant.”

https://www.defensenews.com/smr/defense-news-conference/2018/09/05/adam-smith-expects-future-defense-budgets-to-dip-below-716-billion

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    Olivier Gosset L'offre française de partenariat stratégique n'a jamais été étudiée dans le détail. La version complète n'a d'ailleurs pas été déposée auprès des autorités du pays. La proposition de partenariat stratégique mise sur la table par Paris pour le remplacement des F-16 n'a jusqu'ici pas été examinée en détail par la Belgique, dont les autorités ne sont même pas en possession de l'offre complète, a-t-on appris d'une source proche du dossier. La France a décidé de ne pas participer à l'appel d'offres (Request for Government Proposal ou RfGP) lancé en mars 2017 par la Belgique pour l'achat de 34 chasseurs-bombardiers de nouvelle génération. S'engageant dans une autre voie, Paris a fait parvenir le 6 septembre 2017 au cabinet du ministre belge de la Défense, Steven Vandeput, une lettre proposant un "partenariat approfondi et structurant" fondé sur l'avion de combat Rafale. Une coopération allant bien au-delà de la seule fourniture d'avions de combat, selon les responsables français. La proposition française est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense. Quelques éléments de cette offre ont filtré, principalement en ce qui concerne les retombées industrielles potentielles si la Belgique achète le Rafale. Des retours économiques que la France chiffre à 20 milliards d'euros sur 20 ans. Ensuite, plus rien! Du moins jusqu'au 15 mai dernier, lorsqu'une délégation de membres du cabinet de la ministre française des Armées, Florence Parly, s'est rendue à Bruxelles – pour la première fois en huit mois – dans le but d'expliciter auprès de leurs homologues belges l'offre française. Mais la proposition n'a pas été réellement scrutée à la loupe ni examinée sous tous les angles, puisque le document complet, qui fait plus de 3.000 pages, n'a jamais été formellement déposé en Belgique. À l'exception de la Défense, aucun cabinet belge n'a été autorisé à recevoir des représentants de l'Hexagone, et encore moins à réceptionner le volumineux dossier. Que ce soit au niveau du Premier ministre ou des Affaires étrangères. Aucun contact, même informel, ne semble avoir eu lieu non plus avec le SPF Économie ou le cabinet qui le chapeaute. Bref, la proposition française – ou du moins son résumé – est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense qui, de son côté il est vrai, était tenu de travailler dans le seul cadre de l'appel d'offres en l'absence de décision politique du gouvernement remettant cette procédure en cause. Rien de nouveau? Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que ce même cabinet ait toujours jugé non pertinente l'offre française. Ou qu'il ait indiqué n'avoir "rien entendu de nouveau" lors de la visite des émissaires français il y a quelques semaines. Que les experts militaires de l'équipe Accap, chargée d'évaluer les deux offres finales considérées comme juridiquement valables, n'aient pas pris en compte la proposition française, rien de plus normal. Pour rappel, les deux candidats qui ont remis des offres en bonne et due forme sont les Etats-Unis avec le F-35 Lightning II de Lockheed Martin et l'Eurofighter Typhoon du consortium européen éponyme. Le rapport de ces experts se trouve désormais sur le bureau de leur ministre, qui doit le transmettre au kern. Par contre, que le contenu du partenariat français n'ait jamais été examiné de près à un autre niveau en l'absence de tout engagement, voilà qui a de quoi surprendre. D'abord parce qu'il contient visiblement des éléments intéressants, comme une éventuelle participation au programme de Système de combat aérien du futur (Scaf) franco-allemand, ou encore, selon nos informations, une période très courte (sur moins de trois ans) pour la livraison des 34 appareils, quel que soit le moment où le contrat serait signé. Par ailleurs, le gouvernement belge serait bien avisé de garder plusieurs fers au feu. Parce que le résultat de l'appel d'offres risque de se heurter à des obstacles géopolitiques imprévus. Il ne va pas être très aisé en effet de justifier l'éventuelle acquisition d'appareils américains alors que l'administration Trump a déclaré une guerre commerciale au Vieux continent et que Paris et Berlin tentent de relancer l'Europe de la défense. https://www.lecho.be/entreprises/defense-aeronautique/la-belgique-a-survole-l-offre-de-dassault-pour-le-remplacement-des-f-16/10021780.html

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