31 mai 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

Pentagon Requesting Boost in R&D Funding to Compete with China

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  • Boeing, Mitsubishi Heavy Industries Partner on State of the Art Upgrades to Japan’s F-15J fleet

    29 juillet 2020 | International, Aérospatial

    Boeing, Mitsubishi Heavy Industries Partner on State of the Art Upgrades to Japan’s F-15J fleet

    TOKYO, July 28, 2020 - Boeing and Mitsubishi Heavy Industries (MHI) recently signed a Direct Commercial Sale agreement to support upgrades to Japan's F-15J fleet. The contract is part of a larger $4.5 billion modernization program, announced by the U.S. Government in October 2019. The upgrades will introduce state-of-the-art electronic warfare and weapons. An all-new advanced cockpit system, running on the world's most advanced mission computer, will deliver pilots enhanced situational awareness. Under the agreement, Boeing will provide MHI with retrofit drawings, ground support equipment and technical publications for the upgrade of the first two F-15J aircraft to the Japan Super Interceptor configuration. Boeing has partnered with MHI in the defense arena since the 1950s. MHI produced under license the current Japan F-15J fleet of over 200 aircraft between 1980 and 2000, and will serve as prime contractor for the upgrade. Sojitz Corporation, a trading company that works with Boeing's team in Japan, will support this effort. “Through this agreement, Boeing is honored to further our long-standing tradition of support for Japan's Ministry of Defense, the Japan Air Self-Defense Force, and MHI,” said Will Shaffer, Boeing Japan President. “These upgrades will deliver critical capability for national and collective self-defense, in which the F-15J plays a key role. At the same time, they will provide MHI and our partners in Japan's aerospace defense industry with an opportunity to enhance their own extensive engineering capabilities.” This DCS contract lays the foundation of the modernization program. MHI will develop the detailed modification plan for the jets and prepare the facilities and workforce for the induction and upgrade of up to 98 aircraft beginning in 2022. ### Contact: Boeing Communications, Japan Rob Henderson: robert.j.henderson3@boeing.com Shino Yuasa: shino.yuasa@boeing.com View source version on Boeing: https://boeing.mediaroom.com/2020-07-28-Boeing-Mitsubishi-Heavy-Industries-Partner-on-State-of-the-Art-Upgrades-to-Japans-F-15J-fleet

  • Les français Naval Group et ECA Robotics fourniront 12 chasseurs de mines à la Belgique et aux Pays-Bas

    20 mars 2019 | International, Naval

    Les français Naval Group et ECA Robotics fourniront 12 chasseurs de mines à la Belgique et aux Pays-Bas

    PAR LAURENT LAGNEAU Après avoir, dans la foulée de l'accord de partenariat stratégique conclu entre Paris et Canberra, signé le contrat de design pour les 12 futurs sous-marins Shorfin Barracuda destinés à la Royal Australian Navy, le constructeur naval français Naval Group, associé ECA Robotics, vient de remporter l'important marché portant sur le renouvellement des capacités de lutte anti-mines des forces navales belges et néerlandaises. Lancé en 2016 sous la responsabilité de la Belgique, ce marché, pour lequel une enveloppe de 2 milliards d'euros était prévue, vise à remplacer les chasseurs de mines de type Tripartite [CMT, conçus à Lorient] qui, en service depuis plus de 30 ans au sein des forces navales belges et néerlandaises, arriveront en fin de vie en 2023. Concrètement, le consortium emmené par Naval Group et ECA Robotics aura à livrer 12 chasseurs de mines à la Belgique et aux Pays-Bas mais surtout à imaginer ce que sera la guerre des mines de demain. « La future capacité utilisera des systèmes non habités en surface, au-dessus du niveau de l'eau et sous l'eau afin de détecter puis neutraliser des mines. Gr'ce à cette nouvelle méthode de travail, le vaisseau-mère et son personnel pourront rester hors du champ de mines car seuls les drones y seront actifs », a ainsi résumé le ministère belge de la Défense. Deux autres concurrents étaient en lice pour ce marché, dont le néerlandais Damen, associé à l'allemand Atlas Elektronik et à Imtech België, ainsi que le français Thales [actionnaire de Naval Group à hauteur de 35%, ndlr] allié aux chantiers navals de Saint-Nazaire et à Socarenam. Selon la presse d'outre-Quiévrain, le tandem Naval Group et ECA Robotics s'est imposé en faisant l'offre la moins disante à 1,756 milliad d'euros tout en assurant qu'il y aurait des retombées pour les industriels belges et néerlandais. Ainsi, la production d'une cinquantaine de robots sous-marins devrait se faire à Zeebruges. Quoi qu'il en soit, en obtenant ce marché visant à équiper des forces navales qui passent pour être parmi les plus performantes dans le domaine de la lutte anti-mines, Naval Group et ECA Robotics ont fait un coup de maître. En outre, dans le cadre de l'Otan, et avec 11 autres alliés, la Belgique et les Pays-Bas ont signé une lettre d'intention en vue de coopérer à la création de systèmes maritimes sans pilote, notamment en vue de réduire les coûts en réalisant des économies d'échelle. Et sur ce point, les deux industriels français sont sans doute désormais bien placés pour obtenir d'autres contrats à l'avenir. « Les mines marines sont des armes relativement peu coûteuses et disponibles. Elles peuvent aisément empêcher l'accès aux ports et aux voies navigables. Un incident survenu sur l'Escaut ou dans la mer du Nord peut représenter une perte économique quotidienne de cinquante millions d'euros. Garantir la sécurité des voies navigables et des ports est donc crucial pour notre économie. Chaque semaine, nos navires sont engagés. Ils participent à des missions internationales », a par ailleurs fait valoir le ministère belge de la Défense, qui estime que ce contrat renforcera la position de la Belgique « au sein de l'Otan en tant qu'expert et pionnier dans le domaine ». http://www.opex360.com/2019/03/16/les-francais-naval-group-et-eca-robotics-fourniront-12-chasseurs-de-mines-a-la-belgique-et-aux-pays-bas/

  • Metallic 3D Printing May Revolutionize Maintenance for F-22 Raptor

    22 janvier 2019 | International, Aérospatial

    Metallic 3D Printing May Revolutionize Maintenance for F-22 Raptor

    Stars and Stripes | By Jennifer Svan The world's most expensive fighter jet soon may be flying with parts made from a 3D printer. Maintainers at Hill Air Force Base, Utah, last month installed for the first time a metallic 3D-printed bracket on an operational F-22 Raptor, according to the Air Force and Lockheed Martin, the company that produces the $150 million aircraft. If the titanium piece holds up, the part will be installed on all F-22 aircraft during maintenance, and the use of 3D parts in the aircraft could be expanded, with the eventual goal of reducing depot time for the maintenance-prone jets, officials said. Full article: https://www.military.com/daily-news/2019/01/19/metallic-3d-printing-may-revolutionize-maintenance-f-22-raptor.html

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