14 avril 2021 | International, Aérospatial

V-22 Upgrades in Works as Aircraft Passes Milestones

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    An alert about a critical Linux vulnerability, a warning about password-spray attacks on Cisco VPNs, and more. Welcome to Cyber Security Today. It's Monday, April 1st, 2024. I'm Howard Solomon, contributing reporter on cybersecurity for ITWorldCanada.com and TechNewsday.com in the U.S. Linux administrators and developers must take fast action after the discovery of a backdoor

  • Ces startups du renseignement poussées dans les bras étrangers

    2 octobre 2019 | International, Sécurité

    Ces startups du renseignement poussées dans les bras étrangers

    Par Anne Drif Comme Linkurious et Earthcube, plusieurs entreprises innovantes du renseignement et de la défense sont sollicitées par des investisseurs étrangers, dont le fonds de la CIA In-Q-Tel. En France, elles n'ont pas ou peu d'alternatives de financement. "Il faut arrêter Hollywood !" l'che, amer, un entrepreneur français devant le déluge d'images sur l'innovation des armées qui anime la communication du ministère de la Défense depuis quelques semaines. Le "Flyboard Air" de Franky Zapata a failli battre pavillon américain . D'autres projets moins cathodiques sont poussés à prendre un drapeau étranger, faute de trouver les financements adéquats en France. La faille est désormais bien identifiée par les investisseurs étrangers, qui ont ciblé ouvertement ces derniers mois les startup françaises du secteur de la défense et de la sécurité. Le fonds de la CIA, In-Q-Tel, s'est intéressé de près à Linkurious, la startup qui a aidé dans l'affaire des "Panama Papers" en détectant les interconnexions entre personnes à partir de signaux faibles pour les banques, l'armée ou Bercy. Investisseurs américains ou qataris Le fonds d'investissement américain , qui vient de s'installer en Europe, a également approché Earthcube . Cette solution d'intelligence artificielle qui permet d'identifier en quelques secondes des micro pixels sur des images satellites est utilisée par la Direction du renseignement militaire. La société Elika, qui innove dans la linguistique opérationnelle pour permettre aux forces armées de communiquer dans un langage interallié a elle aussi reçu des propositions de fonds américains et qataris. Certaines - par exemple Dataiku, qui travaille pour Tracfin -, ont déjà basculé. La startup d'intelligence artificielle a bouclé un quatrième tour de table de 101 millions de dollars auprès de fonds anglo-saxons de premier ordre, comme Iconiq Capital, proche du CEO de Facebook, Mark Zuckerberg. Des startup trop connotées De fait, les startup de la défense et du renseignement se lancent gr'ce aux subventions et aux contrats industriels noués avec la Direction générale de l'armement ou la nouvelle Agence d'innovation de la défense, mais peinent très vite à grandir avec des solutions de financement hexagonales. "Si on veut conserver un ADN tricolore, l'écosystème de financement reste à inventer. Les investisseurs français sont hésitants à l'idée de mettre de l'argent dans notre secteur", témoigne Arnaud Guérin, le cofondateur d'Earthcube. Chez Numalis, où l'on gère une méthode de calcul capable de corriger les systèmes critiques des missiles, des fusées ou des centrales nucléaires, on cherche aussi de l'agent frais. La startup, qui mobilise des subventions de BPI et reçoit l'aide d'un fonds régional, a tenté de convaincre des fonds de capital-risque et d'amorçage. En vain. Désintérêts "Nous n'y sommes pas arrivés, explique Arnault Ioualalen, le fondateur. Si l'on ne trouve pas d'acteur français, nous nous efforcerons de nous tourner vers des Européens. Mais les fonds classiques réfléchissent à cinq ans, un horizon beaucoup trop court pour la deep-tech." Les grands fonds français expliquent leur appréhension. "Nous ne pouvons pas investir dans ce qui touche de près ou de loin au commerce d'armes, explique Jean-Marc Patouillaud, managing partner de Partech. Le nombre limité d'acteurs, de clients, la nature des cycles et des processus de vente sont des facteurs de risques, sans compter le droit de regard des pouvoirs publics sur toute transaction." Coup de fil du ministère des armées Même constat de Benoist Grossmann, le directeur général d'Idinvest. "La cybersécurité et la géosurveillance sont peu matures, et il existe plein d'autres opportunités dans d'autres secteurs. Aux Etats Unis, c'est différent, le marché de la défense est beaucoup plus profond", ajoute-t-il. Quand les fonds français osent quand même s'intéresser au secteur, "la première chose qu'ils sondent est Bercy au titre du contrôle des investissements... Dans l'heure, ils reçoivent un coup de fil de la DGA !" témoigne un entrepreneur. En réalité, ce problème n'est pas nouveau. En témoigne la création de Definvest, le fonds de 50 millions d'euros monté l'an dernier par bpifrance pour le compte du ministère des Armées. Mais ce dernier ne répond que partiellement aux besoins, car il intervient uniquement... aux côtés de fonds privés, et ne prend jamais la main. Par le passé, d'autres tentatives semi-publiques avaient déjà échoué . Pré-carré des industriels La défiance est la même du côté des banques. "Nous avons fait le choix de ne pas lever de fonds étrangers, mais nous ne trouvons pas de financement bancaire, même pour 500.000 euros. Nous tentons donc de fonctionner avec des prêts d'honneur de Total, Airbus et Michelin. C'est forcément limité", déplore Karine Joyeux, la présidente d'Elika. Pour les startup, les verrous ne sont pas que financiers. "Ce que nous font comprendre en creux les institutions de la Défense, c'est qu'elles ne veulent pas voir l'émergence de startups qui viendraient concurrencer les grands groupes installés, s'agace un entrepreneur du secteur. L'armée pousse à ce que nous intégrions nos technologies dans ces grands groupes, mais nous voulons garder notre indépendance. Et ce n'est pas ce qui va pousser à créer des technologies de rupture !" Du coup, certaines startup préfèrent l'autofinancement, comme Linkurious. "Nous avons fait le choix de ne pas lever de fonds pour garder notre indépendance", explique le président exécutif Sébastien Heymann. Vers un abandon du secteur défense pour le civil D'autres jeunes pousses renoncent et se réorientent purement et simplement vers la seule clientèle civile. C'est le "pivot" opéré par Flaminem, pourtant présenté comme le futur concurrent français de la société américaine d'analyse de données Palantir. "Nous restons attentifs au marché régalien, mais ce n'est pas un domaine qui réagit suffisamment vite à notre échelle", explique Antoine Rizk, le CEO de Flaminem. La startup s'est donc entièrement tournée vers le vaste marché de la lutte contre la fraude et le blanchiment des banques. Moins sulfureux, mais plus "bankable". https://start.lesechos.fr/startups/actu-startups/ces-startups-du-renseignement-poussees-dans-les-bras-etrangers-16216.php

  • Saab Signs Framework Agreement for AT4 and Carl-Gustaf Ammunition with the United States Government

    10 juillet 2019 | International, Autre défense

    Saab Signs Framework Agreement for AT4 and Carl-Gustaf Ammunition with the United States Government

    Saab has signed a multi-year framework agreement with the U.S. Government, which allows the U.S. Army, U.S. Marines and U.S. Special Forces to place orders for up to USD 445 million (approximately SEK 4.2 billion) during a five-year period. The recently signed framework agreement allows the customer to place orders for Saab's AT4 disposable weapon system and ammunition for the Carl-Gustaf® recoilless rifle. A first purchase order of USD 83 million (approximately SEK 771 million) was released at the signing of the agreement. “This framework agreement further strengthens our relationship with the U.S. Armed Forces, who have been users of our ground combat systems for decades. We see these continued investments as a clear proof that the customer values the flexibility and effectiveness of our systems,” says Görgen Johansson, head of Saab business area Dynamics. The order was booked in Q2 2019. Both Saab's AT4 and Carl-Gustaf (designated MAAWS in the U.S.) have long track records in the U.S. Since 1987, Saab has delivered more than 600,000 AT4s, both directly and under license, to U.S. forces. The Carl-Gustaf system has been a program of record in the U.S. since 2013 and in 2018 it was announced that U.S. Army will acquire the latest version of the system – the Carl-Gustaf M4 (designated M3E1 in the U.S.). https://saabgroup.com/media/news-press/news/2019-07/saab-signs-framework-agreement-for-at4-and-carl-gustaf-ammunition-with-the-united-states-government/

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