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May 5, 2024 | International, Land

Watchdog agency accuses chief of military police of blocking investigations | CBC News

The country's military police watchdog has accused the Canadian Forces Provost Marshal of obstructing its independent reviews of complaints.

https://www.cbc.ca/news/politics/military-police-provost-marshal-complaints-1.7193973

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  • Air2030: A la rencontre de SAAB et du Gripen E

    October 15, 2018 | International, Aerospace

    Air2030: A la rencontre de SAAB et du Gripen E

    Alexis Pfefferlé Lancement des rencontres BtoB Jeudi 11 octobre 2018, Lausanne. Première journée incontournable pour l'industrie suisse de la défense. A l'initiative du Groupe romand pour le matériel de Défense et de Sécurité (GRPM) , de Swissmem, l'association faîtière des PME et des grandes entreprises de l'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM) et du Bureau des affaires compensatoires à Berne, se tenait la première journée BtoB (Business to Business) dans le cadre de l'appel d'offre du programme Air2030. Pour rappel, le programme Air2030 est en substance le projet d'acquisition par l'armée suisse de nouveaux jets de combat et d'un nouveau système de défense sol-air de longue portée sous la forme d'un arrêté de planification pour un coût maximal de 8 milliards de francs. Au contraire de la votation de 2014 sur le Gripen, le peuple ne se prononcera cette fois pas sur le modèle d'avion mais uniquement sur l'enveloppe budgétaire souhaitée par le Département de Guy Parmelin. Suite à l'appel d'offre lancée par Armasuisse en juillet 2017 pour la partie avions de combats, cinq constructeurs sont entrés dans la course. Saab et son Gripen E, Dassault et son Rafale, Boeing et son FA 18 Super Hornet, Lookheed Martin et son F-35A et Airbus avec l'Eurofighter. Particularité de cet appel d'offre, l'achat de nouveaux avions de combat devra faire l'objet d'une compensation industrielle à 100%, à savoir que le pays vendeur devra compenser l'achat de la Suisse par des achats d'un montant équivalent auprès de l'industrie suisse. Dans le jargon, on appelle cela les affaires compensatoires ou l'offset industriel. C'est ainsi que dans le cadre de l'acquisition des nouveaux avions de combat, les cinq constructeurs sont appelés à rencontrer les sociétés suisses avec lesquelles ils pourront potentiellement conclure des contrats. L'enjeu est de taille, ces affaires compensatoires représentent près de CHF 8mia pour l'industrie suisse (dont 30% espérés en Romandie) et des possibilités très intéressantes de partenariats à long terme. Par le biais de ce blog, j'ai décidé de partager avec vous quelques détails de ces journées incontournables pour l'industrie suisse de la défense. SAAB en première ligne Retour donc à Lausanne le 11 octobre, à 0800 comme disent les militaires. L'ambiance est sobre, voire médicale, bien loin de l'image d'Épinal de la foire aux canons avec hôtesses slaves en pantalon treillis et kalachnikov. Les femmes, j'en compte 2 sur 200, sont en tailleur et ça parle beaucoup suisse-allemand, quand bien même la même réunion s'est tenue la veille à Berne. Après une introduction par le Président du Groupe romand pour le matériel de Défense et de Sécurité, c'est au Président du Switzerland Business Unit de SAAB d'entrer en scène. Le discours est rodé, court, impactant. Le Gripen E, version monoplace, est un avion de dernière génération, économique et facile à manœuvrer et à manutentionner. Il peut notamment être ravitaillé en essence et munitions en 10 minutes par une équipe réduite et décoller sur une piste de 800 mètres. Pour une présentation en Suisse, l'exemple est parfait. On en vient ensuite directement à la question des affaires compensatoires. On est là pour faire des affaires, ce n'est pas aujourd'hui que l'on vend l'avion. Sur ce point, le discours est stratégique avec deux concepts martelés tout au long de la présentation, implantation à long terme et partenariats plutôt qu'achats. Et SAAB soutient le discours par du concret, 25% des sociétés suisses présentes dans la salle sont déjà des fournisseurs de SAAB, et ce malgré l'échec de 2014, et un autre 20% est en cours de négociation. De plus, SAAB possède des participations dans au moins quatre sociétés suisses actives dans l'industrie de défense et comme SAAB produit, en plus de ses avions, des voitures, des tanks, des bateaux et même des sous-marins, le potentiel de collaboration est énorme. Sur l'aspect partenariat, les promesses sont alléchantes. Les sociétés suisses qui participeront au développement du Gripen E, si celui-ci était retenu, verront leurs technologies et produits intégrés au programme Gripen E et donc vendus aux autres pays intéressés par l'avion. Avec 60 avions en commande pour la Suède, 36 pour le Brésil et trois appels d'offres en cours en au Royaume-Uni, en Finlande et en Bulgarie, le “contrat suisse” pourrait faire des petits. Fin de la présentation, nous sortons boire un café ou un jus de pommes. Je vois s'activer les représentants des sociétés suisses qui, dans quelques minutes, débuteront leur BtoB avec l'avionneur. Quinze minutes par société en tête à tête pour conclure, dans une sorte de speed-dating technique en col blanc. GRIPEN E, points forts et points faibles Pour conclure sur le Gripen E, j'ai retenu quelques points forts/faibles au terme de cette première présentation. Points forts Forte implantation suisse de SAAB, tant en matière industrielle qu'en terme de lobbyisme ; Fort potentiel de partenariats en matière industrielle, militaire et civile ; Investissements historiques en Suisse et accroissement souhaité sur le long terme ; Transparence accrue dans les pays du Nord, notamment en matière de défense. Points faibles Faible poids de la Suède au sein de l'Europe dans une perspective géopolitique ; Marché de la défense à l'export plus petit et plus faible que d'autres concurrents, notamment dans la perspective d'affaires compensatoires dans d'autres domaines que l'aviation. Et si le Souverain disait non ? Avant de quitter les lieux, voyant toutes ces personnes peaufiner leur speech et les organisateurs régler les derniers détails, me vient à l'esprit cette réflexion : Et si tout ça n'aboutissait à rien ? En effet, ces rencontres BtoB, fruits de plusieurs mois de travail acharné des organisateurs et des industriels présents précèdent l'analyse des offres par l'armée et plus encore, le probable référendum. Au bout du compte, il se pourrait bien que tout ce temps et cet argent investis ne servent à rien en cas de nouvel échec devant le peuple. Ce qui m'amène à la réflexion suivante, pourquoi diable le Département fédéral de la défense et des sports n'a-t-il pas pressé pour que l'on vote avant l'appel d'offre ? Venir en 2020 devant le peuple avec l'argument que tout est déjà réglé et qu'il ne manque que la signature du souverain, c'est prendre un énorme risque. Espérons qu'il soit calculé. ABE Bon baiser de Suisse. https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/15/air2030-a-la-rencontre-de-saab-et-du-gripen-e/

  • Exclusive: Hitachi set to win EU okay for $1.8 bln Thales deal, sources say | Reuters

    October 19, 2023 | International, Aerospace

    Exclusive: Hitachi set to win EU okay for $1.8 bln Thales deal, sources say | Reuters

    Hitachi is set to win EU antitrust approval for its 1.7-billion-euro ($1.8 billion) acquisition of Thales' GTS railway signalling business on the condition it sells assets in France and Germany, three people familiar with the matter said on Thursday.

  • Support Swells For New Indo-Pacom Funding; Will Money Follow

    May 29, 2020 | International, Naval

    Support Swells For New Indo-Pacom Funding; Will Money Follow

    The National Defense Strategy called the Indo-Pacific the DoD's priority theater. “But all of us also recognize that strategy is budget and budget is strategy, and the budget numbers have not supported, to date, the Indo Pacific's role as the primary theater.” By PAUL MCLEARYon May 29, 2020 at 4:01 AM WASHINGTON: Two prominent senators and a top Pentagon official have come out in support of a new fund aimed at boosting the Indo-Pacific command's logistic, training, and missile-defense missions. The Pacific initiative will have to contend with the federal government's massive COVID-19 response and an exploding federal debt, however, some of which may be countered by the increasingly acrimonious relations with China. The idea of a funding package that would build training ranges across the Pacific and beef up missile defense systems in Guam and Hawaii was proposed in April by Indo-Pacom commander Adm. Philip Davidson, who sent a plan to Congress for $20 billion in funding between 2021 and 2026 to bulk up the US presence in the region. The plan received some bipartisan support on Capitol Hill, and will now find its way into the debate hammering out the 2021 budget markup this summer, Sen. Jim Inhofe, chairman of the Senate Armed Services Committee said Thursday. In a joint op-ed with the top Democrat on the committee Sen. Jack Reed, the duo wrote that “with the stakes so high, the time for action is now. That's why this year we intend to establish a Pacific Deterrence Initiative in the National Defense Authorization Act for Fiscal Year 2021.” The fund will “focus resources on key military capabilities to deter China. The initiative will also reassure U.S. allies and partners, and send a strong signal to the Chinese Communist Party that the American people are committed to defending U.S. interests in the Indo-Pacific.” In a Thursday video conference hosted by the Center for Strategic and Budgetary Assessments, Heino Klinck, deputy assistant Secretary for East Asia said he also supports the idea, while acknowledging that “it'll be a slog” to get the enhanced funding through Congress while so many other funding priorities are competing for federal dollars. “Obviously, when the National Defense Strategy came out it very clearly stated that the priority theater is for us the Indo-Pacific,” he said. “But all of us also recognize that strategy is budget and budget is strategy, and the budget numbers have not supported, to date, the Indo Pacific's role as the primary theater.” Part of the reason for that has been the Trump administration's inability to extricate itself from ongoing wars in the Middle East, including the fight against ISIS and ongoing tensions with Iran that led to thousands more US troops, aircraft, and aircraft carriers heading to the Middle East over the past year. There have been some signs that the Pentagon is looking to shift focus, however. On Thursday, the USS Mustin destroyer sailed within 12 nautical miles of Woody Island in the Paracel Island chain, where China maintains an airfield although the island is claimed by two other countries and has landed bomber aircraft in the past. The Mustin's pass by was the third time in the past month that American ships have challenged Chinese claims to the Paracel and Spratly islands, and the third since March. US B-1 bombers have also flown over the South China Sea recently, and earlier this month, two Navy ships sailed into the middle of a simmering dispute between China and Malaysia in the South China Sea, while being trailed by a shadowing Chinese warship. The Littoral Combat Ship USS Montgomery and supply ship USNS Cesar Chavez sailed close to a Malaysian drillship, the West Capella, a signal to Chinese warships who spent weeks harassing the vessel in international waters illegally claimed by Beijing. These and “other organic decisions that have come out of the [Pentagon] have demonstrated that we're putting more and more resources into the Indo-Pacific,” Klinck said. “I think the president's intent of reducing our footprint in the Middle East and in Central Asia will also lead to additional resources being available for the Indo-Pacific,” he added, “so I think the trend lines are positive, but it will be a slog particularly now in this COVID environment as resources are even tighter.” Davidson's original proposal called for $1.6 billion in the fiscal 2021 budget submitted earlier this year, and $18.4 billion between 2022 and 2026. The biggest funding recommendation is $5.2 billion over the five-year projection for investments in 360-degree air and missile defense systems, long-range precision fires, and ground- and space-based radars. Davidson also identified as “my number one unfunded priority,” the Homeland Defense System-Guam. It's not clear what the overall contours of the Inhofe-Reed plan might be, but they suggest it will have “the aim of injecting uncertainty and risk into Beijing's calculus, leaving just one conclusion: ‘Not today. You, militarily, cannot win it, so don't even try it.'” House Armed Services Committee leaders have also expressed bipartisan support for the idea, with chairman Adam Smith publicly backing the idea, though he hasn't disclosed any detailed plans. Ranking member Mac Thornberry has suggested finding $6 billion in the 2021 budget on things like air and missile defense systems and new military construction in partner countries. That kind of new spending would likely face an uphill battle finding approval across parties and committees with their own priorities, and with flat budget projections going forward, money will be tighter than in previous years. https://breakingdefense.com/2020/05/support-swells-for-new-indo-pacom-funding-will-money-follow

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