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January 10, 2019 | Local, Aerospace

Used Australian F-18s heading to Canada will be a mix of single and dual seat aircraft

DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN

The Canadian Forces is preparing to take possession by the spring of the first of 25 used Australian F-18 fighter jets. Eighteen of the Australian aircraft will be flying while another seven will be used for testing and spare parts.

The Department of National Defence has provided more details on the types of aircraft Canada is acquiring. “The requested mix is 12 A-model (single seat) and 6 B-model (dual seat) aircraft; however, this is subject to adjustment,” said Department of National Defence spokesman Dan Le Bouthillier. The final mix will be dependent on a number of considerations, including the condition and availability of aircraft, he added.

The dual seat aircraft will be used for training, Le Bouthillier noted.

The additional fighter jets will be used to augment operations and training.

One of the first things that will be done to the used Australian F-18s that Canada is purchasing is that the aircraft will be outfitted with different ejection seats and software.

The first two F-18s that Canada is buying from Australia will arrive sometime in the spring and will be sent to Cold Lake, Alta, Pat Finn, assistant deputy minister for materiel at the Department of National Defence said.

“They land, they (the Australians) will remove their software and we'll install our software,” Finn explained in an interview. Also to be installed are ejection seats and a lighting system that is used on the CF-18s.

“Ultimately the intent is the 18 aircraft are indistinguishable from our 76 aircraft,” Finn said.

Canada has finalized its deal to buy the 25 used fighter jets from Australia,

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/used-australian-f-18s-heading-to-canada-will-be-a-mix-of-single-and-dual-seat-aircraft

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    September 2, 2020 | Local, Aerospace

    La saga du F-35 dernière partie

    Dans ce quatrième épisode sur la saga du F-35, Gregory et Olivier font une revue des pays qui l'ont acheté. Ils dressent ensuite la liste des contrats potentiels à venir. Par la suite, nos deux iconoclastes continuent de déboulonner certains mythes avec la revue détaillée des systèmes du F-35. Je vous invite donc à regarder ce quatrième épisode afin que vous puissiez mieux l'apprécier. S'il existe beaucoup de textes et de podcasts sur le F-35, ils sont presque tous en anglais. La série de quatre épisodes de Gregory et Olivier est une rareté en français. Pour ne pas manquer cet épisode, abonnez-vous à notre chaîne Youtube. Vous pouvez également télécharger les podcast en cliquant ici. Les Ailes du Québec se joint à Mentoraero pour produire des podcast sur l'actualité aéronautique. Pour cet épisode hors-série, Gregory Blanc de Mentoraero ainsi qu'olivier Lacombe « le pilote laconique » sont les commentateurs. La formule de l'Aéropod se rapproche de celle du blogue alors que nous discutons de sujets d'intérêt. Si vous avez des commentaires ou des corrections à apporter, nous vous invitons à le faire. Éventuellement, il sera possible d'enregistrer vos commentaires pour les faire entendre sur l'Aeropod. https://www.lesailesduquebec.com/la-saga-du-f-35-derniere-partie/

  • Le stratagème du ministre Harjit Sajjan pour dégoter des respirateurs

    April 23, 2020 | Local, Security, Other Defence

    Le stratagème du ministre Harjit Sajjan pour dégoter des respirateurs

    (Ottawa) Le ministre de la Défense Harjit Sajjan a pu déjouer les velléités protectionnistes de l'administration Trump et obtenir 200 respirateurs destinés au Canada qui étaient retenus à Boston gr'ce aux liens qu'il a pu établir avec le Pentagone au cours des cinq dernières années. Publié le 21 avril 2020 à 4h00 Selon des informations obtenues par La Presse, les respirateurs en question sur lesquels les autorités canadiennes voulaient mettre la main ne devaient plus quitter le territoire américain à la suite de la décision du président des États-Unis Donald Trump d'invoquer le Defence Production Act (DPA), une loi qui remonte à la guerre de Corée et qui permet à l'administration d'imposer des conditions aux manufacturiers américains, par exemple le type de produits qu'ils fabriquent en priorité, et d'en limiter les exportations. Le président Trump a récemment invoqué cette loi pour empêcher la société américaine 3M d'exporter des masques N95 vers le Canada et des pays d'Amérique latine. Cette décision, qui a soulevé l'ire des autorités canadiennes, et en particulier du premier ministre de l'Ontario Doug Ford, a toutefois été partiellement infirmée une semaine plus tard, et l'entreprise a pu reprendre ses exportations vers le Canada. En coulisses, le ministre Sajjan et ses conseillers ont pu contourner les obstacles érigés par le président américain afin d'obtenir les 200 respirateurs flambants neufs en demandant aux Forces armées canadiennes de procéder à leur achat. « Le ministre et son équipe ont persuadé le Pentagone de les envoyer au Canada. On leur a dit qu'il fallait que la commande soit faite par les Forces armées canadiennes et le Pentagone, en raison des alliances militaires existantes, avait l'autorisation de procéder à l'envoi des respirateurs », a expliqué une source gouvernementale. La Presse a accordé l'anonymat à cette source parce qu'elle n'avait pas l'autorisation de discuter publiquement de ce dossier. « C'est tout de même remarquable ce qui a été fait dans ce dossier. [...] C'est d'autant plus vrai que les relations canado-américaines représentent tout un défi en raison de la crise et que les choses risquent d'empirer encore au sud de la frontière », a ajouté cette source digne de foi. D'un commun accord, le Canada et les États-Unis ont annoncé en fin de semaine que la frontière entre les deux pays allait demeurer fermée pour les voyages non essentiels pour une autre période de 30 jours, soit jusqu'au 21 mai. Ces 200 respirateurs font partie des quelque 400 appareils obtenus par le gouvernement fédéral qui ont été distribués aux provinces au cours des dernières semaines, selon nos informations. Il a été impossible d'obtenir le nombre de respirateurs qui a été remis à chacune des provinces par Ottawa. Au bureau du ministre Sajjan, un proche collaborateur n'a pas voulu commenter l'intervention en coulisses du ministre, préférant braquer les projecteurs sur l'ensemble du gouvernement fédéral durant la crise de la pandémie de COVID-19. « Le ministre a d'excellentes relations avec son homologue de la Défense aux États-Unis. Il s'agit d'un travail d'Équipe Canada », a notamment affirmé ce proche collaborateur, qui a requis l'anonymat. Récemment, le premier ministre Justin Trudeau a annoncé que le gouvernement fédéral avait conclu des ententes avec des entreprises canadiennes comme Thornhill Medical et CAE, entre autres, afin d'acheter 30 000 respirateurs fabriqués au Canada. À la reprise des travaux de la Chambre des communes, lundi, M. Trudeau a indiqué que l'on s'attend à ce qu'une première commande de respirateurs soit livrée en mai. M. Trudeau a d'ailleurs dû expliquer aux Communes pourquoi une agence fédérale avait jeté aux ordures quelque 2 millions de masques N95 et 440 000 gants qui se trouvaient dans un entrepôt de la Réserve nationale stratégique d'urgence (RNSU), qui a pignon sur rue à Regina, au printemps dernier, comme l'a révélé la semaine dernière une enquête de la CBC. La RNSU, qui relève du gouvernement fédéral, permet aux provinces et aux territoires d'obtenir des équipements médicaux qui s'y trouvent en cas de crise sanitaire comme une pandémie. Le premier ministre a indiqué que ces équipements étaient périmés depuis au moins cinq ans, mais il a affirmé que l'on doit revoir les protocoles d'utilisation afin de remettre ces équipements aux provinces pour les utiliser avant qu'ils atteignent la date limite d'utilisation de cinq ans. Cela devrait permettre à l'agence de renouveler son stock en quantité suffisante pour affronter les crises comme celle que l'on vit en ce moment. https://www.lapresse.ca/covid-19/202004/20/01-5270187-le-stratageme-du-ministre-harjit-sajjan-pour-degoter-des-respirateurs.php

  • Canada's special forces seek outside intelligence advice

    September 24, 2020 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Canada's special forces seek outside intelligence advice

    Murray Brewster Intelligence expert says Canadian Forces may be preparing for more missions without American help Canada's elite special forces are looking for some outside intelligence advice — a move that one expert said is likely meant to make the highly-trained special forces section less dependent on allies, notably the Americans. A request for proposals was posted late last week to the federal government's tendering website asking private contractors to submit bids to become a "senior intelligence" adviser to the special forces, which undertake some of the military's most secret and dangerous missions. The individual will be expected to "aid and support in the implementation of current intelligence projects, and the design and implementation of future capabilities." Specifically, the new adviser will be responsible for helping to guide "the establishment of specific [Intelligence, Surveillance and Reconnaissance] capabilities," which will include aircraft. The special forces recently bought three new surveillance aircraft from the U.S. The planes, which are expected to arrive in 2022, will be equipped with sensors and tracking gear to intercept cell telephone and other electronic transmissions. The request for proposals also says the new adviser will be expected to have a deep background in working with other allied intelligence services. In its defence policy, released three years ago, the Liberal government committed to bolstering the military's intelligence-gathering capability. The special forces section itself emphasized intelligence-gathering in its recently released strategy, called Beyond the Horizon. Within the defence community, the strategy is seen as an important effort to refocus the special forces after nearly two decades of concentrating on counter-insurgency warfare. A spokesperson for the Canadian Special Operations Forces Command (CANSOFCOM), Maj. Amber Bineau, had little to say about the rationale for hiring a contract adviser beyond what was included in the request for proposals. The branch "periodically hires contractors, on a case-by-case basis" and the adviser will be working with "oversight from senior leadership within CANSOFCOM," she said in an email. The University of Ottawa's Wesley Wark, one of the country's leading experts in intelligence, said the decision to bring in outside expertise and establish surveillance and reconnaissance capabilities for the special forces is a significant move — especially coming at a moment when the United States is seen as pulling back from engagement with its allies, or focusing on different priorities. Wark said Canada traditionally has relied on the Americans for a variety of intelligence-gathering capabilities, including military intelligence. The request for proposals, he said, amounts to a recognition by the Department of National Defence that some future special forces missions may not involve partnerships with U.S. special forces — and that Canada needs its own independent capabilities. "If you're going to work with some different kinds of partners, the expectation grows that you're going to have to have your own sources and you can't just be relying on the United States," he told CBC News. Wark said he could foresee, for example, Canadian special forces being called upon by the United Nations for specific intelligence help during peace support missions — a task that, in the current political climate, Washington would avoid. Just as important, Wark said, is the fact that the request for proposals asked for someone with expertise in social media intelligence, "which is interesting and indicative of the kind of complex operations" the force will be facing in the future. https://www.cbc.ca/news/politics/special-forces-intelligence-1.5726861

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