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August 16, 2018 | International, Naval

U.S. Navy Opens Innovation Hub At Pax River

In keeping with the Pentagon's focus on rapid prototyping, the U.S. Navy opened an Innovation Hub (iHUB) this month at the Naval Air Warfare Command Aircraft Division (NAWCAD) in Patuxent River, ...

http://aviationweek.com/awindefense/us-navy-opens-innovation-hub-pax-river

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    February 8, 2023 | International, Naval, C4ISR

    How the US Navy is creating the ‘nirvana of one combat system’

    The Navy is working to decouple software from hardware and is developing decision aids to support the Integrated Combat System.

  • Japan releases record-high budget, but not all programs made the cut

    December 22, 2020 | International, Aerospace

    Japan releases record-high budget, but not all programs made the cut

    By: Mike Yeo MELBOURNE, Australia — Japan's defense budget for the next fiscal year will set a record high for the seventh year running, although the approved figure is still lower than that requested by the Defense Ministry. The country's Finance Ministry approved a budget of $51.5 billion for the Defense Ministry, which is $3.5 billion lower that the Defense Ministry requested in September. Funds expected to upgrade Japan's fleet of fighter jets were removed as part of the reduction. Specifically, the request for $205 million to upgrade the Japan Air Self-Defense Force's F-15J Eagle interceptors was cut in full. The upgrade would have seen the interceptors get new radars and mission computers, and equipped with standoff land-attack missiles. But local media reports said the escalating costs of nonrecurring engineering work prompted a rethink of the program. Japan requested and received the U.S State Department's approval for the upgrade of up to 98 F-15Js for an estimated cost of up to $4.5 billion. The work would have been carried out by F-15 manufacturer Boeing in conjunction with Mitsubishi Heavy Industries, which built the Japanese jets under license in the 1980s. Plans to buy two more Kawasaki C-2 airlifters and 25 wheeled Type 16 combat vehicles were also impacted, with the adjusted budget now allocating funds for only one C-2 and 22 Type 16. However, plans for Japan to acquire four more Lockheed Martin F-35A conventional-takeoff-and-landing jets and two F-35B short-takeoff-and-vertical-landing jets over the next fiscal year will go ahead. Japan has an eventual requirement for 105 F-35As and 42 F-35Bs, which makes it potentially the biggest operator of the Joint Strike Fighter outside of the United States. The country announced earlier this week that it selected Lockheed Martin to partner with local industry in the development of a next-generation fighter jet. The approved budget also allocates $323 million to increase the range of the indigenous truck-launched Type 12 anti-ship missile, with Japan seeking to eventually use the missile from aircraft and ships to strike naval targets from standoff distances. Budget documents also confirmed Japan is conducting a feasibility study on building two more destroyers fitted with the Aegis combat system and radars to beef up ballistic missile defense. The move follows the decision to cancel plans to build two Aegis Ashore systems on Japanese soil due to the danger of boosters from the missile interceptors falling onto populated areas. Previous local media reports said the proposed destroyers would use the Lockheed Martin AN/SPY-7(V)1 radar, which was also selected by Japan for the canceled Aegis Ashore systems. The budget is for the forthcoming Japanese fiscal year, which starts April 1, 2021. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2020/12/21/japan-releases-record-high-budget-but-not-all-programs-made-the-cut/

  • UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    March 5, 2019 | International, Aerospace, Naval, C4ISR

    UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    (AOF) - La Direction générale de l'armement (DGA) vient de confier à un groupement industriel mené par Airbus et composé de Naval Group et Rohde & Schwarz, le contrat RIFAN 2.1. Ce contrat a été signé pour une durée maximale de 8 ans et un montant maximum de 150 millions d'euros. Le contrat consiste à maintenir et adapter l'actuel Réseau IP de la Force Aéronavale étape 2 (RIFAN 2) aux besoins de la Marine nationale dans les années à venir, à y intégrer de nouveaux b'timents et à traiter les obsolescences des matériels et logiciels. Il permettra ainsi d'intégrer dans le réseau RIFAN 2 les frégates de défense et d'intervention (FDI), futures frégates de premier rang de la Marine nationale, ainsi que les futurs pétroliers-ravitailleurs du programme BRF (b'timent ravitailleur de forces). Les adaptations du réseau porteront tant sur son architecture centrale que sur la mise à jour du système de surveillance et de détection des incidents de cyber-sécurité. 63 b'timents sont équipés du réseau RIFAN 2 : du porte-avions et frégates aux b'timents de soutien et patrouilleurs basés outre-mer, ainsi que des sous-marins. Le programme vise à doter la force navale française, d'un véritable réseau sécurisé à haut-débit. Il est conçu pour échanger entre les navires à la mer et les centres de commandement à terre, des données de différents niveaux de classification allant de " non protégé " jusqu'aux niveaux " secret ". Le réseau permet de transmettre aussi bien les données issues des applications spécifiques à la conduite des opérations aéronavales que celles dédiées à la gestion quotidienne et logistique de la vie à bord, comme celles des systèmes d'information des états-majors de thé'tre embarqués pour la durée d'une opération. RIFAN 2 comprend également une capacité de gestion globale du réseau et de surveillance des incidents de cyber-sécurité. Cette supervision s'exerce à la fois depuis un centre de gestion et de contrôle à terre, que localement à bord des navires, conférant ainsi une certaine autonomie aux équipages afin d'assurer le meilleur emploi du réseau en fonction de la situation opérationnelle. AOF - EN SAVOIR PLUS Les points forts de la valeur - Numéro un européen et numéro deux mondial de l'industrie aéronautique, spatiale et de défense, né de la fusion en 2000 du français Aerospatiale Matra, de l'espagnol Casa et de l'allemand Dasa ; - Activité de 67 Mds€ répartie entre l'aéronautique civile avec Airbus pour 75 %, défense & espace pour 16 % et Airbus Helicopters pour 9 % ; - Excellente visibilité pour un secteur en croissance annuelle de 3 %, bénéficiant de fortes barrières à l'entrée et d'un bon « pricing power » ; - Famille d'avions civils la plus complète du marché, de l'A380 et l'A350 (long-courrier) à l'A330 (15 heures de vol) et l'A320 (10 heures) et numéro un mondial des hélicoptères (47 % du marché civil en termes de livraisons) ; - Carnet de commandes record de 997 Mds€, donnant une visibilité de près de 15 ans de chiffre d'affaires, provenant de l'Asie-Pacifique (29 %), d'Europe (22 %), d'Amérique du nord (20 %), du Proche-Orient (12 %) et d'Amérique latine (7 %) ; - Acquisition sans sortie de cash de 50,01% de C-Series, programme de l'avionneur canadien Bombardier, qui renforce la position d'Airbus Group face à Boeing ; - Trésorerie importante alimentée par les avances sur commandes et retour à un flux de trésorerie élevé, gr'ce à une bonne maîtrise des besoins en fonds de roulement ; - Vers une hausse du taux de distribution aux actionnaires. Les points faibles de la valeur - Retards de livraisons pesant sur l'autofinancement ; - Incertitudes judiciaires avec risques de pénalités entre 1 et 6 MdsE ; - Ralentissement des cadences des programmes A380 et A400M ; - Forte concurrence à venir dans le spatial de la part de Space X. Comment suivre la valeur - Performances étroitement liées à la santé des compagnies aériennes ; - Sensibilité aux parités de change, 60 % des ventes étant facturées en dollars américains pour une base de coûts majoritairement en euros ; - Poursuite du plan « Vision 2020 », initié en 2009 et visant à un équilibre entre l'aviation commerciale et les autres activités, à un doublement à 25 % de la part des services dans le chiffre d'affaires, à un renforcement à l'international avec 40 % des approvisionnements hors Europe ; - Capacité à redresser le programme C-Series et, dans les usines européennes, à diminuer le nombre d'avions retenus au sol pour problèmes techniques ; - Confirmation de l'accélération du rythme de livraison des A320neo ; - Après l'autorisation des autorités européennes pour l'A330-900, attente de celle des autorités américaines ; - Capital réparti depuis juin 2013 entre l'Etat français (11, % via la Sogepa), l'état allemand (11,1 % via GZbv) et l'état espagnol (4, % via SEPI), réunis par un pacte d'actionnaires. Aéronautique - Défense Le secteur aéronautique est soumis à une profonde mutation. A la recherche de relais de croissance et d'une amélioration de leur rentabilité, les acteurs ne se concentrent plus seulement sur leur cœur de métier (design et assemblage des avions) mais se tournent également vers les services. Ces derniers recouvrent aussi bien le service après-vente (maintenance et réparation des appareils) que la transformation d'avions de ligne en avions-cargos, ou la formation des équipages et des mécaniciens, l'aménagement des cabines et l'optimisation des appareils. Cette évolution amène les avionneurs à revoir complètement la conception de leur métier : ils ne livrent plus un produit mais un usage. Selon Boeing, le chiffre d'affaires des services à l'aviation commerciale pourrait ainsi dépasser celui des avions neufs pour atteindre 8.800 milliards de dollars d'ici à 2037. https://www.capital.fr/entreprises-marches/un-groupement-industriel-mene-par-airbus-decroche-un-contrat-de-150-millions-aupres-de-la-dga-1330006

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