U.S. Navy Awards Sikorsky Contract To Build 35 CH-53K® Helicopters

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  June 22, 2020 | International, Aerospace

  L’avion qui aurait pu remplacer le F-35

  Point clé: L'armée avait le choix entre quelques options lorsqu'elle recherchait le prochain chasseur furtif. Il a finalement décidé de ce qui allait devenir le F-35. Le ministère de la Défense (DoD) n'a pas eu à opter pour le F-35. Dans les années 1990, Boeing et Lockheed Martin ont soumissionné pour le prochain gros contrat de chasse, un avion qui servirait dans chacune des forces aériennes, navales et marines, ainsi que pour soutenir les forces aériennes de nombreux alliés américains. Boeing a servi le X-32; Lockheed le X-35. Le Pentagone a choisi le F-35. Compte tenu des luttes de la dernière décennie avec le Joint Strike Fighter, il est impossible de ne pas se demander ce qui aurait pu être; Et si le DoD était parti avec le X-32 de Boeing à la place, ou avec une combinaison des deux appareils? Histoire: À la fin de la guerre froide, le Pentagone a proposé un projet de chasseurs conjoints dans l'espoir de réduire la queue logistique globale des forces en campagne, ainsi que de minimiser les coûts de développement. Chacun des trois services d'avions de chasse avait besoin d'être remplacé par l'avion de 4e génération dans son inventaire; les F-15 et F-16 dans le cas de l'Air Force, et les F / A-18 et AV-8B Harrier dans le cas de la Navy et du Marine Corps. Le nouveau chasseur avait donc besoin de configurations conventionnelles, porteuses et STOVL (atterrissage vertical à décollage court). Historiquement, le DoD n'avait pas eu de chance avec les programmes conjoints, mais l'espoir était qu'une «articulation» accrue entre les services, combinée à des techniques de production plus avancées et à des procédures logistiques plus soigneusement affinées, ferait qu'un combattant partagé en valait la peine. Toutes les parties ont compris que le vainqueur de la compétition connaîtrait probablement un grand succès à l'exportation, car de nombreuses forces aériennes du monde entier avaient besoin d'un chasseur de cinquième génération. En bref, il s'agissait de la plus grosse transaction à l'horizon de l'industrie de la défense de l'après-guerre froide. Boeing et Lockheed Martin ont remporté des contrats pour développer chacun deux démonstrateurs. L'histoire continue Capacités: Construits selon les mêmes spécifications, le X-32 et le F-35 avaient des paramètres de performances relativement similaires. Décidant de rivaliser sur les coûts, Boeing a conçu le X-32 autour d'une aile delta monobloc qui s'adapterait aux trois variantes. Le X-32 n'avait pas la portance du turboréacteur entraîné par l'arbre du F-35, utilisant à la place le même système de vectorisation de poussée que l'AV-8 Harrier. Le système du X-32 était moins avancé que celui du F-35, mais aussi moins complexe. Le X-32 a été conçu pour atteindre Mach 1,6 en vol conventionnel. Il pourrait transporter six AMRAAM ou deux missiles et deux bombes dans sa baie d'armes interne. Les caractéristiques de portée et de furtivité étaient généralement similaires à celles attendues du F-35, et le corps de l'avion pouvait accueillir une grande partie de l'équipement électronique avancé que le F-35 transporte maintenant. Décision: Une chose est sûre; le X-32 était un avion ridiculement laid. Cela ne ressemblait pas tellement à la ponte d'un A-7 Corsair et à un lamantin hideusement déformé. Le F-35 n'est pas un prix d'un point de vue esthétique, sans les lignes élégantes et dangereuses du F-22, mais le X-32 a rendu le F-35 positivement sexy en comparaison. Quelle importance cela devrait-il avoir? Pas du tout. Quelle importance cela avait-il? Bonne question. Les pilotes de chasse n'aiment pas piloter des avions qui semblent pouvoir être écrasés par un hors-bord en Floride. Pour des raisons plus concrètes, la stratégie de Boeing a probablement nui à ses chances. Au lieu de construire un démonstrateur capable de répondre aux exigences des trois services, Boeing en a construit deux; l'un capable de vol supersonique conventionnel, et l'autre de décollage et d'atterrissage vertical. Le prototype de Lockheed pourrait faire les deux. Le Pentagone a également apprécié la nature innovante (bien que risquée) du turbolift du F-35. Enfin, l'expérience de Lockheed avec le F-22 a suggéré qu'il pourrait probablement gérer un autre grand projet de chasseur furtif. Conclusion: Choisi en 2001, le F-35 est devenu le plus grand projet d'approvisionnement du Pentagone de tous les temps et l'un des plus assaillis. Le X-32 a échappé à tous les défis les plus importants pour le F-35. Le X-32 n'a jamais fait face à des décennies de tests et de refonte; il n'a jamais connu de dépassements de coûts massifs; il n'a jamais été soumis à une série interminable d'articles sur la façon dont il ne pouvait pas déjouer un F-16A. La nostalgie de ce qui aurait pu être est courante dans les compétitions d'avions, et il est impossible de dire si le X-32 aurait rencontré les mêmes difficultés que le F-35. Étant donné la nature complexe des projets de chasse avancés, la réponse est presque certainement «oui». Mais avec le recul, il aurait presque certainement été plus logique de choisir un chasseur alternatif VSTOL pour le Marine Corps. Cela aurait éliminé l'aspect le plus complexe du projet «conjoint»; la nécessité de créer un avion qui partage des composants critiques à travers trois variantes très différentes. Cela aurait également aidé à répartir la richesse entre les différents grands entrepreneurs de la défense, une pratique qui est devenue de plus en plus une priorité du Pentagone. Bien sûr, étant donné que les aspects STOVL des F-35 et X-32 ont été intégrés au stade de la proposition, cela aurait nécessité de revenir en arrière jusqu'en 1993, pas seulement en 2001. Robert Farley, un contributeur fréquent de TNI, est l'auteur du Battleship Book. Il est maître de conférences à la Patterson School of Diplomacy and International Commerce de l'Université du Kentucky. Son travail comprend la doctrine militaire, la sécurité nationale et les affaires maritimes. Il blogue sur Avocats, Armes à feu et Diffusion d'argent et d'informations et Le Diplomate. Cela est apparu pour la première fois en 2016. https://www.breakingnews.fr/international/lavion-qui-aurait-pu-remplacer-le-f-35-523306.html

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  June 22, 2020 | International, Aerospace, C4ISR

  U.S. Hypersonic Defense Plan Emerges, But Not Cash

  Steve Trimble A U.S. hypersonic defense system has evolved from wide-open concept studies two years ago into a densely layered architecture populated by requirements for a new generation of space-based sensors and ground-based interceptors. Over the next two years, the first elements of the Defense Department's newly defined hypersonic defense architecture could advance into operational reality if all the pieces can overcome various challenges, including the Pentagon's so far ambiguous commitment to long-term funding. Space-based hypersonic tracking is possible in 2023 New sea-based interceptor will possibly be ready by mid-2020s Pentagon seeks Congressional add-ons to finance plan The Space Development Agency (SDA), with assistance from the Missile Defense Agency (MDA) and the Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), next year will start launching satellites into orbit with new forms of tracking technology optimized to perform the challenging task of remotely targeting hypersonic missiles as they maneuver in the atmosphere hundreds of miles below. At the same time, the MDA and DARPA will soon begin demonstrating a new class of kinetic and nonkinetic interceptor technologies. In addition to solving the guidance and thermal challenges posed by hypersonic flight, this new class of missile defense weapons must be guidable by satellites potentially perched far over the horizon, not by sensors integrally linked on the ground to their launching systems. Pentagon officials began conceiving a hypersonic defense architecture a year after launching multiple offensive weapons programs in 2017, seeking to close gaps in the ballistic defense system that missiles now fielded by adversaries are designed to exploit. With the ability to maneuver hundreds of miles off a ballistic trajectory, hypersonic glide vehicles (HGVs) and cruise missiles are designed to evade the MDA's network of stationary ground-based and slow-moving sea-based radars dotted around the globe. By gliding or powering through the atmosphere against the warm background of Earth, the same missiles appear 10-15 times less luminous during the midcourse phase than the boost-phase, exoatmospheric objects that the MDA designed the Space-Based Infrared System (SBIRS) satellites to detect, according to Michael Griffin, the undersecretary of defense for research and engineering. Closing those gaps will require serious investment. Despite plans to infuse more than $10 billion to field at least three different rocket-boosted HGVs by 2025 as offensive weapons, the Pentagon's financial commitment to field a defensive capability is not as clear. The MDA, for example, submitted a fiscal 2020 budget request in February 2019 that included around $157 million in hypersonic defense. A month later, the agency submitted an unfunded-priorities list to Congress, asking for another $720 million for hypersonic interceptors and tracking sensors. Congress met the MDA more than halfway, adding $400 million to the final appropriations bill. A similar shortfall then appeared in the MDA's fiscal 2021 budget request. The agency included $207 million for hypersonic defense but asked Congress to chip in another $224 million on top of the budgeted amount, according to a March report by the Center for Strategic and International Studies' (CSIS) Missile Defense Project. Moreover, the Defense Department's long-range forecast for hypersonic defense spending shows an ambiguous commitment at best. The MDA plans to launch a competition to select a Regional Glide-Phase Weapon System (RGPWS) in fiscal 2021 but only if Congress approves the additional $224 million identified in the unfunded priorities list. At the same time, the new SDA plans to start demonstrating MDA's Hypersonic Ballistic Tracking and Surveillance System (HBTSS) alongside the SDA's own tracking layer in orbit. But the unclassified version of the Future Years Defense Program, which details the Defense Department's five-year spending forecast, shows declining support for hypersonic defense after next year. If Congress approves the extra $224 million for MDA, hypersonic defense spending would peak at around $450 million next year, then average about $112 million annually from fiscal 2022 to 2025, according to the CSIS data. The implication seems clear: Despite the MDA's public commitment to a hypersonic defense system, the agency prefers to finance the development mainly by annual congressional add-ons. Although the MDA's long-term funding plan for hypersonic defense is limited, the potential threats are no longer speculative. In December, the Russian government announced it had achieved operational status for the Avangard, a nuclear-tipped HGV launched by a modernized SS-19 intercontinental ballistic missile. Two months earlier, Gen. Paul Selva, then-vice chairman of the Joint Chiefs of Staff, explained the implications of an adversary with a nuclear-armed HGV: Imagine if NATO attempted to blunt a move by Moscow to occupy a Baltic state, and Russian strategic forces responded by threatening to launch an Avangard missile. The now-retired general warned that a single Avangard could arc over the Arctic Ocean, and as it reached the northern tip of Hudson Bay, Canada, could change course. It could then veer to target the U.S. East Coast or strike the West Coast, Selva says. U.S. forces currently have no ability to deter or defend against such a capability. To solve that problem, a new space-based tracking system is needed. The Pentagon's existing satellites are either looking for a more luminous signal than that of an HGV or a hypersonic cruise missile or are using a very narrow field-of-view sensor to minimize background clutter, says SDA Director Derek Tournear, who spoke with Aviation Week during a June 4 webinar. The first attempt to solve that problem is scheduled for launch in fiscal 2024. Forty satellites in SDA's Tranche 1 constellation in low Earth orbit carry sensor payloads for tracking hypersonic missiles. Unlike the SBIRS or other space-based capabilities, the sensors will neither have a narrow field of view nor be optimized for tracking only during the boost or exoatmospheric phases of a missile's trajectory. Instead, the spacecraft in Tranche 1 will carry a wide-field-of-view infrared sensor. “However, the jury is still out on whether [the sensors] will be able to form a track that is high enough quality to actually give you that fire control solution so that you can fire [interceptors] on [a] remote [track],” Tournear says. The backup to the SDA sensor will be demonstrated under MDA's HBTSS program. The MDA is developing what Tournear calls a medium-field-of-view system, which falls between the narrow-field-of-view format of existing satellites and the SDA's wide-field-of-view design for Tranche 1. Ideally, the SDA's wide-field-of-view sensors will detect an HGV or a cruise missile and pass the data in orbit to the HBTSS sensors, which will then develop a target-quality track. That data will be passed down to interceptor batteries on the ground. Modified interceptors, such as Terminal High-Altitude Area Defense, will augment new kinetic and non-kinetic options to shoot down hypersonic missiles. Credit: Missile Defense Agency Within a few years, the SDA will find out how the concept works. By the end of 2022, eight Tranche 0 satellites equipped with the SDA's wide-field-of-view sensors should be in low Earth orbit. A year later, the MDA plans to launch two satellites into low Earth orbit with medium-field-of-view sensors. The Tranche 0 constellation—aided by 20 communications-relay and data-processing “transport” satellites—will provide a limited operational capability and validate that the sensors work as designed. The next step comes in 2024, when the SDA plans to launch the 40 satellites in the Tranche 1 constellation. “We would have, in essence, regional persistence of [infrared satellites] over any area of the globe that we choose,” Tournear says. There is a catch, however. The launch of the Tranche 1 satellites in 2024 fall within the five-year spending plan but so far remain unfunded. Shortly after the scheduled Tranche 1 layer is activated, the MDA plans to field RGPWS, the new interceptor optimized for HGVs. If Congress adds the funding, RGPWS could be fielded as early as the “mid-2020s” with the Navy's Mk. 41 vertical launch systems on ships and submarines, followed later by air- and land-launched versions. The design requirements for RGPWS are classified, but it's possible the interceptor may benefit from an ongoing DARPA program. Glide Breaker, which includes Aerojet Rocketdyne as a supplier, seeks to demonstrate a “critical enabling technology” for a hypersonic defense missile. The MDA also plans to demonstrate an “extreme power” microwave weapon against “very long-range” missile threats within two years. At the same time, the MDA is adapting existing point defenses against atmospheric threats. Lockheed Martin is studying improved versions of the Terminal High-Altitude Area Defense system, called “Dart,” and of the Patriot, called “Valkyrie.” In addition to the extreme power microwave, Raytheon also is studying a new variant of the SM-3 called Hawk. Editor's note: The article has been updated to correctly identify the names of the hypersonic defense concepts under study for THAAD and Patriot. https://aviationweek.com/defense-space/missile-defense-weapons/us-hypersonic-defense-plan-emerges-not-cash