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December 3, 2019 | International, Naval

US Navy awards largest-ever shipbuilding contract to Electric Boat for new attack submarines

By: David B. Larter

WASHINGTON – The U.S. Navy on Monday awarded its largest-ever shipbuilding contract to General Dynamics Electric Boat for construction of nine Virginia-class attack submarines, eight of which will have 84-foot section that boosts the boat's strike missile capacity.

The contract for the Block V Virginias, worth $22.2 billion, could grow by another $2 billion if the Navy exercises an option for a 10th boat. The contract is for two fewer boats than the 11 proposed by the fleet in this year's budget submission.

“A lot of hard work across the whole team to structure the contract in such a was as to balance risk between the government and the shipbuilder,” said James Geurts, the Navy's top acquisition official, in a roundtable with members of the media to announce the contract signing. “If the shipbuilder delivers on target, the multi-year savings will be 16.5 percent, or $4.4 billion in savings. So, it's a pretty important day for us.”

Guerts, the assistant Secretary of the Navy for research, acquisition and development, said that when you add government furnished equipment into the contract, the total swells to about $35 billion.

The first boat in Block V, SSN 802, is currently under construction but does not have the Virginia Payload Module. The next boat, 803, will have VPM. All of the boats will have an upgraded acoustics suite.

In the briefing, Navy officials said that six of the boats would be constructed at Electric Boat's partner yard, Huntington Ingalls Newport News, and three would be built at Electric Boat. The 10th boat would go to Electric Boat if the Navy exercised the option.

The move to put most of the work in Newport News was done to balance the increased workload at Electric Boat with the start of the Columbia class, the next generation of ballistic missile submarines slated to begin construction this year.

In a statement, Electric Boat President Kevin Graney said the contract provides stability for his shipyard.

“This contract allows for our shipbuilding team, out suppliers and our employees to plan ahead so that we can continue to deliver submarines of unmatched quality, stealth and lethality,” Graney said.

Dave Bolcar, Newport News' vice president of submarine construction, likewise hailed the contract as a means of stability in the submarine industrial base.

"Today's contract maintains the Virginia-class build rate that provides continued stability to our workforce and to the 5,000 suppliers that will support submarines for the next decade,” he said. "This contract also continues the two per year construction cadence essential to sustaining production efficiencies, while ensuring our national security and the Navy's continued undersea superiority.”

https://www.defensenews.com/naval/2019/12/02/navy-awards-largest-ever-shipbuilding-contract-to-electric-boat-for-new-attack-submarines

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    Par Michel Cabirol La France a lancé un plan pour réduire les dépendances de l'industrie d'armement aux composants américains qui entrent dans la fabrication de certains programmes français. La France veut réduire sa dépendance aux composants américains dans la Défense afin de ne pas gêner l'exportation de ses programmes, a déclaré jeudi la ministre des Armées Florence Parly. La France doit actuellement demander aux Etats-Unis la levée d'interdictions sur certains composants. "Nous avons besoin progressivement de nous désensibiliser par rapport à un certain nombre de composants américains, ce qui ne veut pas dire nécessairement pouvoir se désensibiliser complètement", a-t-elle expliqué lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes professionnels de l'aéronautique et de l'espace (AJPAE). La France a d'ailleurs lancé un plan pour réduire les dépendances par rapport à ces composants américains. "Je ne donnerai pas d'exemple précis mais nous avons été confrontés, dans des échanges liés à des prospects exportations, à des difficultés. Et nous savons bien que ces difficultés sont liées en apparence à des questionnements stratégiques et en réalité souvent à des problèmes de concurrence commerciale. Il ne faut pas en être dupes", a-t-elle expliqué. Si un système d'armes contient au moins un composant américain sous le régime de la réglementation américaine ITAR, les Etats-Unis ont le pouvoir d'en interdire la vente à l'export à un pays tiers. Ainsi, ils ont récemment bloqué la vente de missile de croisière Scalp, qui devait armer le Rafale, à l'Egypte et au Qatar. En 2013, Washington avait déjà refusé une demande de réexportation de la France aux Emirats Arabes Unis de composants "made in USA" nécessaires à la fabrication de deux satellites espions français (Airbus et Thales). La visite de François Hollande aux États-Unis en février 2014 avait permis de régler positivement ce dossier. Lors de son audition en juillet dernier à l'Assemblée nationale, Florence Parly avait reconnu que "nous sommes à la merci des Américains quand nos matériels sont concernés". "Avons-nous les moyens d'être totalement indépendants des composants américains ? Je ne le crois pas. Cherchons-nous à améliorer la situation ? La réponse est oui", avait-elle déjà assuré en juillet. La France travaille notamment à désensibiliser les futurs programmes d'armement. Ainsi Florence Parly a affirmé que cette moindre dépendance serait cruciale pour la viabilité du futur programme d'avion de combat (SCAF). Cela passe pour Paris et Berlin d'avoir la capacité d'exporter ce futur système d'armes. Elle a estimé que les industriels devaient prendre en compte ce dossier en lançant des investissements en matière de recherche et de technologie pour être en mesure de fabriquer un composant analogue qui échapperait au dispositif ITAR. "Certains industriels l'ont compris", a-t-elle précisé. C'est le cas du missilier MBDA dans le cadre du développement du futur missile air-air MICA-NG. Ce programme, qui sera opérationnel en 2025, est développé en prenant en compte la contrainte ITAR. Ils seront ITAR Free, assure-t-on à La Tribune. Florence Parly a également rappelé la dépendance de la France pour les drone MALE Reaper. "Pour armer les Reaper, il faut une autorisation du Congrès américain. Est-ce satisfaisant ? Non. Mais aujourd'hui on n'a pas le choix", a-t-elle expliqué, faisant référence aux drones achetés aux Etats-Unis depuis 2013. Pour autant, l'armement des Reaper ne signifie pas que la France armera le futur drone MALE de reconnaissance et de surveillance en préparation pour 2025. "Dans les spécifications, il sera possible de l'armer, ce qui ne signifie pas qu'aujourd'hui la décision est prise sur la question de savoir s'il sera en définitive armé", a-t-elle souligné. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/reglementation-itar-la-france-veut-reduire-sa-dependance-aux-composants-americains-789612.html

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