January 4, 2024 | International, C4ISR
June 10, 2020 | International, Aerospace
By: Valerie Insinna
WASHINGTON — The U.S. Air Force will delay a full-rate production milestone for the KC-46 aerial refueling tanker to the end of fiscal 2024 to correspond with a fix for one of the aircraft's key systems, the service announced late Monday.
The Pentagon's independent weapons tester — Director of Operational Test and Evaluation Robert Behler — intends to conclude operational testing of the KC-46 only after prime contractor Boeing fixes the tanker's critical deficiencies and has finalized its production configuration.
“Accordingly, the Air Force will defer the KC-46 full rate production decision until after the completion of [initial operational test and evaluation], and the receipt of the statutorily-required Beyond Low Rate Initial Production report from [Behler],” the Air Force said in a statement.
The KC-46 program has several remaining category 1 deficiencies, the term used by the Pentagon to describe the most serious form of technical problems.
Two of the deficiencies involve the aircraft's remote vision system, which is a series of cameras and sensors used by the boom operator to see outside the KC-46 and refuel other aircraft. The Air Force has contended that the RVS does not properly function in all weather and lighting conditions; the service has refused to deploy the KC-46 until the problem is fixed.
Boeing in April agreed to completely redesign the system on its own dime, which will take until at least 2023.
One other issue involves the KC-46 boom, which was developed to meet NATO-specific requirements but cannot refuel the A-10 aircraft. The Air Force is paying to redesign the boom actuator, as the service signed off on the original design and did not realize until afterward that it did not meet the specifications needed to refuel the A-10.
In March, the Air Force announced an additional category 1 deficiency after maintainers found fuel leaking between the tanker's primary and secondary fuel protection barriers. It is unclear whether this is still a problem, as Boeing had already developed a fix and began retrofitting aircraft when the issue was revealed.
“Given its confidence in deficiency resolution timelines for both the aerial refueling boom and Remote Vision System, the Air Force is rescheduling the KC-46's Full Rate Production Decision milestone to late Fiscal Year 2024,” the service stated.
The Air Force notes that delaying the full-rate production decision will not affect the program's cost — which is locked into place courtesy of a firm, fixed-price deal with Boeing that holds the contractor financially responsible for cost overruns;nor will it cause the service to alter its current delivery schedule.
Boeing is already producing KC-46s at “full rate,” which for the program is 15 tankers per year. It delivered the first KC-46 to McConnell Air Force Base, Kansas, in January 2019. Since then, Altus Air Force Base, Oklahoma, and Pease Air National Guard Base, New Hampshire, have also taken on new KC-46s.
Boeing is set to produce 179 KC-46s over the program of record. The company has racked up cost overruns of about $4.6 billion in excess of the $4.9 billion contract it was awarded in 2011.
January 4, 2024 | International, C4ISR
October 9, 2018 | International, Aerospace
Non, la Belgique ne demande pas aux Américains de prolonger leur offre, dans le cadre de la procédure de remplacement de ses avions de combat. Simplement, elle leur demande jusqu'à quand les conditions remises pour le F-35 resteront valables. Autrement dit, s'ils tiennent tant que cela à l'échéance du 14 octobre. Nuance. Difficile de savoir si la partie qui se joue actuellement est à classer au rayon "diplomatie de haut vol", ou mérite plutôt l'étiquette "négociation de marchands de tapis". L'acte I s'est joué le mois dernier: l'ambassadeur américain en Belgique a fait mine de mettre un petit coup de pression sur le gouvernement fédéral. En septembre, donc, Ronald Gidwitz rappelait que l'offre déposée par le groupe américain Lockheed Martin pour le remplacement des chasseurs-bombardiers belges F-16 expirait le 14 octobre, soit précisément le jour du scrutin communal. Pareille offre ne pourrait être indéfiniment prolongée, avertissait l'ambassadeur, empruntant les manières d'un représentant de commerce. Ou du moins pas en l'état; en cas de prolongation, il ne faudrait pas s'étonner de voir les conditions – prix, délais ou termes en matière d'entraînement – être modifiées. Pas dans le bon sens, fallait-il comprendre. Une sortie pour la galerie, en quelque sorte. Puisqu'elle ne semble avoir infléchi en rien la ligne de Michel. À qui l'on doit la composition de cet acte II: Un comité ministériel restreint avait déjà t'té le terrain, et un autre, réuni ce jeudi matin, a validé l'option. La Belgique va, en quelque sorte, demander la prorogation de l'offre déposée par le constructeur du F-35, postposant dans la foulée sa décision dans cet épineux dossier.Une fois de plus, puisque, outre ce 14 octobre, le sommet de l'Otan de juillet dernier avait déjà été présenté comme date limite pour trancher. Enfin, c'est un tantinet plus subtil que cela. Alors précisons. Non, la Belgique ne demande pas officiellement d'allongement du délai. Michel a mandaté son ministre de la Défense, le N-VA Steven Vandeput, qui est chargé de demander aux Américains la date de péremption de leur dossier. Autrement dit, à quel point tiennent-ils à l'échéance du 14 octobre, jusqu'ici brandie? Nuance, nuance. Le "chouchou" F-35 La Belgique joue donc la montre dans ce dossier complexe. Qui mérite une piqûre de rappel. Les 54 F-16 dont dispose la Belgique approchent tout doucement de l''ge de la retraite. Les premiers ont été livrés en 1982 et la limite des 8.000 heures de vol mène à un déclassement débutant en 2023. Voilà pourquoi le Fédéral a lancé en mars 2017 un appel d'offres portant sur l'acquisition de 34 nouveaux avions de combat, qui devraient être livrés à partir de 2023 et être tous opérationnels pour 2030. L'affaire est délicate. Parce que, assez rapidement, le F-35 américain a été désigné par l'amicale des bruits de couloir comme étant le "chouchou" – autrement dit, les jeux seraient déjà faits. Est venue s'ajouter en avril dernier une vraie-fausse polémique sur la possibilité d'allonger la durée de vie de nos vaillants, quoique vieillissants, F-16. Bref, pourquoi aller dépenser la modique somme de 3,6 milliards d'euros – et encore, il ne s'agit ici que de la mise initiale, les estimations de la facture totale tournant autour des 15 ou 18 milliards répartis sur une quarantaine d'années – alors que l'on pourrait "doper" la flotte existante pour un coût nettement plus doux? Ajoutez à cela la France et son Rafale, qui ont décidé de jouer les trouble-fêtes, en proposant, en septembre 2017, à la Belgique un "partenariat approfondi et structurant", et ce en dehors du cadre du marché lancé par Michel. La rumeur voudrait d'ailleurs que la Belgique n'ait jamais réellement inspecté en détail la proposition française. Résultat, le 14 février dernier, seuls deux avions étaient officiellement encore en lice: le F-35 Lightning II de l'américain Lockheed Martin – le plusonéreux des programmes d'armement de l'histoire militaire américaine – et l'Eurofighter Typhoon, porté par un consortium mêlant Royaume-Uni, Allemagne, Espagne et Italie. Et, faisant bande à part, le Rafale de Dassault. Comme si le remplacement des F-16 n'était pas suffisamment compliqué comme cela, d'autres marchés relatifs à la Défense sont ouverts – et non des moindres. De quoi créer des interférences ou pousser la Belgique à établir une sorte de balance générale, par le miracle d'une diplomatie de haut vol? Drones, navires et véhicules de combat Il est question de drones, puisque la Défense a prévu l'acquisition, pour 226 millions d'euros, de quatre drones susceptibles d'être armés. Alors que les militaires s'intéressaient à un engin "made in USA", le géant européen de l'aéronautique Airbus s'est invité et a proposé ses services. Il est question de navires, puisque la Belgique et les Pays-Bas ont entamé ensemble une procédure d'achat de seize navires militaires – deux frégates et six bateaux de lutte contre les mines chacun – pour une facture dépassant les 4 milliards. Aux Néerlandais de superviser le programme des frégates, aux Belges de présider celui des navires anti-mines. Mentionnons encore l'achat de 477 véhicules de combat pour les forces terrestres belges, pour lequel un préaccord à 1,1 milliard est établi avec la France. Benoît Mathieu, Journaliste Source: L'Echo https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/flandre/la-belgique-joue-la-montre-avec-le-f-35/10056153.html
December 29, 2024 | International, Aerospace
The International Defense Cooperation Directorate of the Israel Ministry of Defense (IMOD), SIBAT, has concluded a defence deal with Slovakia.