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July 27, 2020 | Local, Aerospace

These Companies Will Work on R2-D2-Like Drone Helper for Air Force Pilots

24 Jul 2020

Military.com | By Oriana Pawlyk

Four defense companies have been selected to begin work on the U.S. Air Force's Skyborg program, which aims to pair artificial intelligence with a human piloting a fighter jet.

The service chose Boeing Co., General Atomics Aeronautical Systems Inc., Kratos Unmanned Aerial Systems Inc., and Northrop Grumman Systems Corp. to move forward on the program; however, the companies will be competing for the indefinite-delivery, indefinite-quantity contract, estimated to be worth up to $400 million, according to an announcement.

The autonomous Skyborg is intended for reusable unmanned aerial vehicles in a manned-unmanned teaming mission; the drones are considered "attritable," or cheap enough that they can be destroyed without significant cost.

"Because autonomous systems can support missions that are too strenuous or dangerous for manned crews, Skyborg can increase capability significantly and be a force multiplier for the Air Force," said Brig. Gen. Dale White, program executive officer for Fighters and Advanced Aircraft. White and Brig. Gen. Heather Pringle, commander of the Air Force Research Laboratory (AFRL), together lead the Skyborg program.

"We have the opportunity to transform our warfighting capabilities and change the way we fight and the way we employ air power," White said in a release.

"Autonomy technologies in Skyborg's portfolio will range from simple playbook algorithms to advanced team decision making and will include on-ramp opportunities for artificial intelligence technologies," added Pringle. "This effort will provide a foundational Government reference architecture for a family of layered, autonomous and open-architecture unmanned aerial [systems]."

Skyborg is one of three initiatives in the service's Vanguard Program portfolio for rapid prototyping and development of new-age technologies it can leverage for multiple operations. The Vanguard program brings together the research lab and the Air Force Life Cycle Management Center to "quickly identify cutting-edge technology and transition directly into the hands of the warfighter," the release states.

The Air Force launched the bidding process for Skyborg in May; it expects Skyborg's initial operation to be ready by the end of 2023.

Dr. Will Roper, assistant secretary of the Air Force for acquisition, technology and logistics, first spoke of the Air Force Research Lab-led program last year.

He told reporters during the 2019 McAleese Conference that, while it is reminiscent of the Air Force's proposed Loyal Wingman program to send out drones ahead of fighters to act as scouts, Skyborg will take the concept even further, with an AI plane that trains with its pilot, acting as a sidekick, rapidly thinking through problems and taking command if necessary.

In short, it's R2-D2 from "Star Wars" in an aircraft of its very own, he said.

"I might eventually decide, 'I want that AI in my own cockpit,'" Roper said. "So if something happened immediately, [the AI] could take hold, make choices in a way that [a pilot would] know because [a pilot has] trained with it."

https://www.military.com/daily-news/2020/07/24/these-companies-will-work-r2-d2-drone-helper-air-force-pilots.html

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  • Laflamme Aéro reçoit 2 millions de dollars en capital de risque

    January 29, 2020 | Local, Aerospace

    Laflamme Aéro reçoit 2 millions de dollars en capital de risque

    Un produit novateur développé au Québec Saint-Joseph-de-Coleraine, 29 janvier 2019 — L'entreprise Laflamme Aéro, située dans la région de Thetford Mines, annonce la conclusion d'une ronde de financement de 2 millions de dollars à laquelle participent Investissement Québec, Anges Québec et Anges Québec Capital. Des investissements qui tombent à point pour l'entreprise qui s'apprête à commercialiser son drone LX300 dès 2020, le premier appareil au monde de type hélicoptère sans pilote capable de transporter des charges de 90 kilos. « Le LX300 est l'un des plus gros drones civils au monde. Avec ses 300 kilos, il se distingue principalement par sa polyvalence, sa capacité à transporter de lourdes charges et son autonomie de vol de huit heures. Cet investissement de 2 millions de dollars nous permet à présent de propulser et de faire connaître notre produit vers les grands marchés nationaux et internationaux », explique Enrick Laflamme, ingénieur, cofondateur et président de Laflamme Aéro, entreprise qu'il a fondée avec son frère David également ingénieur et vice-président ingénierie de l'entreprise en pleine croissance. Outre le déploiement commercial du LX300, les nouveaux investissements annoncés aujourd'hui permettront de soutenir l'amélioration des infrastructures de l'entreprise et l'implantation d'une chaîne de montage, l'ajout de nouvelles ressources pour soutenir la croissance de Laflamme Aéro, ainsi que la continuité en recherche et développement de nouveaux produits. Développé par l'entreprise familiale depuis 2013, le LX300 est un produit novateur destiné tant aux secteurs privé que commercial, militaire ou gouvernemental. Très versatile, l'appareil peut être muni de caméras de surveillance ou encore transporter du matériel sur de longues distances, pour approvisionner un secteur difficilement accessible par exemple. Le LX300 a relevé avec succès les nombreux essais en vol et autres manœuvres délicates de décollages et d'atterrissages au cours des deux dernières années. « Il a tous les avantages d'un hélicoptère, mais sans avoir besoin d'un pilote. Il est muni d'un système de rotor en tandem (deux hélices), permettant le décollage et l'atterrissage à la verticale et une grande stabilité. Tous ces éléments et la qualité de conception en font un produit extrêmement fiable et dont les coûts opérationnels sont compétitifs », ajoute M. Laflamme. Soutenir l'innovation en région « Laflamme Aéro a développé une technologie efficace et unique, qui démontre l'excellence du Québec en matière d'innovation. Nous sommes fiers de soutenir une jeune entreprise aéronautique de pointe établie dans la région de Chaudière-Appalaches, afin de lui permettre d'être compétitive dans les différents secteurs ciblés afin de tirer son épingle du jeu dans un marché mondial de plusieurs milliards de dollars », soutient M. Pierre Fitzgibbon, ministre de l'Économie et de l'Innovation. « Un secteur fort compétitif comme l'aéronautique exige des investissements majeurs en recherche et développement de la part des entreprises, et ce, sur plusieurs années, avant d'en arriver au stade de précommercialisation. Dans le cadre du mandat élargi que lui confie le gouvernement, Investissement Québec entend déployer des efforts particuliers pour financer et accompagner les entreprises des régions non urbaines comme Laflamme Aéro. Nous souhaitons faire la différence afin d'atténuer les lacunes décelées lors des stades critiques où les niveaux de risque-rendement sont souvent jugés trop élevés pour intéresser certains acteurs privés », précise M. Guy LeBlanc, président-directeur général, Investissement Québec. Précisons que Laflamme Aéro bénéficie du soutien de Transport Canada dans le développement d'une certification adaptée selon les plus hauts standards, ainsi que de l'entreprise General Dynamics Mission Systems, une des plus grandes entreprises de défense et de sécurité au Canada, avec qui l'entreprise de Chaudière-Appalaches a récemment signé un accord de coopération afin de promouvoir le LX300 auprès des grands joueurs en défense et en sécurité au Canada et à l'international. À propos de Laflamme Aéro Fondée en 2006, Laflamme Aéro est une entreprise familiale située à St-Joseph-de-Coleraine dans la région de Thetford Mines au Québec dirigée par les frères David et Enrick Laflamme, tous deux ingénieurs et passionnés d'aviation. L'entreprise se spécialise dans le développement d'hélicoptères à rotors en tandem, dont le LX300 qui sera commercialisé dès 2020. Laflamme Aéro possède également une division de génie-conseil, Laflamme Ingénierie, qui réalise des projets d'ingénierie mécanique en sous-traitance pour des entreprises du secteur aérospatial, énergétique et manufacturier. À propos d'Investissement Québec Investissement Québec a pour mission de favoriser la croissance de l'investissement au Québec, contribuant ainsi au développement économique et à la création d'emplois, et ce, dans toutes les régions. La Société met au service des entreprises une gamme complète de solutions financières, notamment des prêts, des garanties de prêt et de l'investissement en capital-actions, afin de les soutenir à tous les stades de leur développement. De plus, elle est responsable de l'administration de mesures fiscales et de la prospection d'investissements à l'étranger. À propos d'Anges Québec Fondé en 2008, Anges Québec est un réseau de plus de 250 anges investisseurs qui ont pour mission d'investir et de s'investir dans des entreprises québécoises innovantes. Les membres du réseau d'Anges Québec ont, à ce jour, investi plus de 100 M$ dans l'économie québécoise, totalisant plus de 265 investissements dans plus de 137 entreprises innovantes. Gr'ce à son centre de développement professionnel, Anges Québec soutient ses membres dans l'acquisition constante de nouvelles connaissances et compétences inhérentes à l'investissement. À propos d'Anges Québec Capital Fondé en 2012, Anges Québec Capital est un fonds d'investissement de 86M$, commandité par Investissement Québec, via ses fonds propres et à titre de mandataire du Gouvernement du Québec, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), le Fonds de Solidarité FTQ et des membres d'Anges Québec. Il a pour mission d'accompagner les 250 membres d'Anges Québec dans leurs investissements. À ce jour, Anges Québec Capital a investi plus de 47M$ dans 53 entreprises innovantes, totalisant 112 transactions. Pour recevoir les communiqués d'Investissement Québec en temps réel, inscrivez-vous au fil RSS suivant : http://feeds.feedburner.com/IQcommuniques Information Investissement Québec 1 844 474-6367 https://www-investquebec-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.investquebec.com/amp/quebec/fr/salle-de-presse/communiques/Laflamme-Aero-recoit-2-millions-de-dollars-en-capital-de-risque.html

  • Solaxis pourra augmenter sa cadence de production gr'ce à l’appui du gouvernement du Canada

    October 23, 2020 | Local, Aerospace

    Solaxis pourra augmenter sa cadence de production gr'ce à l’appui du gouvernement du Canada

    Développement économique Canada pour les régions du Québec accorde 650 000 dollars à l'entreprise de Bromont pour l'acquisition de matériel à la fine pointe de la technologie. Bromont, Québec, 23 octobre 2020 – Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) Fondée en 2010, Solaxis Ingéniosité Manufacturière inc. se spécialise dans la fabrication additive (impression 3D) de pièces thermoplastiques d'ingénierie avancée. Ses principaux clients, situés au Canada et aux États-Unis, œuvrent dans les secteurs du transport terrestre, de l'aéronautique, de la défense et de la sécurité. Depuis peu, l'entreprise fabrique aussi des pièces médicales en lien avec la présente crise sanitaire. Solaxis s'est vu accorder une contribution remboursable de 650 000 dollars par DEC, tel qu'annoncé aujourd'hui par Élisabeth Brière, secrétaire parlementaire de la ministre du Développement économique et des Langues officielles (Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec) et Lyne Bessette, députée de Brome—Missisquoi. Gr'ce à ce financement, Solaxis pourra accroître sa capacité de production par l'acquisition d'équipement et de matériel informatique à la fine pointe de la technologie. En misant sur la numérisation et l'automatisation de ses procédés, qui passent notamment par l'impression 3D, Solaxis se positionne comme un joueur clé dans son domaine. L'entreprise vise à combler le vide qui existe dans l'industrie entre le prototypage de très bas volume et les procédés de formage avec outillage de grandes séries à haut volume. L'acquisition de technologies d'impression 3D ouvertes et innovantes lui permettra d'augmenter jusqu'à 25 fois sa cadence de production mensuelle. Les procédés avancés et les technologies de fabrication additive de pointe, tels que l'impression 3D, sont de plus en plus adoptés par les industries. L'utilisation de ces technologies contribue à l'implantation d'une fabrication centrée sur l'utilisateur. La crise de la COVID-19 a d'ailleurs encouragé bon nombre d'entreprises manufacturières à adopter ces procédés dans leurs activités de fabrication, contribuant à améliorer leur efficacité de production et ainsi mieux répondre aux besoins des marchés. Véritable moteur économique, l'innovation est la clé du succès puisqu'elle génère la croissance dont profitent les entreprises et les collectivités. Le gouvernement du Canada tient à appuyer les entreprises innovantes afin qu'elles puissent compter sur des ressources adéquates pour créer de nouveaux produits et les commercialiser, et ainsi contribuer à la création de bons emplois dans les régions du Québec. Citations « En soutenant Solaxis, le gouvernement du Canada permet à l'entreprise de se doter de l'équipement nécessaire au développement de technologies et de procédés novateurs. Les entreprises comme Solaxis, qui misent sur l'innovation, contribuent à améliorer et à relancer l'économie canadienne en cette période marquée par la rupture et le changement. » Élisabeth Brière, secrétaire parlementaire de la ministre du Développement économique et des Langues officielles (Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec) « Solaxis fait partie des entreprises qui misent sur l'implantation de technologies avant-gardistes pour créer davantage de richesse et maintenir des emplois de qualité à Bromont. C'est gr'ce au succès d'entreprises audacieuses et innovantes comme celle‑ci que nous pouvons assurer la prospérité économique de la région et de tout le Québec. » Lyne Bessette, députée de Brome—Missisquoi « En ces temps de crise sans précédent, nous sommes là pour appuyer les PME canadiennes et les travailleurs à s'adapter au contexte changeant. Développement économique Canada pour les régions du Québec soutient les entreprises qui misent sur l'innovation, moteurs de la relance économique. En appuyant Solaxis, notre objectif est de collaborer avec une entreprise qui crée de bons emplois en région et qui contribue à la compétitivité de notre économie canadienne. » L'honorable Mélanie Joly, députée d'Ahuntsic‑Cartierville, ministre du Développement économique et des Langues officielles et ministre responsable de DEC https://www.canada.ca/fr/developpement-economique-regions-quebec/nouvelles/2020/10/solaxis-pourra-augmenter-sa-cadence-de-production-grace-a-lappui-du-gouvernement-du-canada.html

  • French firm Dassault pulls out of fighter-jet competition: Sources

    November 7, 2018 | Local, Aerospace

    French firm Dassault pulls out of fighter-jet competition: Sources

    By Lee Berthiaume The long effort to replace Canada's aging fighter jets took another surprise twist on Tuesday, as multiple sources revealed that French fighter-jet maker Dassault is pulling out of the multibillion-dollar competition. The decision comes just over a week after the federal government published the military's requirements for a replacement for Canada's CF-18s as well as a draft process by which a winning supplier will be chosen. Dassault had repeatedly pitched its Rafale aircraft to Canada over the years as successive governments in Ottawa have wrestled with selecting a new fighter jet. Dassault's pitch included significant promises, including that it would assemble the planes in Canada. But sources tell The Canadian Press that Dassault's decision to withdraw was related to the fact France is not a member of the Five Eyes intelligence-sharing network, which counts the U.S., Britain, Australia, New Zealand and Canada as members. The five members have very specific requirements for how their equipment works together. The French government, which had been closely working with Dassault as the most recent iteration of Canada's fighter-replacement program has inched along over the past year, was preparing to notify Ottawa of the company's withdrawal. The move leaves four companies — U.S. aerospace giants Lockheed Martin and Boeing, European competitor Airbus and Swedish firm Saab — competing for the $19-billion contract to replace Canada's 76 CF-18s with 88 new fighters. A contract isn't expected to be awarded until 2021 or 2022, with delivery of the first new aircraft slated for 2025. In the meantime, the government is planning to upgrade its CF-18s and buy 25 used fighters from Australia as a stopgap. Dassault faced several significant challenges in meeting Canada's requirements for a new fighter, said defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute, and while they weren't insurmountable, they would have cost time and money. Those challenges included meeting those Five-Eyes intelligence-sharing requirements, which Perry said put Dassault at a distinct disadvantage in the competition when compared to Lockheed Martin, Boeing and, to a certain degree, Airbus. "For any of the non-American companies, solving the Five-Eyes interoperability issues is going to be challenging," he said, noting that the U.S. in particular is very sensitive about data-sharing. "And it costs companies a lot of money to mount and pursue bids. So if they think at this point in time that it's not a realistic prospect, then pulling out is pretty understandable." That could explain why Dassault never established a strong presence in Canada during the many years when it was trying to sell the Rafale as a replacement for the CF-18, he added. The CF-18s are about 35 years old. Canada's attempts to buy a new fighter jet have dragged on for nearly a decade after the previous Conservative government announced in 2010 that Canada would buy 65 F-35s without a competition, with the first to be delivered in 2015. But the Tories pushed the reset button in 2012 after the auditor general raised questions about the program and National Defence revealed the jets would cost $46 billion over their lifetimes. After campaigning on a promise not to buy the F-35s, the Trudeau Liberals announced in November 2016 they would take their time with a competition to replace the CF-18s, and buy 18 "interim" Boeing Super Hornets without a competition because Canada needed more fighter jets badly. But then Boeing's trade dispute with Canadian rival Bombardier saw the Liberals scrap their plan to buy Super Hornets and instead begin talks to buy 18 used fighter jets from Australia. A contract for those used planes is expected in the coming weeks. The formal competition to replace the CF-18s is scheduled to begin next spring. https://www.nationalobserver.com/2018/11/07/news/french-firm-dassault-pulls-out-fighter-jet-competition-sources

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