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November 15, 2021 | International, C4ISR

The Army is looking for industry to help shape its future SATCOM needs

The Army is looking into a managed service model for SATCOM and wants industry to help shape it.

https://www.defensenews.com/battlefield-tech/space/2021/11/12/the-army-is-looking-for-industry-to-help-shape-its-future-satcom-needs/

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  • Thales lance Iven, une marketplace pour fédérer les achats des acteurs défense et civil

    September 25, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    Thales lance Iven, une marketplace pour fédérer les achats des acteurs défense et civil

    AUDE CHARDENON Thales a lancé début septembre une place de marché baptisée Iven. Destinée à mettre en relation vendeurs et acheteurs de l'environnement Défense et Civil, elle implique un nouveau métier pour le géant français. Les détails de Pascal Geoffroy, directeur enhanced customer operations services. Thales devient un commerçant. Le géant industriel français a lancé début septembre une plateforme B2B qui met en relation les clients et les principaux fournisseurs d'articles dédiés à l'environnement Défense et Civil quel que soit le milieu : aérospatial, terrestre ou naval. Fonctionnant selon un modèle de marketplace, Iven – pour Intermediation vendor entreprise – a nécessité deux ans de travail. Lancée le 1er septembre, Iven est un service en ligne dédié aux Industriels souhaitant optimiser leurs approvisionnements. La plateforme compte à date 150 000 références. On y trouve notamment des consommables industriels (pièces détachées), et actualité oblige, des produits liés à la situation sanitaire. DIGITALISER LA SUPPLY CHAIN DE BOUT EN BOUT Iven n'est pas née par hasard. En 2018, l'entreprise se retrouve face à un constat. "Nous avons gagné un gros contrat de supply chain, et nous nous sommes rendus compte que nous devions être plus fluides et plus rapides. Très rapidement, la marketplace nous a paru être la solution pour mettre en relation acheteurs et vendeurs pour de futurs contrats de même nature", explique en préambule Pascal Geoffroy, Directeur Enhanced Customer Operations Services chez Thales. Vient alors l'idée de transformer la supply chain de bout en bout et de "digitaliser les achats pour être compétitif", avec la mise en ligne des catalogues des marchands et par conséquent l'abandon des canaux offline (devis, contrats, téléphone/mail...), la fin de la logique transactionnelle impliquant une négociation pour chaque commande, et la digitalisation du workflow, permettant un gain de temps pour le traitement administratif. THALES, TIERS DE CONFIANCE Iven fonctionne comme une plateforme e-commerce classique. Les marchands y mettent en visibilité leurs produits et leurs offres (prix, disponibilité, conditions de vente...). L'acheteur consulte et compare les différentes offres répondant à son besoin, puis il passe sa commande. Le règlement est effectué par virement à Iven, l'encaissement se déroulant via un intermédiaire financier indépendant. Iven supervise la transaction. La commande est ensuite expédiée et livrée directement par le marchand sur le site client. L'ensemble du parcours est digitalisé, du sourcing jusqu'à la livraison. La solution s'appuie sur l'expertise de différents sous-traitants, dont Mirakl. L'enjeu pour Thales est de se positionner "en tiers de confiance" pour les grands comptes ainsi que pour des organismes d'Etat. Dans un écosystème où intervient parfois le secret-défense, Iven ne peut être, et ne sera pas, une place de marché comme les autres. "Thales se positionne comme un tiers de confiance notamment en matière de cybersécurité, où la fiabilisation des échanges est essentielle", rappelle Pascal Geoffroy. Pour ce faire, l'équipe va "sélectionner les vendeurs et les acheteurs. Il en va de la crédibilité de cette marketplace", insiste-t-il. DES MARKETPLACES PRIVÉES POUR LES GRANDS FOURNISSEURS Fournisseurs qualifiés par Thales, articles certifiés, crédibilité financière... Le paiement est conditionné à la réception, et des technologies de cybersécurité sont garanties pour assurer l'intégrité et la confidentialité des données. Iven jouera d'ailleurs un rôle d'intermédiation en cas de litige. Outre le cas d'usage classique évoqué plus haut, Iven propose aux fournisseurs de construire leur propre marketplace via un système d'onboarding du catalogue privé et des marchands spécifiques. Le lancement d'Iven n'était pas forcément acquis pour une société comme Thales. "C'est un nouveau métier pour Thales, et un nouveau métier de la supply chain", reconnaît Pascal Geoffroy. Pourtant, le rôle fédérateur du groupe, à la croisée du monde militaire et civil, en fait l'interlocuteur privilégié de nombreux acteurs, y compris des PME-ETI. "Le tissu industriel est très fragmenté, il est composé de beaucoup de petites structures, analyse Pascal Geoffroy. Et je suis très attaché à développer cet écosystème dont font partie les PME, qui n'ont pas toujours la puissance de se développer en ligne, y compris à l'international". Iven va en effet être déployée dans cinq pays européens limitrophes à la France, avec des ambitions ultérieures bien plus vastes. Iven s'enrichira d'outils de monitoring de la performance fournisseur ainsi que de fonctionnalités algorithmiques dédiées à l'optimisation des achats. La plateforme pourra se connecter d'ici quelques mois aux ERP des grands comptes. A moyen terme, Iven vise 100 marchands. "Le secteur de la défense est un monde fermé, en retard en matière de transformation digitale par rapport au civil. Cela va secouer certains acteurs", prévient Pascal Geoffroy. https://www.usine-digitale.fr/article/thales-lance-iven-une-marketplace-pour-federer-les-achats-des-acteurs-defense-et-civil.N1008689

  • US Navy takes delivery of new, more powerful radar

    July 21, 2020 | International, Naval

    US Navy takes delivery of new, more powerful radar

    By: David B. Larter WASHINGTON — The U.S. Navy has taken delivery of the first AN/SPY-6 radar array for the Flight III Arleigh Burke-class destroyer Jack Lucas, which was designed and built specifically to accommodate the upgraded air and missile defense radar. The Raytheon-built system is about 30 times more sensitive than the SPY-1 arrays on the Navy's cruisers and destroyers, but it requires much more power. That led to a significant redesign of the Flight IIA DDG. Jack Lucas, being built at Ingalls Shipbuilding in Pascagoula, Mississippi, is the first of the new builds. The ship is scheduled to be delivered in 2024, according to Navy budget documents. The delivery of the first SPY-6 marks a significant step for the radar, which looks poised to rapidly become the fleet standard. The Navy plans to install a scaled-down version of the radar on the older Arleigh Burke-class destroyers to keep them relevant, as well as on the future frigate, FFG(X), being built by Fincantieri. Wes Kremer, president of the Raytheon Missiles & Defense business, said in a July 15 interview with Defense News that the radar is designed to simultaneously handle multiple missions without losing fidelity on any individual mission. “SPY-6 is an evolutionary step forward in radar capability, but it was, most importantly, designed with incredibly long range and sensitivity to support all the missions that Navy destroyers do: ballistic missile defense, surface warfare and anti-air missions simultaneously,” Kremer said. “And what's sometimes lost in the noise is that it can do [its job] in the presence of electronic attack or jamming. That's really the magic of that radar.” Kremer is confident the radar has been put through its paces in the acquisition process and that the next major hurdle for the program will be Jack Lucas' sea trials. “These radars are being delivered under the low-rate initial production run,” he said. “For about three years now we've had a test radar in Hawaii and proving out the radar. We've also delivered an array to Navy's [Combat Systems Engineering Development Site] in Moorsetown, New Jersey. This isn't just a radar — it's part of Flight III, which is not just the radar, it's Lockheed Martin's Aegis Baseline 10, and we are fully integrated. So we've already gone through all that, so really the next step is sea trials.” The Navy wants to start backfitting the scaled-down version of SPY-6 in 2021, Capt. Jason Hall, who is the above-water sensors program manager at Program Executive Office Integrated Warfare Systems, said in January. But beyond that, Kremer said Raytheon is looking to Japan and South Korea as potential customers for SPY-6. The Navy's investment in SPY-6 is not without some controversy. Bryan Clark, a senior fellow at the Hudson Institute, said while the Navy needs a radar like SPY-6 for ballistic missile defense, the service still must figure out how to perform passive detection to avoid giving away its location to adversaries that will be able to electronically sniff out a big, powerful radar. Kremer said he wasn't comfortable discussing concepts of operations surrounding the issue of keeping electronically quiet with SPY-6. But he reiterated that during active electronic attack, the radar would perform. “You have to be able [to] operate around electronic attack, and on the active side we have a lot of capability to do that,” he said. “But when you get into that other stuff, you're really starting to talk about concepts of operations, and I don't think it's appropriate for a contractor to talk about CONOPS.” The Navy is also planning to scale back construction of the Flight III destroyer. In its most recent budget submission, the Navy cut four of the planned 12 Flight IIIs over the next five years as the service tries to juggle the enormous bill for the Columbia-class ballistic missile submarine. https://www.defensenews.com/naval/2020/07/20/us-navy-takes-delivery-of-new-more-powerful-radar/

  • EU sprinkles $560 million over defense firms to grow ammunition output

    March 16, 2024 | International, C4ISR

    EU sprinkles $560 million over defense firms to grow ammunition output

    Most of the money will go toward the production of explosives and powder, officials in Brussels said.

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