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October 9, 2018 | Local, Naval

Thales Canada invests in Virtual Marine’s ship simulation system

Thales has invested in Canada-based Virtual Marine's embedded ship simulation system as part of a new multi-phase research and development project.

With an investment of more than $315,000, the project will involve development of a ship simulator for use across a range of platforms and projects in both naval, coastguard and commercial applications.

Primarily it will support advanced platform testing and integration requirements for the Royal Canadian Navy programmes such as Arctic and Offshore Patrol Ships and Joint Support Ships In-Service Support (AJISS).

Virtual Marine chief technical officer and executive vice-president Randy Billiard said: “The Ship Simulator Research project will result in a more innovative and technologically advanced ship simulator software product that will build on existing simulation technologies to enhance integration support and training options for prime defence integrators.

“It will be tested by users who understand the need to properly de-risk systems for safe and full operational integration. This project will further position Virtual Marine as a leading and innovative provider of marine simulation solutions.”

The research project will leverage Thales's extensive software engineering expertise and capabilities in big data, connectivity, artificial intelligence and cybersecurity to upgrade baseline technology.

The 12-month project will help provide the company with improved embedded navigation simulation capabilities support.

In August last year, Thales received a C$800m AJISS contract from the Government of Canada to provide in-service support, refit, repair, maintenance and training to the Canadian Navy's Arctic and Offshore Patrol Ships (AOPS) and Joint Support Ships (JSS).

https://www.naval-technology.com/news/thales-invests-ship-simulation-system/

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  • Trudeau receives review of Canadian Forces intelligence activities and process of establishing national intelligence priorities

    December 24, 2018 | Local, C4ISR

    Trudeau receives review of Canadian Forces intelligence activities and process of establishing national intelligence priorities

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN The National Security and Intelligence Committee of Parliamentarians (NSICOP) delivered its first annual report Friday to Prime Minister Justin Trudeau. The report includes the two substantive reviews conducted by NSICOP in 2018, and its related findings and recommendations. NSICOP examined the Canadian government's process for establishing the national intelligence priorities. These priorities serve to direct intelligence organizations in the collection and analysis of intelligence. NSICOP also conducted a review of the intelligence activities of the Department of National Defence and the Canadian Forces. The committee examined the scope of these activities, their legal authorities and the existing oversight mechanisms for their control and accountability. “This annual report marks the first time that Canada has had a committee of Parliamentarians with access to classified material and cleared to examine issues of national security and intelligence,” NSICOP chair David McGuinty said in a statement. Trudeau will now consider whether there is any information in the report, the disclosure of which would be injurious to national security, national defence or international relations, or which includes solicitor-client information. A declassified version of the report must be tabled in Parliament within 30 sitting days, according to the committee's news release. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/trudeau-receives-review-of-canadian-forces-intelligence-activities-and-process-of-establishing-national-intelligence-priorities

  • Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    October 24, 2018 | Local, Land

    Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE Le rêve d'un exosquelette qui aidera les soldats à transporter leurs lourdes charges sans se blesser approche et c'est une firme de Saint-Jean-sur-Richelieu Mawashi, qui est en pôle position d'un marché évalué à «des milliards et des milliards de dollars». Le tiers des soldats évacués en Afghanistan ou en Irak n'avaient pas subi de «blessures de guerre», avance Alain Bujold, chef de la direction et chef de la direction technologique de Mawashi. Ils avaient plutôt subi les dommages, notamment au dos, du trop grand poids placé sur leurs épaules. «Ça coûte 500 millions de dollars par année à l'armée américaine pour s'occuper des soldats blessés parce qu'ils transportaient trop de poids», ajoute-t-il. Spécialiste de la recherche et de l'ingénierie pour «tout ce qui se met sur le corps humain» depuis des années, Mawashi s'est intéressée de plus près aux exosquelettes en 2013. Elle avait alors été invitée à participer à un projet de l'armée américaine, le projet Talos, qui consistait à créer une sorte d'armure à la Iron Man. «Ils ont donné de l'argent à un paquet de compagnies, et on les a toutes clenchées», raconte fière M. Bujold. Alléger la charge L'exosquelette Uprise mis au point par Mawashi peut retirer jusqu'à 70% du poids transporté par un soldat de sa propre ossature. La structure épouse les formes du corps, mais n'est pas motorisée, ce qui est un avantage important selon M. Bujold, puisque les soldats peuvent ainsi être affectés à de très longues missions sans crainte d'épuiser leurs piles. Et sans avoir à transporter lesdites piles. Une plaque posée sous le pied du soldat, dans sa chaussure, sert de fondation à l'ensemble. Cette plaque s'arrête avant les orteils, de façon à permettre au soldat de bien ressentir le sol sous ses pieds. Des tiges métalliques articulées longent ensuite les jambes du soldat pour rejoindre une ceinture rigide. De là s'élève une «colonne vertébrale», de laquelle émergent des appendices qui permettent notamment de suspendre un sac à dos ou un plastron sans que le poids ne se dépose sur le squelette du soldat. En situation de combat, un soldat est chargé d'en moyenne une centaine de livres d'équipement protecteur, de munitions, d'armes et d'équipements de communication, entre autres, estime M. Bujold. «De plus en plus, les combats se déroulent dans des zones urbaines, ce qui fait qu'on ne peut utiliser de véhicules pour transporter l'équipement, ajoute-t-il. Et il y a de plus en plus de matériel pour les communications.» «Le but n'est pas de permettre de transporter plus de poids, prévient-il toutefois. C'est de réduire les blessures et d'aider à porter ce poids.» En avance En mars dernier, Mawashi a été invitée par l'OTAN à venir démontrer les bénéfices que pouvait procurer Uprise à des spécialistes du déminage, qui doivent revêtir une combinaison protectrice pesant à elle seule une centaine de livres. L'entreprise se concentre présentement à démontrer de façon claire les avantages de son produit. Elle a reçu un financement de trois ans de l'armée canadienne pour parvenir à cette fin. «Le dernier obstacle est de prouver qu'il y a vraiment un bénéfice, indique M. Bujold. Les tests préliminaires le démontrent.» Sur l'échelle de maturité technologique (Technology Readiness Level), qui va de 1 à 9, l'Uprise est au niveau 7. Aucune solution comparable ne le devance, selon M. Bujold, et l'Uprise est en position pour être le premier exosquelette déployé sur le terrain. «Le premier qui va arriver avec une technologie qui fonctionne, c'est le prochain Apple, croit l'entrepreneur. On ne parle pas de millions, mais de milliards.» C'est qu'au-delà des militaires, il y a une panoplie d'autres secteurs qui pourraient être intéressés à un exosquelette de ce genre, envisage-t-il, à commencer par l'important marché du plein air. Les pompiers, les travailleurs de la construction et les employés de chaînes d'assemblage pourraient eux aussi en bénéficier. L'Uprise pourrait coûter de 3000$ à 20 000$, estime-t-il, selon la configuration choisie. Jusqu'à présent, ce sont surtout des contrats de l'armée américaine qui ont permis à Mawashi d'avancer. «C'est tout récent que de recevoir du financement canadien», dit M. Bujold, qui est actionnaire à 50% de l'entreprise. L'autre moitié est détenue par Louis Bibeau, président de Logistik Unicorp, dans l'édifice de laquelle sont installés les bureaux de Mawashi. «Il y a 99% des chances qu'on finisse par être achetés par une compagnie américaine, estime M. Bujold. C'est triste.» «Il y a ici une mentalité de lenteur, de bureaucratie, alors qu'aux États-Unis, c'est pif, paf, maintenant.» Le volet militaire de son entreprise n'aide pas à approcher des investisseurs québécois ou canadiens, ajoute-t-il, même si son produit « sauve des vies ». Cette tiédeur n'existe pas aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/18/01-5200809-une-innovation-quebecoise-a-lassaut-de-larmee-americaine.php

  • Canada Army Run racers are preparing to run through the streets of Ottawa

    September 14, 2023 | Local, Land

    Canada Army Run racers are preparing to run through the streets of Ottawa

    Following the success of Canada Army Run 2022, which saw the return of the in-person challenges, racers are once again gearing up to conquer the streets of Ottawa in support of the Canadian Armed Forces (CAF) during the highly-anticipated 2023 edition of Canada Army Run, presented by BMO, which is scheduled for this Sunday, September 17th.

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