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November 1, 2023 | International, Land

Switzerland becomes newest customer of most advanced Patriot missile

Switzerland becomes the 15th country to buy Patriot Advanced Capability-3 Missile Segment Enhancement weapon.

https://www.defensenews.com/land/2023/11/01/switzerland-becomes-newest-customer-of-most-advanced-patriot-missile/

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  • Here’s who will lead the DoD group that could decide the future of military shopping

    June 22, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    Here’s who will lead the DoD group that could decide the future of military shopping

    By: Karen Jowers A retired Army major general and former retail executive will lead a Pentagon task force that is examining the case for a possible merger of the military exchange and commissary systems, Defense officials announced Thursday. Keith Thurgood, who was also the chief executive officer of the Army and Air Force Exchange Service from 2007 to 2010, will start work Monday. If the task force business case analysis confirms that consolidation is the right approach, and if Defense Department officials back that finding, Thurgood will serve as the consolidated organization's executive director until the permanent position is advertised and filled, according to a May 29 memo directing the task force's formation. The retired Reserve major general has more than 28 years of military service and has held executive positions at PepsiCo & Frito-Lay Inc., Sam's Club, Overseas Military Sales Corporation, and MedAssets, Inc. He will take a sabbatical from his current position as clinical professor at the University of Texas at Dallas. He could serve up to two years on the task force. The task force will examine “back office” operations of the exchanges and commissaries, such as information technology, human resources and accounting. It will first determine whether the exchange systems ― AAFES, Navy Exchange Service Command, and Marine Corps Exchange ― could be combined with one corporate “backbone.” Then members will determine whether the Defense Commissary Agency could be merged into that system. Consolidation of the stores wouldn't necessarily mean that commissaries and exchanges would be combined into one store. Officials are also looking at keeping the individual branding of the exchange stores on military bases, as they combine behind-the-scenes operations. “With General Thurgood's leadership, understanding of the customer experience, and private sector experience in the retail space, the task force will evaluate our potential to generate efficiencies and scrutinize the above-the-store business aspects of the exchange system, with a goal of validating and defining our execution plan for the way forward,” said John H. Gibson, II, DoD's chief management officer, in the DoD announcement. https://www.militarytimes.com/pay-benefits/2018/06/21/heres-who-will-lead-the-dod-group-that-could-decide-the-future-of-military-shopping/

  • Russian jets intercept B-52s during Baltic training flight

    November 27, 2024 | International, Aerospace

    Russian jets intercept B-52s during Baltic training flight

    A defense official said the interception was safe and professional. However, it comes at a time of increasing tension between the U.S. and Russia.

  • A la recherche de l'IA hybride

    April 3, 2020 | International, Aerospace

    A la recherche de l'IA hybride

    Vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales, David Sadek intervenait jeudi 24 octobre à Toulouse au Forum Innovation IA, un événement organisé par Sciences et Avenir pour le groupe Challenges. Explicabilité, validité, intégrité... " Pour une IA de confiance " : c'était l'intitulé de l'intervention de David Sadek, le vice-président recherche, technologie, innovation du groupe Thales. "Nous aimerions tous pouvoir toujours faire confiance à tous nos outils technologiques. Mais en réalité tout dépend du contexte. Dans le cas des outils reposant sur l'IA, si Netflix me recommande un film que je trouve détestable, ce n'est pas bien grave, on s'en remettra. Mais dans le cas des systèmes critiques tels que l'on en conçoit régulièrement chez Thales pour des applications défense, espace et aéronautique, la question de la confiance est primordiale". David Sadek énonce trois impératifs, qui sont autant d'axes stratégiques de la feuille de route IA chez Thales, pour aller vers cette " IA de confiance ". Pour qu'une application de l'IA soi digne de confiance, il faut d'abord qu'elle soit capable d'expliquer. Si elle se contente de proposer ou décider sans être capable de dire pourquoi et comment elle est arrivée à cette proposition ou décision, la défiance s'installera. Elle doit donc être capable de répondre à la question : " Pourquoi ? ". "Si par exemple un copilote IA recommande au pilote humain de virer à 45°, et que ce dernier demande " pourquoi ", le copilote doit pouvoir répondre par exemple : " parce qu'il y a un problème météo (ou une menace ...) droit devant ". Il ne s'agit pas de simplement tracer la décision, de pouvoir indiquer à ses concepteurs quels neurones, quelles couches de neurones, ont fait pencher la balance dans un sens ou un autre, mais bien d'expliquer dans une langue compréhensible immédiatement par le pilote". Ce qui indique qu'à l'aspect intelligence artificielle s'ajoute celui de " l'interaction homme-machine ". IA connexionniste et IA symbolique Cela implique, en restant sur cet exemple, une capacité de compréhension et de génération du langage naturel. Mieux, le pilote appréciera de pouvoir dialoguer dans un langage mixte, reposant sur l'oral et le geste (pour désigner un point sur une carte, etc.). Deuxième impératif selon David Sadek : il faut pouvoir démontrer la validité d'une application de l'IA. C'est-à-dire sa conformité aux spécifications. "Le système développé doit faire tout ce l'on attend de lui et rien que ce que l'on attend de lui. Ce qui suppose que l'on sache spécifier très proprement". On connait l'exemple d'un jeu de bataille navale, un " serious game " destiné à former des officiers de la marine, qui gagnait à tous les coups, parce qu'il sacrifiait systématiquement chaque vaisseau touché, pour ne pas ralentir la flotte. Aucune règle ne prévoyait, n'interdisait ce cas de figure, passablement inacceptable. Troisième impératif pour une " IA de confiance ", selon David Sadek, la responsabilité des systèmes reposant sur l'IA. C'est-à-dire leur conformité aux cadres légaux, réglementaires et moraux. On connait le tendon d'Achille des réseaux de neurones : ce sont des boîtes noires, on voit ce qui entre et ce qui sort, mais on ne sait pas (trop) ce qu'il se passe à l'intérieur. C'est pourquoi David Sadek insiste sur le fait qu'il faut s'intéresser aussi à " l'autre IA ", l'IA symbolique, celle qui repose sur des règles et des raisonnements et qui s'oppose à l'IA connexionniste des réseaux de neurones. Cette IA symbolique, qui fait moins les gros titres, qui n'a pas connu les progrès fulgurants de l'IA des réseaux de neurones, est plus à même de répondre à ces trois exigences : expliquer, valider, responsabilité. C'est pourquoi la réponse à cette triple exigence passe sans doute, entre autres, par " l'IA hybride ", une IA tirant parti de ces deux branches de l'intelligence artificielle. Par Pierre Vandeginste https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/intelligence-artificielle/ia-pvdg_138526

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