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July 22, 2020 | International, Naval

ST Engineering and IAI Set Up JV to Market Advanced Naval Missile Systems

July 16, 2020 - Singapore Technologies Engineering Ltd (ST Engineering) today announced that its land systems arm has signed an agreement with Israel Aerospace Industries Ltd (IAI) to set up a joint venture company (JV) in Singapore. ST Engineering and IAI shall each hold a 50% share of the JV.

The JV, named Proteus Advanced Systems Pte Ltd, will leverage the strengths and track record of its parent companies to market and sell advanced naval missile systems, including a next generation anti-ship missile system.

The setup of this JV is not expected to have any material impact on the consolidated net tangible assets per share and earnings per share of ST Engineering for the current financial year.

ST Engineering is a global technology, defence and engineering group specialising in the aerospace, electronics, land systems and marine sectors. The Group employs about 22,000 people across offices in Asia, the Americas, Europe and the Middle East, serving customers in the defence, government and commercial segments in more than 100 countries. With more than 500 smart city projects across 70 cities in its track record, the Group continues to help transform cities through its suite of Smart Mobility, Smart Security and Smart Environment solutions. Headquartered in Singapore, ST Engineering reported revenue of $6.7b in FY2018 and it ranks among the largest companies listed on the Singapore Exchange. It is a component stock of the FTSE Straits Times Index, MSCI Singapore, SGX ESG Transparency Index and SGX ESG Leaders Index. For more information, visit stengg.com.

View source version on Israel Aerospace Industries Ltd (IAI): https://www.iai.co.il/st-engineering-and-iai-advanced-naval-missile-systems

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    La Suisse a lancé début juillet l'appel d'offres pour les nouveaux avions de combat. Les constructeurs Boeing, Airbus, Dassault, Saab et Lockheed Martin redoublent déjà d'efforts pour convaincre la Confédération. Cinq jets doivent être évalués: le Gripen E suédois (Saab), le Rafale français (Dassault), l'Eurofighter allemand (Airbus), et côté américain, le successeur du FA-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. Les constructeurs pourront soumettre leur offre à Armasuisse d'ici la fin janvier 2019. En Suède, l'opération de séduction a démarré à Linköping, petite ville de 150'000 habitants et capitale du Gripen. La localité est habituée aux rugissements du chasseur et au secret défense. Alors qu'il n'était qu'un projet en 2014, le Gripen E de Saab a désormais 30 heures de vols à son compteur. "Le Gripen E mûrit très vite", explique Rustan Nicander, responsable du marché suisse chez Saab. "Le Brésil et la Suède sont déjà clients, avant que la Suisse ne décide d'acheter l'appareil. Ce sera donc un appareil très mûr quand la Suisse fera son choix." Convaincre les politiques et l'industrie Pour remporter à nouveau l'appel d'offres, le constructeur suédois tente de rassurer, tout en misant sur son réseau. "Nous avions déjà remporté la dernière évaluation il y a quelques années", rappelle Jonas Hjelm, responsable des affaires aéronautiques. "Je pense que nous apportons cette fois un ensemble encore plus cohérent." Les performances du futur appareil ne constitueront pas le seul critère pour la Suisse. L'ultra-moderne F-35A américain n'a par exemple plus grand chose à prouver. L'entreprise américaine sait donc qu'elle doit aussi convaincre la politique et l'industrie. "Tous les pays qui ont acheté le F-35 ont eu un retour économique et industriel", affirme Yung A. Le, responsable de l'Europe du Nord chez Lockheed Martin. "Ce ne sera pas différent pour la Suisse. Nous avons des collaborateurs qui rencontrent l'industrie en Suisse romande, chez les Alémaniques et les italophones afin de mieux comprendre le tissu industriel." Après le travail de l'industrie, celui de la diplomatie Les entreprises étrangères avec lesquelles des contrats seront signés devront compenser 100% de la valeur des contrats par des affaires en Suisse. Discrète, la filiale allemande d'Airbus privilégie depuis son bureau bernois les coulisses aux grandes campagnes de communication pour vendre son Eurofighter. "Nous ne sommes pas nouveaux en Suisse, nous y avons déjà des contrats avec l'industrie, mais il faut que nous les développions davantage pour atteindre les besoins demandés", indique le Dr. Alexander-Long Vinh, responsable de cette campagne chez Airbus. Après le travail de l'industrie viendra celui de la diplomatie. Ce sera au gouvernement de chaque constructeur de transmettre une offre à la Suisse. Des tests au sol et en vol seront menés dans le pays entre mai et juillet 2019. Un deuxième appel d'offre pour les jets sera mené en novembre 2019 et les réponses sont attendues pour fin mai 2020. Le choix des modèles devrait tomber vers fin 2020. Le Parlement puis le peuple devraient pouvoir se prononcer sur la facture. Loïs Siggen-Lopez/tmun https://www.rts.ch/info/suisse/9717782-la-bataille-du-futur-avion-de-chasse-de-l-armee-suisse-a-demarre.html

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