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February 10, 2024 | International, Land

SAIC Awarded $80 Million U.S. Navy Contract for Heavyweight Torpedo Tests Sets

This award further demonstrates the trust and confidence the Navy has placed on SAIC and our exceptional workforce’s heavyweight torpedo expertise.

https://www.epicos.com/article/789042/saic-awarded-80-million-us-navy-contract-heavyweight-torpedo-tests-sets

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  • Thales receives US Army production increase order for more than 7,000 of Combat Net Radios

    October 12, 2023 | International, Land

    Thales receives US Army production increase order for more than 7,000 of Combat Net Radios

    The RT-2129 CNR is a critical component to the Army’s unified network providing robust communications capabilities to the tactical edge.

  • Tank-killing missile tests ‘Europe First’ weapons policy

    September 20, 2019 | International, Land

    Tank-killing missile tests ‘Europe First’ weapons policy

    By: Sebastian Sprenger COLOGNE, Germany — The defense chiefs of France, Belgium and Cyprus have signed an agreement to pursue a common anti-tank missile meant for wider adoption in Europe — an effort that puts the spotlight once again on accusations of protectionism in defense programs here. The three defense ministers inked the cooperation deal for the Beyond-Line-of-Sight Land Battlefield missile project on the sidelines of a meeting of European defense chiefs in Helsinki, Finland, in late August. The goal is to develop a new “family” of missiles for integration on an “extensive variety of platforms,” according to the official project description. It would be operated by a “dedicated users' club” under a common European doctrine for such weapons. Pan-European missile company MBDA has claimed the project as its own since officials announced it under the Permanent Structured Cooperation framework, or PESCO, in fall 2018. The vendor wants to sell its Missile Moyenne Portée, or MMP, to other armies besides the French, eyeing a far-reaching partnership with Belgium on ground vehicles as a potential avenue. Aside from being handed a potentially lucrative market on the continent, products or concepts picked as PESCO leads can win sizable funding contributions from common coffers like the envisioned €13 billion (U.S. $14 billion) European Defence Fund, or EDF. MBDA executives have danced around the question of how they came to be the quasi-incumbent for the missile project, arguing that the company is the only eligible manufacturer because the weapon is wholly developed and made in Europe. At the same time, company officials coyly painted the selection of the MMP weapon as a decision still up in the air. That is because there is a formal solicitation process under the European Defence Industrial Development Programme with a closing date of Sept. 20. The process envisions weapons trials sometime in 2020 or 2021 funded by the European Union, according to an MBDA spokesman. “The next step is that we hope to achieve this trial campaign and demonstrate the capability to inform future acquisitions from European nations,” the spokesman told Defense News. The problem is, however, that several other European nations already have a different weapon in their arsenals: a variant of the Spike missile, made by Israel's Rafael and sold in Europe by Germany-based Eurospike. Over the summer, Estonia moved to buy the weapon under a €40 million deal, becoming what Rafael said is the 19th user within NATO and the EU. Germany, which seeks to drive Europe's new defense posture alongside France, also relies on Spike — both the man-portable and the vehicle-mounted variants. Eurospike officials at the DSEI defense trade expo in London, England, last week complained about being left out of the nascent European missile program. While the Spike weapon is entirely produced in Germany, it is based on Israeli technology, resulting in what one company executive in London estimated to be an overall ratio of roughly 70 percent European and 30 percent Israeli. According to still-emerging rules for access to European defense projects, only members of the European Economic Area are eligible for EDF funding and collaboration-inducing mechanisms promised by PESCO. As it stands, Britain — after it leaves the EU — and its wares likely would be in, but the Israel connection means the Spike missile is out. For now, Eurospike officials said they are closely watching the process. “I can't imagine that they will just take the market by storm,” one executive said of MBDA and its missile offering. With its industrial infighting, the anti-tank weapons serve as something of a test case for whether common projects set up under EU auspices can truly serve the purpose of increasing collaboration among member states. Industry insiders suggest that the raft of existing PESCO efforts — covering everything from battlefield communications to future naval platforms to ground vehicles — comes with a built-in potential for turf battles. In the end, it seems a good number of PESCO projects come with a vendor team pushing a specific product under the banner or European unity. And as the dust of Euro enthusiasm settles, insiders say, vendors that weren't part of the initial project considerations are bound to find out that defense cooperation on the continent is also about winners and losers. https://www.defensenews.com/global/europe/2019/09/19/tank-killing-missile-tests-europe-first-weapons-policy/

  • Plus forte hausse depuis dix ans pour les dépenses militaires mondiales

    February 17, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Plus forte hausse depuis dix ans pour les dépenses militaires mondiales

    (Munich) Les dépenses militaires mondiales ont connu l'an dernier leur hausse la plus élevée depuis dix ans, sur fond de rivalités croissantes et de ce que le chef de l'État allemand a qualifié de « dynamique destructrice » au plan mondial. La progression a atteint au total 4 %, selon le rapport annuel de l'institut IISS publié vendredi peu avant le début de la Conférence sur la sécurité de Munich. En ouverture de cette grand-messe annuelle internationale sur les questions de défense, le président allemand Frank-Walter Steinmeier a planté le décor. « Année après année, nous nous éloignons de l'objectif d'une coopération internationale visant à créer un monde pacifique », a-t-il regretté. La « compétition des grandes puissances » gagne « toute la planète », a dit le président allemand, en critiquant l'égoïsme national répandu à ses yeux par les États-Unis de Donald Trump qui refusent « l'idée même d'une communauté internationale » . «Course aux armements» « Le monde ne peut pas se permettre une course aux armements », lui a fait écho la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, parlant d'« érosion préoccupante des cadres pour le contrôle qui ont rendu le monde sûr pendant des décennies ». Les dépenses militaires « ont augmenté avec la sortie des économies de la crise financière (de 2008) et sous l'effet d'une perception accrue des menaces », a relevé le directeur général de l'Institut international d'études stratégiques (IISS, International Institute for Strategic Studies). La mort du traité FNI sur les forces nucléaires intermédiaires (portée de 500 à 5500 km) en 2019 et l'extinction potentielle du traité New Start sur les armes nucléaires intercontinentales en 2021 bouscule l'ordre international post-Guerre froide, tout comme la montée en puissance de la Chine ainsi qu'une série de crises régionales, de l'Ukraine à la Libye. Dans un tel contexte, les deux plus gros budgets militaires mondiaux, ceux des États-Unis (685 milliards de dollars) et de la Chine (181 milliards), poursuivent leur croissance exponentielle, avec une hausse de 6,6 % dans les deux pays en 2019 par rapport à 2018. Les dépenses américaines ont augmenté à elles seules de 53,4 milliards de dollars l'an dernier, soit l'équivalent du septième budget mondial de la défense, après ceux de l'Arabie saoudite (3e), de la Russie (4e), mais avant ceux de la France (8e). « En Europe, les inquiétudes liées à la Russie continuent d'alimenter la croissance des dépenses avec une hausse de 4,2 % par rapport à 2018 », pointe également John Chipman. L'accroissement massif des capacités militaires chinoises est une source majeure d'inquiétude aux États-Unis comme auprès de leurs partenaires en Asie-Pacifique. La Chine s'est aussi lancée, comme la Russie, dans le développement d'armes hypersoniques susceptibles de déjouer les défenses antimissiles adverses, met en garde l'institut londonien. L'armée russe a annoncé en décembre la mise en service de ses premiers missiles hypersoniques Avangard, l'une des nouvelles armes vantées par le président Vladimir Poutine comme « invincibles » et « indétectables ». Europe bousculée En Europe, les interrogations grandissent devant le risque de désengagement des États-Unis, de plus en plus centrés sur l'Asie-Pacifique, même si ces derniers ont renforcé pour l'heure leur présence militaire dans l'est du continent face à la Russie, tout comme dans le Golfe face aux menaces iraniennes. Les pays membres de l'OTAN, Allemagne en tête, sont aussi budgétairement sous la pression du président américain Donald Trump qui leur réclame un effort plus massif pour arriver à l'objectif de dépenses égales à 2 % du PIB. Après Donald Trump en 2018, le président français Emmanuel Macron a en outre « semblé jeter le doute » à son tour sur l'engagement de solidarité collective au sein de l'Alliance en cas d'agression de l'un de ses membres, rappelle l'ISS. Il a aussi ébranlé ses partenaires en estimant l'OTAN en état de « mort cérébrale ». « Deux des trois puissances nucléaires de l'Alliance (la troisième étant le Royaume-Uni) ont ainsi semé l'incertitude sur cette question clé de la sécurité collective », souligne John Chipman. https://www.lapresse.ca/international/202002/14/01-5261007-plus-forte-hausse-depuis-dix-ans-pour-les-depenses-militaires-mondiales.php

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