December 14, 2023 | International, Aerospace
December 3, 2019 | International, Naval
ByEd Adamczyk
Dec. 2 (UPI) -- Raytheon has been awarded a $74.7 million contract for services on the U.S. Navy's amphibious transport dock ships.
Under the new deal, Raytheon Integrated Defense Systems will provide design agent engineering and technical services for the overall management, development, testing, troubleshooting, repair, configuration, maintenance and fleet sustainment of fielded networks and associated network user systems and clients, the Department of Defense said on Friday.
The indefinite delivery/indefinite quantity contract pertains to operational Landing Platform Dock, or LPD 17-class, amphibious transport dock ships, the first of which was the USS San Antonio, commissioned in 2006.
The ships, 682 feet long in the case of the USS San Antonio, specialize in delivering troops to a war zone by sea, although they also carry helicopters.
Eleven LPD-17 class ships are currently active in the U.S. Navy, with 26 more planned.
The majority of the work will be performed at Raytheon's San Diego facilities and is expected to be complete by December 2024.
December 14, 2023 | International, Aerospace
August 17, 2021 | International, Aerospace
After integration on a T-38 is complete, a fourth-gen fighter will be next in line.
January 23, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR
Posté dans Industrie, Politique de défense par Laurent Lagneau Le 22-01-2019 Certes, si la trajectoire financière établie par la Loi de programmation militaire [LPM] 2019-25, promulguée le 13 juillet dernier, est respectée, le budget des Armées va augmenter significativement au cours des prochaines années, avec, au total, une enveloppe de 295 milliards d'euros. Il s'agit de pouvoir moderniser des capacités clés, ce qui signifie un carnet de commandes bien rempli pour les industriels de l'armement. Pour autant, et comme l'avait déjà dit le président Macron en juillet 2017, « l'intérêt des armées doit primer sur les intérêts industriels. » Plus tard, lors de ses voeux aux Armées en janvier 2018, il avait remis une couche en évoquant un « meilleur rapport coût-efficacité » s'agissant des matériels. « L'État est aux côtés de ses industriels, il l'est pour les besoins de ses armées comme à l'export, mais j'attends la même exigence, la même transparence et le même esprit de responsabilité de nos industriels de défense. [...] Nous investissons [...] pour avoir les meilleurs prestations possibles », avait-il affirmé. Depuis, la transformation de la Direction générale de l'armement [DGA] a été amorcée. Il s'agit, entre autres, de revoir la façon dont sont conduits les programmes d'armement, en abandonnant la logique dite en « silo » au bénéfice d'un travail en « plateau ». L'objectif est ainsi de simplifier le cycle d'acquisition d'un équipement, tout en favorisant l'accélération et la réactivité des processus et en maîtrisant les coûts et les délais. Article complet: http://www.opex360.com/2019/01/22/mme-parly-le-ministere-des-armees-nest-pas-un-client-vache-a-lait/