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May 19, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

Podcast: What A&D Companies Should Invest In After COVID-19

Michael Bruno

Companies across the board are slashing costs, preserving cash, and trying to adjust to a new normal after the novel coronavirus throttled down business prospects. But there is one area they are sure to spend even more money on in the coming years as industry regroups after COVID-19. Listen in as Aviation Week and Accenture discuss what to watch for in technology investments.

https://aviationweek.com/podcasts/check-6-accenture/podcast-what-ad-companies-should-invest-after-covid-19

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  • "L'achat des F18 et Eurofighter par l'Allemagne est plutôt une bonne chose pour la France" (Eric Trappier)

    April 27, 2020 | International, Aerospace

    "L'achat des F18 et Eurofighter par l'Allemagne est plutôt une bonne chose pour la France" (Eric Trappier)

    Par Michel Cabirol Pour le PDG de Dassault Aviation la décision de l'Allemagne d'acheter 93 avions de combat Eurofighter et 45 F-18 américains est "paradoxalement plutôt une bonne chose pour la France. Au moins, l'Allemagne écarte le F35". Le patron de Dassault Aviation Eric Trappier a été très clair sur la décision de l'Allemagne d'acheter 93 avions de combat Eurofighter (BAE Systems, Airbus et Leonardo) et 45 F-18 américains (Boeing) pour renouveler sa flotte de Tornado. "C'est paradoxalement plutôt une bonne chose pour la France. Au moins, l'Allemagne écarte le F35", a expliqué jeudi le président du GIFAS lors d'une audition par la commission de la défense de l'Assemblée nationale. Clairement, ce choix, s'il est confirmé par un vote du Bundestag, permettra de poursuivre les travaux sur le futur Système de combat aérien du futur (SCAF), lancés par l'Allemagne et la France, et rejoints par l'Espagne. Ce qui n'aurait pas été le cas si Berlin avait choisi le F-35. "J'insiste sur la nécessité de prise en compte des différences de calendriers et d'organisation politique entre les deux pays. Les industriels doivent s'adapter aux calendriers politiques pour avancer. Un message peut être porté aux parlementaires allemands : il faut trouver un processus type LPM (Loi de programmation militaire, ndlr) pour cadencer avancement des projets communs. La pression des États-Unis Pour autant, pour diminuer l'appétence des pays européens à acheter américain, "il est nécessaire que l'on s'organise entre européens", a-t-il expliqué. Le chemin est très long encore en dépit de l'initiative commune entre trois grands pays européens sur le SCAF. Ainsi, la Bulgarie a signé des contrats pour des F16, la Belgique a signé des amendements pour des F35, a-t-il rappelé. "Il faut se poser la question du poids des européens face aux Etats-Unis dans l'OTAN", a-t-il également fait valoir. Et les États-Unis, qui n'ont qu'un objectif de vassaliser l'Europe en matière d'aviation de combat, ne l'chent vraiment pas les Européens. Ainsi, pour Lockheed Martin, tous les coups sont permis. Le géant américain vient d'embaucher en Finlande, l'ancien chef d'état-major des armées (CEMA) finlandais, celui-là même qui avait lancé la compétition pour l'acquisition de nouveaux appareils, a expliqué Eric Trappier. Ce qui a provoqué une polémique en Finlande. Ce projet d'achat vise à remplacer la flotte actuelle de 64 avions de combat F/A-18C/D Hornet achetés au début des années 90. Le ministre finlandais de la Défense a déclaré que le nombre de nouveaux appareils à acheter pourrait être supérieur ou égal au niveau actuel et espérait qu'il ne serait pas inférieur. Inquiétudes sur le Fonds européen de défense En tant que patron également de l'ASD (AeroSpace and Defence Industries Association of Europe), le président du GIFAS (Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales) a fait part de ses inquiétudes sur l'avenir du Fonds européen de défense (FED). "L'Europe de la Défense ne semble pas la priorité de l'ensemble de nos partenaires. Il faut veiller à le préserver. Elle est notamment utile pour développer de nouvelles technologies et d'abonder les programmes qui sont définis par plusieurs États européens", a-t-il rappelé. Et selon lui, un deuxième danger menace le FED. C'est "la persistance des États-Unis à vouloir faire accéder leurs sociétés à ces financements. Certains pays européens à l'Est du continent sont attentifs et sensibles aux appels américains". On n'est jamais trahi que par les siens... https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/l-achat-des-f18-et-eurofighter-par-l-allemagne-est-plutot-une-bonne-chose-pour-la-france-eric-trappier-846130.html

  • Germany Develops Offensive Cyber Capabilities Without A Coherent Strategy of What to Do With Them

    December 7, 2018 | International, C4ISR

    Germany Develops Offensive Cyber Capabilities Without A Coherent Strategy of What to Do With Them

    BY MATTHIAS SCHULZE Germany has traditionally prioritized defense over offense in cyberspace. That's now beginning to change. There is a reoccurring debate in German national security and foreign policy whether Germany suffers from “Strategieunfähigkeit”—an inability to develop and implement strategy. The historic trauma of two lost World Wars created a pacifist culture that always struggled with formulating national security interests and defining strategy. The so-called “culture of reluctance” regarding the use of hard power has bled into Berlin's thinking about cyber issues, especially as it rushes to develop capabilities without an overarching strategy on how to use them. Until recently, Germany has prioritized defense over offense in cyberspace. The Federal Office for Information Security (BSI), Germany's cybersecurity agency, has a strictly non-military defensive mandate and is a vigilant advocate of strong encryption and full disclosure of zero-day vulnerabilities to vendors. Germany's foreign intelligence agency (BND) has historically had a relatively small cyber espionage budget. Germany's defensive posture began to shift in 2015, after the internal network of the German Bundestag was successfully compromised by Russian state-backed operators. That led the country to revise its cybersecurity strategy, issuing a more offensive-minded document in 2016. It called for the development of cyber teams in the intelligence agencies. It also might have been a contributing factor to the creation of a specialized agency, called the Central Office for Information Technology in the Security Sphere (ZITiS), to develop innovative techniques to break into encrypted devices, develop exploits and malware for real time interception and accessing data at rest, as well as identify or purchase zero-days to support offensive capabilities. As Germany rolled out its 2016 strategy, the German military (Bundeswehr) centralized its cyber capacity by consolidating around 14,000 soldiers and IT personnel into a unified cyber command (CIR), loosely modelled on U.S. Cyber Command. CIRwants to achieve full operational capacity by the early 2020s and plans to perform strategic and tactical cyber operations against enemy assets. Usage scenarios include disrupting enemy military assets, battlefield support and reconnaissance on adversary IT assets. Full article: https://www.defenseone.com/ideas/2018/12/germany-develops-offensive-cyber-capabilities-without-coherent-strategy-what-do-them/153227

  • Réunion de la dernière chance pour le futur avion de chasse européen

    February 17, 2021 | International, Aerospace

    Réunion de la dernière chance pour le futur avion de chasse européen

    Une réunion à huis clos s'ouvre en région parisienne avec les patrons des grands groupes de défense dans l'espoir de déminer les nombreux points de désaccords qui pèsent encore sur le projet de système de combat aérien du futur (SCAF). Répartition du travail, leadership, droits de propriété intellectuelle, la France, l'Allemagne et l'Espagne rebattent les cartes. Par Anne Bauer Publié le 17 févr. 2021 à 13:47Mis à jour le 17 févr. 2021 à 16:39 La réunion a démarré mercredi matin à huis clos, en banlieue parisienne. Ses participants ? Les patrons des principaux groupes de défense européens (Dassault, Airbus Defense and Space, Safran, MTU) et le délégué général pour l'armement, Joël Barre, accompagné de ses homologues allemand et espagnol. Personne ne sait quand la réunion finira. Après des semaines de vaines discussions sur le partage des t'ches sur le s ystème de combat aérien du futur (SCAF) , qui doit prendre la relève des Rafale et des Eurofighters dans les années 2040, il s'agit d'une dernière tentative de conciliation. Avec fumée blanche ou non à la sortie. Lors du dernier conseil de défense franco-allemand qui s'est tenu le 5 février dernier, le président français, Emmanuel Macron, et la chancelière allemande, Angela Merkel, ont répété leur volonté de faire aboutir les deux grands projets industriels lancés en 2017, le SCAF et le MGCS (char du futur), le premier sous leadership français, le second sous leadership allemand. La chancelière a néanmoins reconnu que « le projet d'avion du futur, dont le leadership a été confié à Dassault, se heurte à des questions de leadership, de partage des t'ches et de droits de propriété intellectuelle ». Bref, en clair, qu'il était dans l'impasse. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/exclusif-reunion-de-la-derniere-chance-pour-le-futur-avion-de-chasse-europeen-1291157

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