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March 5, 2021 | International, C4ISR, Security

Pentagon struggles to add cybersecurity to weapon contracts, watchdog finds

Cybersecurity requirements in weapon system contracts still aren't clear, but the Pentagon has made progress in the last three years, the Government Accountability Office found.

https://www.c4isrnet.com/cyber/2021/03/04/pentagon-struggles-to-add-cybersecurity-to-weapon-contracts-watchdog-finds/

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  • US Marine Corps could soon take out enemy ships with Navy missiles

    January 16, 2020 | International, Naval

    US Marine Corps could soon take out enemy ships with Navy missiles

    By: David B. Larter and Jeff Martin WASHINGTON — The U.S. Marine Corps could soon get the Navy's new Naval Strike Missile for use as a shore battery, according to the Navy's acquisitions chief. “Just yesterday [Jan. 14] we had the team in that has the Naval Strike Missile on LCS working hand-in-hand with the Marine Corps. The Marine Corps does ground launchers, we do command and control," Assistant Secretary of the Navy James “Hondo” Geurts told reporters after his Jan. 15 speech at the annual Surface Navy symposium. “We'll make that immediately available to the Marine Corps.” Geurts said the effort on Naval Strike Missile, a Kongsberg/Raytheon product, was emblematic of a more coherent approach where instead of a dedicated Marine Corps effort to examine, test and field a system, the services were leveraging each other to get capabilities out faster. The missile was recently deployed to the Pacific on the littoral combat ship Gabrielle Giffords, and the weapon is capable of flying more than 100 miles. It can passively detect enemy ships with imagery in its brain and is so precise that it can target individual parts of a ship, like the engine room or bridge. In May, Raytheon announced it had been awarded $48 million through an other transaction authority contract to integrate the Naval Strike Missile into the Marine Corps' force structure, but very few details were available at the time. This won't be the first time the missile is based on land, as Poland's coastal defense forces already have several batteries in service. And in 2018 at the Rim of the Pacific exercise, the U.S. Army fired a Naval Strike Missile at a decommissioned ship as part of a live-fire demonstration. It's unknown what the Marine Corps will use as a launcher, as it is unclear whether or not the service's M142 High Mobility Artillery Rocket System can be used to fire the Naval Strike Missile. However, it is likely that the Corps' manned launchers will fire the missiles while on the deck of Navy amphibious ships, as the Corps has been testing the capability with HIMARS launchers. “We're serious about it,” Geurts said. “You've heard the commandant and the assistant commandant talk about more lethal anti-ship activity. ... It's certainly something we are looking at closely.” https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/surface-navy-association/2020/01/15/the-marine-corps-could-soon-take-out-enemy-ships-with-navy-missiles

  • Comment les Rafale et véhicules aériens ont réduit le déficit commercial de la France en 2019

    June 15, 2020 | International, Aerospace

    Comment les Rafale et véhicules aériens ont réduit le déficit commercial de la France en 2019

    Les exportations d'armements ont dopé la balance commerciale de la France en 2019. Selon des données dévoilées le 15 juin par l'Observatoire économique de la défense, les exportations de matériels de guerre ont atteint un niveau historique. En 2019, la France a réussi à diminuer son déficit commercial de 3,9 milliards d'euros. Comment ? Notamment gr'ce au succès de ses armements à l'international. Les exportations de matériels de guerre et produits liés ont atteint un record décennal de 11,3 milliards d'euros (+34 %), selon le bulletin du mois de mai de l'Observatoire économique de la défense (OED). Les véhicules aériens ont particulièrement contribué à ces résultats. Quatrième meilleur secteur en excédent commercial Le succès des armes françaises à l'export n'est pas nouveau. Début juin, le ministère des Armées rapportait un haut niveau de prises de commandes. Cette fois, on connaît la valeur totale des exportations, le type de biens exportés et également les zones géographiques vers lesquelles ils sont expédiés. Avec 2,7 milliards d'euros d'importations, l'excédent commercial lié aux livraisons de matériels de guerre s'élève à 8,5 milliards d'euros en 2019 (+2,1 milliards d'euros et +32,8 % par rapport à 2018). “Cet excédent sectoriel est une des principales sources d'atténuation du déficit commercial de la France”, fait remarquer l'Observatoire économique de la défense. Seuls trois secteurs dépassent cet excédent commercial en France : en premier l'aéronautique civile (+29,6 milliards d'euros), l'agro-alimentaire des boissons (+13,2 milliards) et l'industrie manufacturière des parfums et des cosmétiques (+12,5 milliards). L'aviation de défense repart Après une stagnation entre 2017 et 2018, les exportations d'avions et d'autres véhicules aériens repartent avec une augmentation de 24,4 % entre 2018 et 2019. Cette catégorie représente à elle seule 2,8 milliards d'euros, soit 25 % de l'ensemble des exportations de matériels de guerre. Les systèmes de propulsion (turboréacteurs, turbopropulseurs) enregistrent également une belle performance : leurs exportations ont cru de 34 % à 2,3 milliards d'euros, soit 20 % de la valeur totale exportée par la France. “Ces exportations sont principalement à destination, dans l'ordre, du Proche et Moyen-Orient, de l'Union européenne, de l'Amérique et de l'Asie”, note l'OED. L'Observatoire économique de la défense ne détaille pas les produits livrés mais l'avion de combat Rafale de Dassault Aviation a sans doute contribué à ces résultats. En 2019, les livraisons de cet appareil vers l'étranger ont explosé à 26 exemplaires. Belle croissance pour les instruments d'optique Derrière, les avions et les systèmes de propulsion les armes et les munitions comptent pour 2,1 milliards d'euros (+34,7 %), soit 18 % des exportations françaises de matériels de guerre. “Près de trois quarts de ces exportations sont des bombes, des grenades, des torpilles ou des missiles”, décrit l'OED. Les chars, les véhicules blindés, les instruments d'optique, de mesure et de précision représentent moins d'argent. En revanche ces catégories affichent les plus fortes croissances. Les exportations de véhicules blindés décollent de +56,8 % (1,1 milliard d'euros). Les instruments ont quant à eux progressé de 47 % (700 millions d'euros). “Il peut s'agir de télémètres ou encore d'appareils pour la navigation à usage militaire. 80 % des exportations sont à destination du Proche et Moyen-Orient, de l'Afrique et de l'Asie (hors Proche et Moyen-Orient)”, détaille l'OED. Pour le secteur maritime, l'année 2019 n'a pas connu de grandes livraisons à l'international. Les navires de guerre affichent une contre-performance de -20,4 % et n'ont compté que pour 128,3 millions d'euros dans les exportations. Les appareils de détection et de radiosondage (radars, sonars et leurs composants) affichent une croissance de 59 % à 1,8 milliards d'euros. Selon l'OED, ces matériels sont principalement exportés vers le Proche et Moyen-Orient. Le Proche et Moyen-Orient, principaux clients de la France De manière générale, le Proche et Moyen-Orient concentrent 42,4 % des exportations françaises (4,8 milliards d'euros, +205 %). Les résultats sont plus serrés entre les autres zones géographiques : l'Amérique représente 11,4 % des exportations (1,3 milliard), derrière l'Afrique (13,8 %, 1,6 milliard), l'Asie (15,7 %, 1,8 milliard) et l'Europe (16,7 %, 1,8 milliard). Pour les importations, la préférence européenne joue aussi. “La majorité des importations françaises de matériels de guerre et produits liés provient de l'Union européenne : 56,2 %, soit un 1,5 milliard d'euros”, fait remarquer l'OED tandis que l'Amérique représente 27,3 % des importations (0,8 milliard). https://www.usinenouvelle.com/editorial/comment-les-rafale-et-vehicules-aeriens-ont-reduit-le-deficit-commercial-de-la-france-en-2019.N975531

  • Programme PEDID : le missile MMP de MBDA retenu par la Commission européenne

    July 6, 2020 | International, Aerospace

    Programme PEDID : le missile MMP de MBDA retenu par la Commission européenne

    LynkEUs, projet dont MBDA est le coordinateur, a été retenu par la Commission européenne, après avis des Etats-membres, dans le cadre de son nouveau programme PEDID (Programme européen de développement industriel dans le domaine de la défense). Ce projet constitue la première contribution technologique et industrielle aux objectifs du projet BLOS (Beyond Line Of Sight - en français TAVD : Tir Au-delà de la Vue Directe) de la Coopération Structurée Permanente (CSP). Les concepts et essais réalisés au titre du projet BLOS contribueront au développement d'une famille de systèmes de missiles TAVD à retour image avec l'homme dans la boucle, basée sur le Missile Moyenne Portée (MMP). Air & Cosmos du 1er juillet 2020

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