December 6, 2022 | International, Naval
Marinesâ updated amphibious concept calls for disruptive technologies
The updated amphibious operations concept accounts for anti-access weapons and calls for unmanned and AI tools to help U.S. naval forces.
April 21, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security
Lee Hudson
The Pentagon predicts there will be a three-month slowdown for major defense acquisition programs because of the novel coronavirus pandemic.
Aerospace, shipbuilding and small launch are the most vulnerable sectors in the wake of COVID-19, Pentagon acquisition executive Ellen Lord told reporters April 20. Out of the 10,509 major prime contractors, 106 have shuttered their doors, and 68 have closed and reopened. Of 11,413 vendor-based companies, 427 are shut down, with 147 having closed and reopened, she said.
Lord's team has not identified specific programs but anticipates there will be schedule delays, she said. One of the measures the military is taking to support the defense industrial base is boosting progress payment rates to contractors, raising them for large businesses from 80% to 90% and for small businesses from 90% to 95%.
“Based on submitted invoices, we expect payments at the higher progress payments to start this week, helping provide $3 billion in increased cash flow to industry,” Lord said. “I commend Lockheed Martin and Boeing for both publicly committing to ensure this cash flow goes quickly down the supply chain to small businesses who need it most.”
The DOD is hoping other large defense contractors will make similar public announcements. The Pentagon's small business program office hosted a webinar with more than 1,000 companies to address their unique concerns, she said.
Over the last few weeks, Lord's team has focused on supply chain “illumination” tools and found “international dependencies.” Specifically, the defense industrial base is being hit hard by supplier closures in Mexico and India. Lord spoke with the U.S. ambassador to Mexico on April 17 and on April 20 was sending a letter to the Mexican foreign minister asking for help in reopening international suppliers.
The Pentagon also is hoping for additional aid from the American people via the second Coronavirus Aid, Relief and Economic Security (CARES) Act. Lord would not pinpoint a particular amount, but the money sought is incremental funding for inefficiencies related to contracting, Defense Production Act (DPA) Title III, the defense industrial base and medical resources.
In the inaugural CARES Act, DOD received $1 billion for DPA Title III, $750 million for medical resources and $250 million for the defense industrial base.
The DPA Title III medical resources priorities are N95 masks, ventilators, active pharmaceutical ingredients, testing kits, suppliers and reagents, vaccines and delivery systems. The defense sector focus areas for DPA Title III include machine tools and industrial controls, aircraft supply chain illumination, chem bio, directed energy, radar, munitions, missiles, space, shipbuilding, soldier systems and ground systems.
To date, the Defense Logistics Agency has provided more than 1.8 million N95 respirator masks, 3.2 million nonmedical and surgical masks, 54.8 million exam gloves, 8,000 ventilators and 275,000 isolation and surgical gowns to the military services, combatant commands, and several federal agencies, Lord said.
“We have ordered face coverings for the workforce, 3 million active duty, guard, reserve and government civilians with deliveries starting this week,” she said. “We expect 135,000 by the end of April and 580,000 by the end of May.”
For the first time ever, U.S. Transportation Command (Transcom) was able to use the Defense Threat Reduction Agency-developed transport isolation system to move three COVID-19 positive patients from Afghanistan to Germany. The system was developed in 2014 during the Ebola crisis.
“The joint staff, Transcom, and the Air Force continue to work to ensure that we can safely transport COVID-19 patients from overseas locations to the United States,” Lord said. “We just issued a memo that directs contracting officers to support a U.S. Forces Afghanistan memo to redeploy at-risk contractor employees due to insufficient medical capability in-country.”
The Pentagon anticipates this will affect fewer than 1,000 personnel.
December 6, 2022 | International, Naval
The updated amphibious operations concept accounts for anti-access weapons and calls for unmanned and AI tools to help U.S. naval forces.
December 19, 2018 | International, Aerospace, C4ISR
Helen Chachaty Mise à jour 13h (heure française) : Le lancement est reporté de 24 heures en raison de conditions météorologiques défavorables. L'observation spatiale prend une nouvelle dimension. Le premier satellite CSO (Composante spatiale optique) doit en théorie être mis sur orbite ce 18 décembre par un lanceur Soyouz, depuis le Centre spatial guyanais (CSG) de Kourou. La constellation CSO - composée de trois satellites - remplacera à terme le système Hélios II et reprendra les missions d'observation spatiale pour les forces armées françaises, mais aussi pour les pays partenaires du programme MUSIS (Multinational space-based imaging system). D'une masse de 3,5 tonnes, CSO-1 sera placé sur une orbite héliosynchrone à 800 kilomètres d'altitude et déployé pour des missions de reconnaissance, avec la capacité de produire des images très haute résolution. CSO-3 aura les mêmes fonctions, alors que CSO-2 sera quant à lui placé sur une orbite polaire à une altitude différente, soit 480 kilomètres d'altitude, afin de remplir la mission d'identification. Le deuxième satellite bénéficiera donc d'une résolution augmentée par rapport à CSO-1 et -3 et sera capable de produire des images d'extrêmement haute résolution - une donnée non-dévoilée. CSO-2 sera théoriquement lancé en mai 2020, toujours par Soyouz, CSO-3 devrait quant à lui être tiré par Ariane 6 en octobre 2021. Ces satellites de nouvelle génération représentent un « saut qualitatif en termes de résolution d'image, de précision de localisation et de nombre de prises de vue », explique un aviateur. Les satellites CSO sont destinés à effectuer des prises de vue en fonction des besoins militaires de la France et des pays partenaires (Allemagne, Belgique, Espagne, Italie, Suède). Dotés de capacités multispectrales et infrarouges, les satellites CSO permettront de disposer d'images mono- et stéréoscopiques. La participation de la Suède, qui met à disposition une antenne à Kiruna, permettra par ailleurs au satellite de « décharger » les données toutes les 90 minutes, contre environ deux fois par jour pour l'antenne de la base aérienne de Creil. La capacité journalière maximale est estimée à environ 800 images. La composante spatiale optique est articulée autour des trois satellites, d'un segment sol de mission pour le contrôle des satellites et d'un segment sol utilisateur. CSO-1, -2 et -3 ont été réalisés sous maîtrise d'oeuvre d'Airbus Defence & Space, l'instrumentation optique a été fournie par Thales Alenia Space France. Le segment sol mission est opéré par le CNES depuis Toulouse. Il est composé d'un centre de programmation (Capgemini) et de commande-contrôle (Airbus Defence & Space) et d'un centre d'expertise qualité image (Thales Service et Capgemini). Quant au segment sol utilisateur, situé à Creil, il a été conçu et réalisé par Airbus Defence & Space. La Direction générale de l'armement est responsable de la conduite du programme et assure la maîtrise d'ouvrage du segment sol utilisateur. Elle a délégué au CNES la maîtrise d'ouvrage pour la réalisation des satellites et du segment sol de mission, ainsi que le lancement des satellites - qui sera effectué par Arianespace. Le lancement de CSO-1 intervient alors que la ministre des Armées Florence Parly doit prochainement rendre au président de la République Emmanuel Macron un rapport sur la stratégie spatiale militaire française. « Il faut avoir en tête que l'espace devient le thé'tre de confrontations », avait-elle déclaré à l'occasion d'une rencontre avec des journalistes début septembre, mettant en avant la nécessité de disposer de capacités spatiales efficientes. Florence Parly avait également rappelé que « protéger l'espace, c'est protéger nos opérations. C'est aussi garantir notre souveraineté et trouver l'opportunité de partenariats avec nos alliés européens, et c'est surtout protéger nos modes de vie et notre quotidien ». La Loi de programmation militaire 2019-2025 inclut, outre la mise en oeuvre du programme CSO-MUSIS, la mise en service du programme CERES (Capacité d'écoute et de renseignement électromagnétique spatiale), des deux premiers satellites du système Syracuse IV et le lancement du programme OMEGA (Opération de modernisation des équipements GNSS des armées). Les premières images produites par CSO-1 sont attendues « dans quelques mois », explique-t-on au CMOS (Centre militaire d'observation spatiale). Après le lancement du satellite suivra une période de calibrage des instruments de bord et de calage du télescope et de la structure. https://www.journal-aviation.com/actualites/41584-l-observation-spatiale-nouvelle-generation-paree-au-lancement
October 30, 2023 | International, Aerospace
The United States and South Korea began major air exercises on Monday, involving 130 warplanes from both countries to simulate 24-hour wartime operations.