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May 17, 2021 | Local, Security

New funding to detect COVID-19 in wastewater / Nouveau financement pour détecter la COVID-19 dans les eaux usées

New COVID-19 Funding Opportunity

The Public Health Agency of Canada and the National Research Council of Canada are seeking to facilitate the development of a field portable SARS-CoV-2 wastewater detection device that incorporates sampling, analysis, data storage and date transmission.

Think you can solve our new COVID-19 wastewater detection challenge? Compete for funding to prove your feasibility and develop a solution! This challenge closes on June 10, 2021.

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Nouvelle opportunité de financement COVID-19

L'Agence de la santé publique du Canada et le Conseil national de recherches du Canada souhaitent faciliter la création d'un dispositif portatif de détection du SRAS-CoV-2 dans les eaux usées, qui permet de réaliser des échantillonnages et d'analyser, de stocker et de transmettre des données.

Pensez-vous pouvoir résoudre notre nouveau défi de détection de COVID-19 dans les eaux usées ? Compétitionnez afin de prouver la faisabilité de votre solution et de la développer ! Ce défi se termine le 10 juin, 2021.

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  • Canadian Coast Guard takes important steps to reduce fleet emissions

    October 4, 2022 | Local, Naval

    Canadian Coast Guard takes important steps to reduce fleet emissions

    Ottawa, Ontario - Reducing carbon emissions is one of the most important ways Canada and Canadians can fight against climate change. In line with the Government of Canada's 2030 and 2050 commitments to reducing greenhouse gas emissions, the Canadian Coast Guard (CCG) is pursuing tangible decarbonization efforts. Today, CCG announced important steps in reducing its emission output: the start of a biodiesel testing project and the launch of the next phase in the construction of the Government of Canada's first hybrid electric vessel. Earlier this month, following the award of a contract to procure biodiesel from Windsor, Ontario based Sterling Fuels, CCG broke historic ground for the Government of Canada, becoming the first Government agency to trial a 20% biodiesel blend in one of its vessels, the CCGS Caribou Isle. Over the next months, various biodiesel ratios will be tested in order to enable the CCG to assess operational feasibility and technological compatibility of higher blend rates across various operational settings. This biodiesel test project will assist in advancing solutions to decrease emissions in the immediate term. In addition to testing greener fuels, the CCG is preparing for construction of a new hybrid electric Near-Shore Fishery Research Vessel (NSFRV) to reduces consumption of diesel. Following the design and engineering work for a vessel class fitted with a battery energy storage system, the CCG has issued a request for proposal to Canadian shipbuilders to start construction of one vessel. The successful bidder will incorporate Canadian innovative green technologies in the construction of the vessel. These include the overall design by British Columbia vessel designer Robert Allan Ltd, a propulsion and battery system by Prince Edward Island engineering firm Aspin Kemp and Associates, and deck equipment systems engineering by Nova Scotia's Hawboldt Industries Ltd. Canadian shipbuilders are welcome to learn more about this opportunity, by visiting the NSFRV Build Request for Proposal on CanadaBuys. Through these two important projects, the CCG is taking a major step in the overall objective of lowering our fleet's carbon emissions. Over time, the CCG looks forward to continuing this important work in partnership with leading Canadian green industries. https://www.canada.ca/en/canadian-coast-guard/news/2022/10/canadian-coast-guard-takes-important-steps-to-reduce-fleet-emissions.html

  • Un nouveau logiciel montréalais au cœur des avions

    July 21, 2020 | Local, Aerospace

    Un nouveau logiciel montréalais au cœur des avions

    La hausse fulgurante de la complexité du développement de logiciels pour les avions a expliqué beaucoup de retards et de dépassements de coûts au cours des dernières années. Une entreprise montréalaise, Mannarino, s'y attaque en présentant cette semaine un nouveau système d'exploitation qui pourrait réduire les coûts de moitié. Publié le 21 juillet 2020 à 8h00 Spécialisée en services informatiques, principalement dans le domaine aéronautique, depuis 20 ans, l'entreprise a reçu il y a deux ans un investissement de 10 millions de dollars US provenant de Lockheed Martin afin de concevoir un nouveau système d'exploitation en temps réel (RTOS) à partir d'une page blanche. Le résultat est apparu lundi, jour d'ouverture de la version virtuelle du Salon aéronautique de Farnborough, qui aurait dû avoir lieu cette semaine en banlieue de Londres. Au cours des années, Mannarino a conçu sur commande des logiciels pour le contrôle des moteurs, la gestion de vol, les communications ou le réapprovisionnement en carburant en vol, par exemple. Chaque fois, elle était limitée par la vétusté des systèmes d'exploitation employés. Le système d'exploitation est le logiciel maître, auquel font appel les autres applications, un peu comme Windows dans un ordinateur ou iOS dans un iPhone. Les exigences envers un système installé à bord d'un appareil sont toutefois nettement plus élevées en termes de fiabilité, ce qui en multiplie les coûts. « Le principal commentaire que l'on recevait de nos clients, c'était que ces systèmes étaient trop chers », explique John Mannarino, fondateur de l'entreprise. « Nous essayons de réduire les coûts de 50 %. » Comme ces systèmes n'étaient pas conçus spécialement pour l'aéronautique, et que les volumes sont relativement faibles dans cette industrie, les clients se plaignaient aussi de la pauvre qualité du service qu'ils recevaient, affirme M. Mannarino. Système plus rapide et moins gourmand En partant d'une page blanche, l'entreprise a conçu un système qu'elle estime être deux fois plus rapide et moins gourmand de moitié en mémoire. Il pourra être employé sur tous les types d'appareils, des avions commerciaux aux hélicoptères militaires, en passant par les avions d'affaires et les drones de taille suffisante pour nécessiter une certification. L'un des marchés pour lesquels on anticipe la plus forte demande est celui des drones. John Mannarino, président de Mannarino Les clients principaux du nouveau logiciel seront vraisemblablement des fabricants d'avionique, dont Lockheed Martin. Le géant américain a fourni 10 millions US dans le cadre du programme de contreparties mis en place par le gouvernement fédéral. En vertu de ce programme, les contrats militaires obtenus par des entreprises étrangères doivent faire l'objet de contreparties équivalentes dans l'industrie locale. De l'entente avec Mannarino, Lockheed Martin n'obtient rien de plus que des crédits lui permettant de combler les exigences de ce programme, assure M. Mannarino. Elle n'est pas propriétaire du logiciel et ne détient aucun droit sur lui. Des discussions sont toutefois en cours pour faire de Lockheed Martin un client. Bien que l'entreprise entende d'abord se concentrer sur le marché aéronautique, dans lequel elle a le plus d'expertise, son système d'exploitation sera éventuellement aussi offert dans d'autres industries, dont la santé et le transport ferroviaire, ou même pour des applications industrielles. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-07-21/un-nouveau-logiciel-montrealais-au-coeur-des-avions.php

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