Back to news

August 20, 2019 | International, Aerospace

NASA Seeks Lunar Gateway Resupply Proposals

Mark Carreau

NASA has issued a request for proposals (RFP) from U.S. companies capable of carrying out up to $7 billion in re-supply missions to its planned lunar-orbiting, human-tended Gateway.

The request asks for a service similar to how multiple commercial providers deliver pressurized and unpressurized cargo to and from the six-person International Space Station (ISS) under commercial resupply services contracts.

The major difference is that the ISS orbits in a high inclination orbit about 250 mi. from the Earth's surface. The Gateway is to orbit the Moon in a near rectilinear halo orbit, an elliptical track that comes as close to the lunar surface as 1,875 mi. (3,000 km) and as far as 43,750 mi.

Under the Gateway cargo RFP, the craft would remain parked at the Gateway for six months, followed by an automated departure and disposal.

Responses to the RFP, issued Aug. 16, are due Oct. 1.

Under the Artemis initiative unveiled by NASA earlier this year, astronauts will return to the lunar surface via the Gateway by 2024 as the agency pursues a sustainable presence by 2028 and prepares for the human exploration of Mars.

Under the RFP issued through NASA's Kennedy Space Center (KSC), the agency is prepared to commit up to $7 billion to contract with multiple U.S. suppliers for 15 years on a fixed-price basis. Each resupply service would be assured at least two missions.

NASA is asking RFP responders to address logistics, spacecraft design, cargo mass capability, pressurized volume, power availability for payloads and transit time to the Gateway.

“We chose to minimize spacecraft requirements on industry to allow for commercial innovation, but we are asking industry to propose their best solutions for delivering cargo and enabling our deep-space supply chain,” said Mark Wiese, NASA's Gateway logistics element manager at KSC, in an Aug. 19 NASA statement. “In addition to delivering cargo, science and other supplies with these services, private industry also has the opportunity to deliver other elements of our lunar architecture with this solicitation.''

Once the initial contracts are awarded, NASA may issue additional lunar cargo contract opportunities to keep the operations competitive. With advance permission from NASA, its providers also may use mission capabilities to deliver, remove and/or return non-NASA cargo if the additional activities do not interfere with the prime mission.

In late November, NASA announced the selection of nine U.S. companies under its Commercial Lunar Payload Services (CLPS) program, making them eligible to bid on the delivery of payloads to the lunar surface. The agency plans to invest up to $2.6 billion in CLPS over the next decade.

https://aviationweek.com/space/nasa-seeks-lunar-gateway-resupply-proposals

On the same subject

  • New Cyberthreat 'Boolka' Deploying BMANAGER Trojan via SQLi Attacks

    June 25, 2024 | International, Security

    New Cyberthreat 'Boolka' Deploying BMANAGER Trojan via SQLi Attacks

    Discover Boolka, a new cyberthreat using SQL injections and malicious scripts to steal data and deploy the BMANAGER trojan on vulnerable websites glob

  • Latvia cleared to buy Black Hawks

    August 6, 2018 | International, Aerospace

    Latvia cleared to buy Black Hawks

    By: Aaron Mehta A Louisiana National Guard UH-60 Black Hawk is used to assess flooding on June 5, 2015. Latvia wants to purchase four of the Sikorsky-made helicopters. (1st Lt. Rebekah Malone/Army National Guard) WASHINGTON — Latvia has been cleared by the U.S. State Department to buy four UH-60M Black Hawk helicopters, in a move to bolster the NATO nation's ability to move forces around the alliance's eastern flank. The sale has an estimated price tag of $200 million, which covers the four rotorcraft, 10 engines and associated equipment. As with all announcements by the Defense Security Cooperation Agency, the sale must pass through the Senate, at which point negotiations can begin; total quantities and dollar totals often change from the original DSCA announcement and final sale. “This proposed sale will support the foreign policy and national security of the United States by helping to improve the security of a NATO ally,” according to a DSCA statement. “These UH-60 helicopters will allow for interoperability with U.S. and NATO forces in rapid response to a variety of missions, and quick positioning of troops with minimal helicopter assets.” Full Article: https://www.defensenews.com/global/europe/2018/08/03/latvia-cleared-to-buy-black-hawks

  • Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    January 8, 2020 | International, Aerospace

    Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    Avions de combat : Le PS, les Verts et le GSsA lancent ce mercredi le référendum contre l'achat de nouveaux jets. Ils étaient parvenus à couler le Gripen en 2014. La situation de départ est cette fois-ci différente. Ce 18 mai 2014, les bouchons de champagne avaient sauté au stamm de la gauche, à quelques pas de la gare de Berne. Au terme d'une campagne acharnée qui a même fait ensuite l'objet d'un documentaire, «La bataille du Gripen», de Frédéric Gonseth, 53,8% des votants avaient refusé d'acheter 22 avions de combat Gripen pour une somme de 3,126 milliards de francs. Tous les cantons romands avaient dit non. Cette année, potentiellement en septembre, les citoyens suisses devraient à nouveau se prononcer sur l'achat d'avions de combat. Le Parti socialiste, le Parti écologiste et le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) lancent le référendum ce mercredi contre l'arrêté de planification qui prévoit d'investir 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux jets. Les fronts sont les mêmes qu'en 2014, mais le contexte a changé. Un vote sur le principe et pas sur un type d'avion En 2014, le choix d'acheter le Gripen E, modèle en cours de développement, avait suscité la critique et la méfiance. Les détracteurs de ce jet parlaient d'avions de papier. Des membres des forces aériennes s'étaient aussi étonnés, en coulisses, du choix du jet suédois, alors que d'autres avions avaient obtenu de meilleures notes lors de l'évaluation. L'analyse Vox qui avait décortiqué le scrutin avait ainsi montré que 13% des votants avaient mis un non dans l'urne par rejet du Gripen. Cette fois-ci, les Suisses n'auront plus à se prononcer sur un type d'avion. Une seule question leur sera posée: acceptez-vous de payer 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux avions de combat? Le Conseil fédéral ne sélectionnera le modèle qu'après le scrutin, sur la base des évaluations conduites par ArmaSuisse. A noter que dans tous les cas, la Suisse n'achètera pas le Gripen: le constructeur Saab a renoncé dès lors qu'il a été écarté des essais en vol et au sol qui ont eu lieu l'an dernier sur la base militaire de Payerne. Il reste ainsi quatre jets en course: le Rafale de Dassault, l'Eurofighter d'Airbus, le Super Hornet de Boeing et le F-35 de Lockheed Martin (voir vidéos de présentation dans l'encadré). Viola Amherd à la place d'Ueli Maurer Gaffes en série, couacs de communication, allusions malheureuses: la campagne de 2014 avait été cauchemardesque pour le ministre de la Défense de l'époque, Ueli Maurer (UDC). Six pour cent des votants avaient déclaré, lors de l'analyse Vox, avoir dit non en raison de cette campagne cacophonique. Les électeurs du centre, qui se reconnaissent dans des partis traditionnellement acquis à l'armée, avaient joué un rôle déterminant. Aujourd'hui, c'est une centriste, Viola Amherd, qui est à la manoeuvre. La conseillère fédérale PDC met un accent particulier sur la transparence dans les achats de l'armée. Elle a aussi souhaité amener une caution à la fois scientifique et militaire à ce dossier. Elle a ainsi invité l'astronaute Claude Nicollier à rendre un second avis sur le rapport Air2030. La popularité et l'image de la Haut-Valaisanne joueront un rôle lors de la campagne. De nouveaux avions sinon rien? En 2014, le Gripen ne devait remplacer que la flotte des F-5. Les 32 F/A 18 devaient être remplacés dans un second temps. Aujourd'hui, les 30 avions de combat F/A-18 restants sont vieillissants. Il est prévu de prolonger leur durée de vie jusqu'en 2030. Ainsi, la gauche ne pourra pas déployer avec autant d'impact l'un de ses arguments clés de 2014: on peut dire non au Gripen, il reste des avions pour l'armée. A l'époque, selon l'analyse Vox, 24% des détracteurs du Gripen se disaient en effet partisans d'une armée forte, mais ils estimaient aussi que l'achat de ce jet n'était pas une nécessité vitale. Le message sera différent lors de la future campagne. Viola Ahmerd et ses alliés pourront marquer des points en affirmant que le scrutin déterminera la survie des forces aériennes. Fondamentalement, les référendaires ne contestent cela dit pas la nécessité d'avoir des avions mais uniquement pour faire la police du ciel. Ils estiment qu'on peut acheter moins et à un meilleur prix. Leur capacité de convaincre avec cet argument s'annonce déterminante. Des mesures compensatoires plus basses C'est une autre différence par rapport au vote de 2014. Les affaires compensatoires - ces contre-prestations exigées de la part du constructeur - se monteront à 60% du prix d'achat des avions. Pour le Gripen, c'était 100%. Sur ce point, la ministre Viola Amherd, critique face aux surcoûts engendrés par ces compensations, s'est imposée au parlement. Les entreprises romandes qui craignaient de ne pas voir la couleur des affaires compensatoires si elles étaient réduites à 60% se disent néanmoins satisfaites: les collaborations seront possibles au-delà du secteur de la sécurité. Elles s'étendront à onze autres domaines, dont celui des machines, de l'électronique ou encore de l'horlogerie. https://www.24heures.ch/suisse/change-echec-gripen-aujourdhui/story/22057626

All news