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February 8, 2021 | International, Naval, C4ISR

Lockheed Martin’s SPY-7 Radar Is Going to Sea

Posted on February 5, 2021 by Richard R. Burgess, Senior Editor

ARLINGTON, Va. — Lockheed Martin's new SPY-7 radar will be sailing to sea on the ships of three navies as the company highlights the radar's capabilities for application to other navies, including the U.S. Navy.

The SPY-7, which uses gallium nitride modules, initially was developed for the Navy's Air and Missile Defense Radar competition. It was adapted into the Long-Range Discrimination Radar (LRDR) procured by the U.S. Missile Defense Agency (MDA) as a sensor of the Ground-Based Midcourse Defense system. Being installed at Clear Air Force Station in Alaska, the LRDR is designed to discriminate between incoming warheads and decoys.

The core building blocks [of the LRDR] are the same core building blocks in SPY-7,” said Jon P. Rambeau, vice president and general manager, Integrated Systems & Sensors, Lockheed Rotary and Mission Systems, during a Feb. 2 interview with Seapower. “[SPY-7] is a modular radar that allows us to build different configurations for both land-based and sea-based applications.”

The SPY-7 has been selected by the Spanish navy to integrate it with the Aegis Combat System on its F110 frigates. The Canadian navy is procuring the radar to install it on its new Halifax-class surface combatant.

Japan had selected the SPY-7 for its two planned Aegis Ashore ballistic-missile defense sites, but when the plans were cancelled in part out of concern for missile debris falling on populated areas, Japan shifted to a plan to deploy the SPY-7 on some future, unspecified sea-based BMD platform. Japan already has BMD capabilities in its Kongo-class guided-missile destroyers with Aegis systems using the SPY-1 radar.

Japan, which already has placed an order for the SPY-7, “is going through a process now to determine exactly what that platform is going to look like,” Rambeau said. “We are pleased with the progress that the technology has made, and we're starting to see some uptake both here in the U.S. as well as abroad.”

“SPY-7 is part of the Aegis common source library (CSL) and the interfaces are understood,” said Patrick W. McNally, director of communications for Integrated Warfare Systems & Sensors, in a statement to Seapower. “For Japan, we have completed the first of three releases which were recently demonstrated to MDA. Starting from the CSL, with over one million lines of code, Japan will be receiving the best of both Baseline 9 and 10 [Aegis software].”

The U.S. Navy is considering backfitting some Flight IIA Arleigh Burke-class guided-missile destroyers with a radar more modern than the SPY-1, and Lockheed is keeping a watch on developments in the event the SPY-7 could complete in the program if it comes to pass.

Rambeau said his company also “has some more affordable options available to upgrade some of the SPY-1 arrays to provide improved sensitivity and improved resistance to electronic attack and we think we can do that at a fraction of the cost of a wholesale replacement, so we've put forth a couple of options for upgrades to SPY-1 to both MDA and the Navy.”

https://seapowermagazine.org/lockheed-martins-spy-7-radar-is-going-to-sea

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    « La défense occupe un rôle particulier pour la relance de l'économie et la soutenir permet de relancer efficacement l'économie française » ont plaidé d'une même voix lors d'une audition devant la commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat, le président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation Eric Trappier ainsi que les président du CIDEF et du GICAT et du GICAN. « Pourquoi ne pas anticiper certains programmes pour appuyer notre industrie selon les priorités, en coordination avec la DGA (Direction générale de l'armement) ? » déclare Eric Trappier qui a aussi rappelé que « le Rafale est très important pour nos armées et l'export ». Environ 500 entreprises sont effectivement associées au programme Rafale, piloté par Dassault Aviation, rappelle La Tribune. Par Michel Cabirol Aéronefs, drones, navires de guerres, véhicules blindés... Les industriels de l'armement français plaident pour un plan de relance industriel, qui doit passer entre autre par la défense. "La défense occupe un rôle particulier pour la relance de l'économie et la soutenir permet de relancer efficacement l'économie française", a résumé le 14 mai le président du CIDEF et du GICAT Stéphane Mayer, qui est aussi PDG de Nexter lors de son audition le 14 mai devant la commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat. La relance économique par la défense permettrait ainsi aux entreprises de ce secteur, la plupart du temps duales, de s'appuyer sur la commande publique pour passer le cap en attendant un futur rebond du marché civil. D'autant que cette filière crée des emplois et des technologies "Made in France" : entre 80 % et 90% des programmes sont réalisés en France. Pour soutenir la supply chain aéronautique, maritime et de l'armement terrestre, le gouvernement n'a en fait que l'embarras du choix, notamment en anticipant des commandes d'hélicoptères, de Rafale, de véhicules blindés, de navires de guerre, de satellites... "La défense est un amortisseur, il faut améliorer la LPM (Loi de programmation militaire) qui sera révisée en 2021", a confirmé lors de cette même audition le président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation Eric Trappier. "Pourquoi pas anticiper certains programmes pour appuyer notre industrie selon les priorités, en coordination avec la DGA (Direction générale de l'armement)", a-t-il expliqué. Et le patron de Dassault Aviation a rappelé que "l'aéronautique, c'est avant tout le Rafale qui est très important pour nos armées et l'export". Environ 500 entreprises sont effectivement associées au programme Rafale, piloté par Dassault Aviation. Des idées dans le domaine aéroterrestre Dans le domaine terrestre, le patron du GICAT a également des idées sur des programmes à "accélérer" pour soutenir l'industrie de défense, notamment les PME, qui cherchent des financements. "Il faudrait accélérer dans l'idéal, a-t-il estimé, toutes les commandes, qui devraient l'être, dans des tranches additionnels d'ici à 2025". Pour Stéphane Mayer, ce serait "autant de signaux positifs et attendus par tous, plus encore par les PME". Il compte plus particulièrement sur l'affermissement anticipé de tranches conditionnelles des véhicules du programme Scorpion, dont Nexter est l'un des principaux architectes. Soit les Griffon, Jaguar et Serval. Le PDG de Nexter souhaite également que soient confirmées de nouvelles commandes prévues. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/plan-de-relance-les-industriels-de-la-defense-ont-des-idees-beaucoup-d-idees-848385.html

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