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March 7, 2018 | Local, Naval

Lockheed Martin Canada Welcomes ANZAC Frigate HMNZS TE KAHA to Canada to Begin Modernization Contract Work

OTTAWA, Ontario, March 7, 2018 /PRNewswire/ -- Lockheed Martin (NYSE: LMT) Canada has signed a formal contract with the New Zealand government for ship installation and trials to complete the upgrade and modernization of the ANZAC class frigates. The first of two frigates, Her Majesty's New Zealand Ship (HMNZS) TE KAHA arrived in Victoria yesterday.

Lockheed Martin Canada is responsible for designing and supplying the upgraded combat system for each ANZAC Class Frigate, including a new combat management system – based on Lockheed Martin Canada's Combat Management System 330 – along with the supply and integration of various sensors, a missile system and a Combat Systems Trainer. Lockheed Martin Canada has entered into a subcontractual agreement with Seaspan Victoria Shipyards Co. Ltd in Victoria, BC, to install the new systems on the ship platforms.

"We are very happy to continue our relationship with the Royal New Zealand Navy," said Acting Vice President and General Manager of Lockheed Martin Canada RMS, Gary Fudge. "The New Zealand ANZAC Frigate Systems Upgrade marked our official entrance onto the international market as a combat systems integrator in 2014. Our continued partnership with the Navy is something we are very proud of," added Fudge.

"Our partnership with Canadian shipyards on the Halifax Class Modernization program and the confidence that Canada placed in those shipyards on the National Shipbuilding Strategy program led directly to our ability to contract the ANZAC refit work to Seaspan," stated Fudge.

Today, Lockheed Martin Canada is the Combat Systems Integrator (CSI) for four major active programs across three countries, including New Zealand's frigate upgrade project, the Chilean Navy's Type 23 modernization, Canada's Arctic Offshore Patrol Ship, and the lead program which saw the initial development of the CMS 330, the Halifax Class Modernization program.

"The modernization and upgrades of ANZAC class frigates are critically important to the Royal New Zealand Navy," said Vice President of International Naval Systems Programs Kevin Arthurs. "These upgrades will provide the ships with a greater degree of survivability through a faster decision-making process and a more appropriate response to a variety of threats," added Arthurs.

Her Majesty's New Zealand Ship (HMNZS) TE KAHA arrived in Canada yesterday and HMNZS TE MANA is scheduled to arrive in 2019. Under Lockheed Martin Canada supervision and direction, Seaspan Shipyards will refit and install the new systems with an expected completion date of 2020 for the entire contract. The second frigate, HMNZS TE MANA, is scheduled to arrive in 2019.

For additional information, visit our website: www.lockheedmartin.ca.

About Lockheed Martin
Lockheed Martin Canada, headquartered in Ottawa, is the Canadian-based arm of Lockheed Martin Corporation, a global security and aerospace company employing 100,000 people worldwide. Lockheed Martin Canada has been Canada's trusted defence partner for nearly 80 years specializing in the development, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The company employs approximately 980 employees at major facilities in Ottawa, Montreal, Halifax, Calgary, and Victoria, working on a wide range of major programs spanning the aerospace, defence and commercial sectors.

SOURCE Lockheed Martin

https://news.lockheedmartin.com/2018-03-07-Lockheed-Martin-Canada-Welcomes-ANZAC-Frigate-HMNZS-TE-KAHA-to-Canada-to-Begin-Modernization-Contract-Work

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    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE Le rêve d'un exosquelette qui aidera les soldats à transporter leurs lourdes charges sans se blesser approche et c'est une firme de Saint-Jean-sur-Richelieu Mawashi, qui est en pôle position d'un marché évalué à «des milliards et des milliards de dollars». Le tiers des soldats évacués en Afghanistan ou en Irak n'avaient pas subi de «blessures de guerre», avance Alain Bujold, chef de la direction et chef de la direction technologique de Mawashi. Ils avaient plutôt subi les dommages, notamment au dos, du trop grand poids placé sur leurs épaules. «Ça coûte 500 millions de dollars par année à l'armée américaine pour s'occuper des soldats blessés parce qu'ils transportaient trop de poids», ajoute-t-il. Spécialiste de la recherche et de l'ingénierie pour «tout ce qui se met sur le corps humain» depuis des années, Mawashi s'est intéressée de plus près aux exosquelettes en 2013. Elle avait alors été invitée à participer à un projet de l'armée américaine, le projet Talos, qui consistait à créer une sorte d'armure à la Iron Man. «Ils ont donné de l'argent à un paquet de compagnies, et on les a toutes clenchées», raconte fière M. Bujold. Alléger la charge L'exosquelette Uprise mis au point par Mawashi peut retirer jusqu'à 70% du poids transporté par un soldat de sa propre ossature. La structure épouse les formes du corps, mais n'est pas motorisée, ce qui est un avantage important selon M. Bujold, puisque les soldats peuvent ainsi être affectés à de très longues missions sans crainte d'épuiser leurs piles. Et sans avoir à transporter lesdites piles. Une plaque posée sous le pied du soldat, dans sa chaussure, sert de fondation à l'ensemble. Cette plaque s'arrête avant les orteils, de façon à permettre au soldat de bien ressentir le sol sous ses pieds. Des tiges métalliques articulées longent ensuite les jambes du soldat pour rejoindre une ceinture rigide. De là s'élève une «colonne vertébrale», de laquelle émergent des appendices qui permettent notamment de suspendre un sac à dos ou un plastron sans que le poids ne se dépose sur le squelette du soldat. En situation de combat, un soldat est chargé d'en moyenne une centaine de livres d'équipement protecteur, de munitions, d'armes et d'équipements de communication, entre autres, estime M. Bujold. «De plus en plus, les combats se déroulent dans des zones urbaines, ce qui fait qu'on ne peut utiliser de véhicules pour transporter l'équipement, ajoute-t-il. Et il y a de plus en plus de matériel pour les communications.» «Le but n'est pas de permettre de transporter plus de poids, prévient-il toutefois. C'est de réduire les blessures et d'aider à porter ce poids.» En avance En mars dernier, Mawashi a été invitée par l'OTAN à venir démontrer les bénéfices que pouvait procurer Uprise à des spécialistes du déminage, qui doivent revêtir une combinaison protectrice pesant à elle seule une centaine de livres. L'entreprise se concentre présentement à démontrer de façon claire les avantages de son produit. Elle a reçu un financement de trois ans de l'armée canadienne pour parvenir à cette fin. «Le dernier obstacle est de prouver qu'il y a vraiment un bénéfice, indique M. Bujold. Les tests préliminaires le démontrent.» Sur l'échelle de maturité technologique (Technology Readiness Level), qui va de 1 à 9, l'Uprise est au niveau 7. Aucune solution comparable ne le devance, selon M. Bujold, et l'Uprise est en position pour être le premier exosquelette déployé sur le terrain. «Le premier qui va arriver avec une technologie qui fonctionne, c'est le prochain Apple, croit l'entrepreneur. On ne parle pas de millions, mais de milliards.» C'est qu'au-delà des militaires, il y a une panoplie d'autres secteurs qui pourraient être intéressés à un exosquelette de ce genre, envisage-t-il, à commencer par l'important marché du plein air. Les pompiers, les travailleurs de la construction et les employés de chaînes d'assemblage pourraient eux aussi en bénéficier. L'Uprise pourrait coûter de 3000$ à 20 000$, estime-t-il, selon la configuration choisie. Jusqu'à présent, ce sont surtout des contrats de l'armée américaine qui ont permis à Mawashi d'avancer. «C'est tout récent que de recevoir du financement canadien», dit M. Bujold, qui est actionnaire à 50% de l'entreprise. L'autre moitié est détenue par Louis Bibeau, président de Logistik Unicorp, dans l'édifice de laquelle sont installés les bureaux de Mawashi. «Il y a 99% des chances qu'on finisse par être achetés par une compagnie américaine, estime M. Bujold. C'est triste.» «Il y a ici une mentalité de lenteur, de bureaucratie, alors qu'aux États-Unis, c'est pif, paf, maintenant.» Le volet militaire de son entreprise n'aide pas à approcher des investisseurs québécois ou canadiens, ajoute-t-il, même si son produit « sauve des vies ». Cette tiédeur n'existe pas aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/18/01-5200809-une-innovation-quebecoise-a-lassaut-de-larmee-americaine.php

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