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December 13, 2023 | International, Aerospace

L3Harris to suspend M&A program for 'foreseeable future'

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  • Leonardo DRS receives $62M contract for ship-based vertical launch system electronics

    August 12, 2020 | International, Aerospace

    Leonardo DRS receives $62M contract for ship-based vertical launch system electronics

    Arlington, VA, August 10, 2020 - Leonardo DRS, Inc. announced today that it was awarded a $62 million contract to provide critical electronics for missile launch capabilities for the Mark 41 Vertical Launching System (VLS) used by the United States Navy and international allies. Under the contract, the Leonardo DRS Airborne & Intelligence Systems business unit will produce and provide support for 118 motor control panels, a critical component on the VLS launch module. The panels control the opening and closing of the launch tube hatches, plenum drain valve and deluge while interfacing with the Launch Sequencer. “We have supplied motor control panels and other electronic control systems to the MK 41 VLS program for more than 30 years in support of this important mission,” said Dave Hammond, Senior Director of Mission Support for the Leonardo DRS's Airborne and Intelligence Systems line of business. “This contract exemplifies our commitment to supply quality electronics to support the US Navy and allied navies,” said Hammond. The MK 41 VLS is a flexible shipborne missile launching system designed to accept any missile into any cell while providing rapid-fire launch capability against hostile threats. There are 1,500 MK 41 VLSs deployed on surface ships in the United States Navy and more than 11 allied navies. The system requires minimal staffing and training compared to other ship-based missile launch systems, a revolutionary development in naval surface warfare. The MK 41 is capable of launching a variety of missiles in support of various warfighting missions, including, anti-air, anti-submarine, surface-to-surface and strike missions. Each cell in a launch module has options for different missiles to meet a variety of missions. The Motor Control Panel, Status Panel, Power Distribution Panels, Junction Boxes and Spares will be built at the company's Fort Walton Beach, Florida facility. About Leonardo DRS Leonardo DRS is a prime contractor, leading technology innovator and supplier of integrated products, services and support to military forces, intelligence agencies and defense contractors worldwide. Its Airborne & Intelligence Systems business unit is a global leader and strategic partner committed to delivering world-class, full life-cycle defense and intelligence products that protect the security of our nation and our allies. From air combat training to state-of-the-art electronic warfare systems, our technology is deployed by virtually all U.S. military and government agencies around the world. Headquartered in Arlington, Virginia, Leonardo DRS is a wholly owned subsidiary of Leonardo S.p.A. See the full range of capabilities at www.LeonardoDRS.com and on Twitter @LeonardoDRSnews. For additional information please contact: Michael Mount Vice President, Public Affairs +1 571 447 4624 mmount@drs.com View source version on Leonardo DRS: https://www.leonardodrs.com/news/press-releases/62m-contract-received-for-ship-based-vertical-launch-system-electronics/

  • Naval Ship Management awarded contract to sustain Australian LHDs

    December 7, 2018 | International, Naval

    Naval Ship Management awarded contract to sustain Australian LHDs

    The Australian Defence Force (ADF) has awarded Naval Ship Management (NSM) Australia, a 50/50 joint venture between engineering group UGL and Babcock, an AUD1.5 billion (USD1.1 billion) contract to support and sustain the Royal Australian Navy's (RAN's) two 26,800-tonne Canberra-class landing helicopter dock ships (LHDs) and their 12 associated amphibious landing craft for up to 15 years. The contract is for an initial five years, with the expectation of two further five-year extensions, Babcock announced in a 3 December statement, adding that its share for the first five years amounts to AUD250 million. The joint venture, which won the partnering agreement with the ADF in a competitive process, will begin to sustain and support these vessels in July 2019. Full article: https://www.janes.com/article/84973/naval-ship-management-awarded-contract-to-sustain-australian-lhds

  • Ce qu’est l’Europe de la défense. Ce qu’elle n’est pas

    November 7, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Ce qu’est l’Europe de la défense. Ce qu’elle n’est pas

    (B2) Alors que le serpent de mer de l'armée européenne ressurgit par la gr'ce d'Emmanuel Macron (*), il n'est pas inutile de revenir sur terre. Ce qui existe aujourd'hui ... et ce qui n'existe pas en matière de défense au niveau européen. La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC). Ou en langage commun, l'Europe de la défense. Elle n'est cependant pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Que ce soit dans le langage des pro ou des anti-intégrations européennes, cet aspect est bien souvent gommé. Or, il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Une politique nationale de défense D'un point de vue national, une politique de défense se définit tout d'abord par une autorité qui imprime sa marque et un circuit décisionnel court (comme en France avec un président de la république acteur principal) ou plus long (comme en Allemagne avec une décision du gouvernement, une approbation du parlement). Elle répond à une stratégie de défense, qui est élaborée par strates successives, en répondant à des antécédents historiques et une logique politique. Elle se développe ensuite dans un budget d'investissement d'une armée, des équipements militaires, des troupes, une logique d'action et une légitimité dans l'opinion publique qui accepte, plus ou moins, un engagement militaire intérieur ou extérieur, à risque ou non. L'Europe de la défense : un projet politique L'Europe de la défense est tout d'abord un projet politique, qui vise à affirmer la place de l'Europe dans le monde, au service d'une politique étrangère. Elle ne consiste pas ainsi à assurer la défense du territoire ni la protection des citoyens (malgré les déclarations politiques en ce sens). Elle ne procède que d'une coordination des efforts des États membres. Son circuit décisionnel repose ainsi toujours, à toutes les étapes, de l'initiative à l'approbation puis au commandement et au contrôle, sur un accord de tous les États membres, de façon collégiale. Mettre tout le monde d'accord au même moment sur un enjeu commun est un véritable ‘challenge'. Elle a comme objectif unique d'avoir une capacité d'intervention, limitée, dans des missions ou opérations de paix ou de consolidation de l'état de droit. Elle n'est pas ainsi une force d'intervention tout azimut, n'a pas de commandement militaire direct (national) ou intégré (comme l'OTAN), ni de troupes ou de forces disponibles en permanence ni en propre. Elle ne peut intervenir qu'à l'extérieur des frontières, avec le consentement des États concernés (ou au moins de leurs gouvernements) et de la communauté internationale. On est ainsi très loin des ‘fondamentaux' d'une armée européenne. Quand on met face à face ainsi les principes d'une défense nationale et ceux de l'Europe de la défense, il est inévitable que la seconde soit moins efficace que la première. On peut considérer qu'il s'agit d'une faiblesse temporaire, due aux personnalités politiques du moment. Ce peut être le cas parfois. Mais il ne faut pas minorer les faiblesses structurelles dû à un fait principal : l'Europe n'est pas un État mais une structure juridique et économique de concertation et de coopération avant tout. Si on veut donner un aperçu plus mathématique, j'ai évalué, sous forme d'une note — sur une échelle de 0 à 3 — quels points remplit l'Union européenne, une fois mis en place tous les projets évoqués ces derniers temps. On va ainsi d'une note de 0 à 3 selon les thèmes : de 0 pour les équipements et les forces disponibles à 2 pour le budget de recherche, en passant par le mode de décision et le consensus politique que je cote à 1 sur 3. Article complet: https://www.bruxelles2.eu/2018/11/07/ce-quest-leurope-de-la-defense-ce-quelle-nest-pas/

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