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September 18, 2020 | International, C4ISR

Space Force issues $298M contract for new anti-jamming satellite design

Northrop Grumman was awarded a $298 million rapid-prototyping contract to design a new anti-jamming communications satellite payload for the U.S. Space Force, the Space and Missile Systems Center announced Sept. 16.

Under the contract, Northrop Grumman will build a payload for the Evolved Strategic SATCOM (ESS) program, a next generation constellation that will provide secure, jam-resistant, survivable communications for military leadership all over the world.

The new system will be interoperable with the Advanced Extremely High Frequency satellites currently on orbit. The Space Force wants ESS to have enhanced resilience and cybersecurity capabilities. And unlike AEHF, the new satellites will have polar components to provide communications over the Arctic. Currently, the Enhanced Polar System satellites are used to extend the AEHF network to the polar regions.

The Space and Missile Systems Center could award up to three rapid-prototyping contracts in 2020, according to the Space Force's fiscal 2021 budget request, before selecting a final contractor to build out the constellation.

It's not immediately clear how many ESS payloads would be in the constellation, or what satellites they'll be hosted on.

“Northrop Grumman looks forward to building on more than 40 years of successfully delivering protected satellite communications solutions to our customers,” said Cyrus Dhalla, vice president, communications systems, Northrop Grumman. “ESS is critical to extending our nation's secure satellite communications infrastructure, as it will provide strategic users with assured, uninterruptable connectivity without fear of discovery anywhere on the globe.”

Work is expected to be completed May 2025.


https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/c2-comms/2020/09/17/space-force-issues-298-million-contract-for-new-anti-jamming-satellite-design/

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  • Pourquoi le salon de défense Eurosatory a finalement été annulé

    March 27, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Pourquoi le salon de défense Eurosatory a finalement été annulé

    Par Michel Cabirol Comment et pourquoi l'organisateur d'Eurosatory ont pris la décision d'annuler l'édition 2020 du plus grand salon d'armements terrestres au monde. Voici les coulisses de cette décision. C'est bien la mort dans l''me que le Coges a dû annuler l'édition 2020 d'Eurosatory, le plus grand salon international de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres. Car jusqu'à peu la ligne tenue par l'organisateur d'Eurosatory était le déroulement normal du salon, qui aurait été "à l'équilibre" en dépit de quelques annulations d'exposants et de réduction de la voilure (annulation des démonstrations dynamiques...). Toutefois, cette position "n'est plus tenable", estime le Coges dans une note datée du 23 mars que La Tribune s'est procurée. Et de conclure qu'il recommande au bureau exécutif du GICAT l'annulation d'Eurosatory 2020 sans report du salon. Au final, il y avait plus de risques que d'avantages à maintenir le salon. Son annulation ne devrait pas coûter de l'argent au Coges. Ce denrier a dépensé au 24 mars près de 11 millions d'euros dans la préparation du salon. L'organisateur "fait tout depuis un mois pour différer ses engagements de dépense et a cessé tout engagement depuis le passage au stade 3", explique-t-il dans cette note. Il a également souscrit avec une grande sagesse en décembre 2019 une assurance annulation du salon comprenant une extension "maladies infectieuses", à concurrence de 13 millions d'euros sur un budget de dépense estimé à 20,6 millions. Au 30 avril, les prévisions d'engagement pour la préparation du salon doivent d'élever à 14,3 millions. Cela montre "bien tout l'intérêt d'annuler aujourd'hui", estime le Coges, qui devrait s'en sortir relativement bien au contraire du GICAT, qui ne pourra pas percevoir de dividendes. Les raisons de l'annulation Pourquoi Eurosatory ne peut plus tenir ? Après plusieurs annulations de salons comme Dimdex au Qatar (16-18 mars), LAAD Security au Brésil (14-16 avril) et ILA Berlin (13-17 mai), les premières annulations de salons prévues en juin aux mêmes dates que celui d'Eurosatory ont commencé à mettre sous forte pression les organisateurs : Viva Technology (11-13 juin) et Interschutz (salon mondial des pompiers à Hanovre). Mais l'annulation du salon britannique de l'aéronautique de Farnborough, prévu pourtant du 20 au 24 juillet, a été le coup de gr'ce. Mais là n'est pas la seule raison. Au-delà des quelques annulations d'exposants déjà reçues, le Coges recevait de plus en plus d'appels de sociétés exposantes qui ne souhaitaient plus engager de frais de préparation de leur stand et qui s'interrogeaient sur la présence de visiteurs au salon. Par ailleurs, des sociétés étrangères, qui représentent 65% des exposants à Eurosatory, avaient déjà commencé à annuler le transit de leurs matériels. Par ailleurs, le Coges ne recevait plus de demande de badge de visiteurs depuis plusieurs jours. Et en même temps, les fournisseurs qui permettent de réaliser le salon sont "quasiment tous à l'arrêt et auront des difficultés à redémarrer fin avril pour un salon début juin", explique le Coges. Il faut à minima cinq semaines de montage. Enfin, et surtout, le ministère des Armées qui invite les hautes personnalités étrangères venant de tous les pays du monde (240 délégations en 2018 représentant près de 1.000 VIP), a d'autres chats à fouetter en ce moment avec la crise du Covid-19 et le lancement de l'opération Résilience. "Nous sommes en contact avec le ministère des armées qui ne pourra sans doute pas lancer ces invitations dans le contexte actuel", estime le Coges dans sa note. "La tenue du salon en juin 2020 n'est aujourd'hui plus envisageable", conclut-il. La piste d'un report a été écartée Le Coges a étudié un report du salon à la condition de retrouver la disponibilité des exposants et d'un parc d'exposition. Pas facile quand la majorité des exposants sont aussi présents sur d'autres salons de défense dans le monde et très peu sont capables de mener de front deux salons. Des études lancées par le Coges ont trouvé une seule et unique solution : reporter Eurosatory au parc des exposition du Bourget, pendant Euronaval (du 20 au 23 octobre 2020). Mais cette piste a été abandonnée. Car d'une part, les exposants américains qui participent au salon AUSA début octobre risque de faire défaut, selon le Coges. Surtout, une cinquantaine d'exposants, présents sur les deux salons (Euronaval et Eurosatory), ne réaliseront plus qu'un seul stand. Pas sûr que le Gican voyait cette opération d'un bon œil... D'autant que le Coges estime dans sa note que "sur le plan financier, les chiffres d'affaires des deux salons ne vont pas s'ajouter". https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/pourquoi-le-salon-de-defense-eurosatory-a-finalement-ete-annule-843347.html

  • Le Gican se tourne vers l'international et le numérique

    September 5, 2018 | International, Naval

    Le Gican se tourne vers l'international et le numérique

    Le Gican a procédé à une réorganisation de ses services. Pour le Groupement des industries de la construction et des activités navales, il s'agit de "correspondre plus efficacement aux exigences du secteur" dans le contexte d'une "consolidation du Comité stratégique de filière des industries de la mer". L'objectif est de "se concentrer, en plus de la logique métier liée à la construction et à la réparation navale civile et de défense, sur la R&D, l'internationalisation et l'export, la transformation numérique des entreprises et l'attractivité des métiers, mais les exigences du secteur naval ne peuvent négliger le lien fort aux adhérents et aux territoires, et la nécessaire promotion du secteur par une communication et des relations publiques repensées". L'organigramme du Groupement se concentrera désormais autour de six délégations réparties dans trois pôles de compétences : Vie de l'organisation (relations avec les adhérents, relations publiques...), Métiers du naval (chantiers, activités civiles, équipementiers, énergies marines, défense et sécurité) et Industrie (R&D, numérique, internationalisation, export). Ce remaniement a entraîné la nomination de trois personnes. Jean-Marie Dumon s'est vu confier le poste de délégué à la défense et la sécurité, placé dans le Pôle métiers. Cet officier de marine et ingénieur a exercé des responsabilités variées pendant plus de trente ans dans la Marine nationale, dont deux commandements à la mer. Il a également travaillé auprès de hautes autorités du ministère des Armées, en particulier sur la stratégie de réformes. Arnaud Martins Da Torre a été nommé délégué à l'internationalisation des entreprises et à l'export (Pôle industrie). Il a été durant trois ans chercheur spécialiste des conflits et des questions de défense à l'Iris (Institut des relations internationales et stratégiques). Depuis 2001, il travaillait pour Eurotradia International, cabinet de conseil et d'accompagnement à l'export et à l'international. Enfin, Jacques Orjubin a hérité le poste de délégué à la communication et aux relations publiques (Pôle vie). Il a notamment travaillé au cabinet du secrétaire d'État aux Transports, à la Mer et à la Pêche, d'abord à la communication puis en tant que chargé de mission pour le dossier taxis/VTC/LOTI, avant de rejoindre le secrétariat général du Groupe SNCF pour travailler sur des questions de diplomatie économique. https://www.lantenne.com/Le-Gican-se-tourne-vers-l-international-et-le-numerique_a44101.html

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