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July 2, 2024 | International, Security

How MFA Failures are Fueling a 500% Surge in Ransomware Losses

Ransomware payments soar by 500%, averaging $2 million in 2024. Learn why next-gen MFA is crucial.

https://thehackernews.com/2024/07/how-mfa-failures-are-fueling-500-surge.html

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  • Industry could wait months for COVID reimbursements from Pentagon

    September 10, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Industry could wait months for COVID reimbursements from Pentagon

    By: Aaron Mehta WASHINGTON — As the defense department seeks billions in emergency funding to reimburse industry for costs incurred during the COVID-19 pandemic, the Pentagon's top acquisition official pledged not to rush that money out the door. Speaking at the annual Defense News Conference, Ellen Lord, undersecretary of defense for acquisition and sustainment, said it will likely take five to six months before any reimbursements to industry under the Coronavirus Aid, Relief, and Economic Security (CARES) act will take place as the department seeks a “very data driven approach” to that money. Section 3610 of the CARES act allows firms serving the federal government to seek reimbursement for pandemic-related expenses, but Congress hasn't passed corresponding appropriations. Defense officials have said they need roughly $10 billion, and that without added funding from Congress, the Pentagon would have to dip into modernization and readiness funds. “We believe we need that appropriation to maintain readiness because if we do not get that what we are going to find is we are not going to get the number of units delivered, we are not going to maintain warfighter readiness, we're not going to move forward in modernization,” Lord said. “We would like to take the one-time hit and then see where we go from there.” Should Congress appropriate the requested funds, the Pentagon would issue a request for proposal, with the large primes gathering data from up and down their supply chains before returning with their requests to the Pentagon. That process will likely take two to three months, Lord said. “Then we want to look at all of the proposals at once. It isn't going to be a first-in-first-out and we have to rationalize using the rules we've put in place, what would be reimbursable, and what's not,” she added. “So overall, we think five to six months, in terms of a process.” When the COVID pandemic struck in March, hundreds of defense subcontractors had to close up shop. As of now, only 30 remain shuttered, Lord said, although she acknowledged that the department is keeping a wary eye on the situation. “What we are looking for is whether or not we're maintaining warfighter readiness for our production programs, and then relative to modernization, whether we are hitting key milestones relative to development programs,” she said. “We have seen some slowdowns. We are carefully monitoring, using monthly metrics, where we are.” While the most recent round of quarterly earnings reports from public defense companies did not show a major slowdown from COVID, Lord warned that those reports “in large part don't reflect the hits that were taken by business,” warning of a “delayed response” in terms of the diseases' economic impact on the sector. “I would contend that most of the effects of COVID haven't yet been seen, because most companies gave their employees time off, they stretched out production, paid a lot of people for working 100% when perhaps they were only getting 50% of the hours in and so forth,” she said. “So I think the system has absorbed it up to this point in time. Now when we get to the point where we're having payments and incentive fees and award fees earned, and if we haven't done the deliveries, that's where you're going to see the hit.” https://www.defensenews.com/smr/defense-news-conference/2020/09/09/industry-could-wait-months-for-covid-reimbursements-from-pentagon

  • Saudi Arabian Military Industries (SAMI) looks to investment in South Africa

    September 25, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    Saudi Arabian Military Industries (SAMI) looks to investment in South Africa

    Helmoed-Römer Heitman, Pretoria Saudi Arabia is considering investing in the defence industries of South Africa, the chief executive of Saudi Arabian Military Industries (SAMI) confirmed during the African Aerospace and Defence (AAD) exhibition. Dr Andreas Schwer's comments were made following an earlier vist by SAMI representatives to South Africa to discuss investment in national defence organisation Denel. SAMI's interest has centred on munitions, guided weapons, artillery systems, and optronics and the state-owned organisation has indicated that it would consider establishing a research and development centre in South Africa. SAMI's expression of interest coincided with comments from Denel acting chief executive Mike Kgobe who indicated that his company is actively seeking equity partners. https://www.janes.com/article/83303/sami-looks-to-investment-in-south-africa

  • La défense, planche de salut de la filière aéronautique

    July 13, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    La défense, planche de salut de la filière aéronautique

    HASSAN MEDDAH RAFALE , COVID-19 , L'USINE AÉRO , AÉRONAUTIQUE , HAUTS-DE-SEINE PUBLIÉ LE 10/07/2020 À 11H06 Quand l'activité civile flanche, le marché militaire peut prendre le relais. À condition d'avoir déjà un pied dans la place et une vision à long terme. A Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), la vingtaine de compagnons de la PME Rafaut ne chôme pas. Dans leur atelier de mécanique et d'intégration, ils assemblent des emports, d'imposantes pièces mécaniques destinées à Dassault Aviation. Ces pièces qui se placent sous les ailes des Rafale servent à transporter soit des bombes, soit des réservoirs d'appoint. "Notre dualité est un facteur de robustesse, particulièrement appréciable dans cette crise du secteur aéronautique", se réjouit Bruno Berthet, le président de Rafaut. Les activités de défense ont représenté un véritable amortisseur pour cette PME de 400 salariés, dont les commandes pour Airbus (palonnier, freins de rotors...) se sont écroulées avec la crise du secteur aérien. Rafaut présente le profil quasi parfait de l'entreprise dite duale, avec ses 93 millions d'euros de chiffre d'affaires, répartis équitablement entre les activités civiles et militaires. Le groupe a, certes, fait appel à des mesures de chômage technique, mais de manière modérée en mettant 30 % de son personnel en activité partielle pour deux tiers de leur temps de travail. Pour les autres PME du secteur aéronautique, la défense peut-elle constituer une bouée de sauvetage ? Le ministère des Armées veut y croire et met la main à la poche. À l'occasion de l'annonce du plan de sauvetage de la filière aéronautique, début juin, Florence Parly, la ministre des Armées, a annoncé l'accélération de 600 millions d'euros de commandes militaires. L'armée de l'air a commandé trois long-courriers A 330 qui seront transformés en avions ravitailleurs MRTT. Initialement prévus en 2026, ils seront livrés à partir de l'an prochain. Le troisième exemplaire de l'avion léger de surveillance et de reconnaissance qui devait être livré en 2027 le sera en 2023. Les hélicoptéristes ne sont pas oubliés. L'armée va acheter par anticipation huit hélicoptères Caracal. Ils sont destinés à remplacer les Puma dès 2023, soit avec cinq ans d'avance. Enfin, les PME devraient être les principales bénéficiaires d'une commande de drones de surveillance pour la marine à livrer dès 2022. Des accréditations spécifiques "L'ensemble de ces commandes répond à un besoin opérationnel existant de nos forces armées. Nous allons simplement aller plus vite. Cette anticipation nous permettra de sauvegarder plus de 1 200 emplois pendant trois ans, et cela, partout en France", a précisé Florence Parly. L'initiative n'est pas totalement désintéressée. Le ministère ne voudrait surtout pas voir disparaître des fournisseurs stratégiques emportés par la crise économique. Depuis plusieurs semaines, ses équipes pilotent une task force interministérielle forte d'une centaine de personnes. À charge pour elles de quadriller le territoire, visiter les usines et les bureaux d'études, et d'identifier les entrepreneurs et les domaines à risque. Au total, près de 1 500 entreprises seront visitées. Les entreprises tentées de se diversifier vers la défense doivent impérativement avoir une vision de long terme... comme celles des armées qui s'appuient sur une loi de programmation militaire pluriannuelle. Sur la période 2019-2025, le ministère a consacré la part du lion de son budget à l'aéronautique pour renouveler ses flottes d'appareils, d'hélicoptères, de drones. Soit un montant de 19 milliards d'euros ! Toutefois, il serait illusoire de croire que toutes les PME de l'aéronautique pourront en bénéficier d'un simple claquement de doigts. "Pour servir les armées, les fournisseurs doivent passer par des dispositifs d'accréditation. C'est un long processus. Par ailleurs, ce n'est pas simple d'intégrer comme fournisseur un programme d'armement déjà lancé comme le Rafale ou l'A400M. Les tickets d'entrée sont chers", avertit Matthieu Lemasson, expert des questions aéronautiques et défense pour le cabinet PWC. Le cluster Normandie AeroEspace (NAE), qui regroupe plus d'une centaine de PME de l'aéronautique, est bien conscient de la difficulté. Il a lancé des actions tous azimuts pour accélérer leur diversification et notamment une formation pour obtenir une habilitation et une accréditation défense, sésames indispensables pour travailler dans le domaine de l'armement. Le cluster monte également des rencontres avec des représentants du ministère des Armées, de la Direction générale de l'armement (DGA), des grands industriels de l'armement pour connaître les opportunités à saisir... Avec un exemple à suivre : la PME Gauthier Connectique, fabricant de raccords électriques. Cette société (40 salariés, 5 millions d'euros de chiffres d'affaires) était, il y a dix ans encore, exclusivement positionnée sur l'aéronautique. Déjà présents sur le Rafale, ses raccords électriques sont en passe d'être homologués pour monter sur le M51, le missile stratégique de la dissuasion nucléaire. L'entreprise s'est également diversifiée dans le secteur spatial qui représente un tiers de son activité. "Entre la décision de se diversifier, et les premières commandes, il faut compter environ trois ans. Le fait d'avoir déjà comme clients Dassault Aviation, Safran et Thales nous a beaucoup aidés", souligne son président Luc Sevestre. La PME ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. L'entreprise adapte sa technologie au milieu marin et terrestre et tente de séduire Naval Group, de même que Nexter, le fabricant du char Leclerc. Boeing mieux armé qu'Airbus pour traverser la crise ? Airbus va-t-il souffrir plus que son concurrent Boeing pour traverser la crise actuelle ? Si l'avionneur américain traîne le boulet du 737MAX, il a un atout considérable par rapport à son concurrent européen : le soutien du Pentagone, le premier acheteur au niveau mondial d'équipements militaires. Pour les forces armées américaines, Boeing livre à foison des avions de combats (F15 et F18) et des ravitailleurs (KC 46), des hélicoptères d'attaque et de transport de troupe (Chinook, Apache), des missiles... Au total, les activités de la branche défense, sécurité et espace ont pesé pour 34 % de son chiffre d'affaires en 2019, soit 76 milliards de dollars. Pour Airbus, l'activité défense pèse moins de 15 % des activités du groupe, soit 10 milliards d'euros de chiffres d'affaires en 2019. Le groupe avait raté l'occasion historique en 2012 de fusionner avec le britannique BAE Systems. Une telle opération aurait permis d'équilibrer les activités civiles et militaires de l'avionneur, le rêve de Louis Gallois, le président du groupe Airbus (alors EADS) entre 2007 et 2012. « À l'époque, les mauvaises langues disaient qu'il n'y avait pas d'intérêt et peu de synergies à cette opération. Cela aurait probablement constitué un ensemble plus robuste pour traverser la crise actuelle et permis de trouver des synergies utiles aussi bien en matière de gestion des effectifs que des programmes », souligne Matthieu Lemasson, expert des questions aéronautiques et défense pour PWC. https://www.usinenouvelle.com/article/la-defense-planche-de-salut-de-la-filiere-aeronautique.N982761

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