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October 30, 2023 | International, Aerospace

Hitachi wins EU okay for $1.8 bln Thales deal | Reuters

EU antitrust regulators said on Monday they cleared Hitachi's 1.7-billion-euro ($1.80 billion) bid for Thales' GTS railway signalling business on condition the Japanese company sells assets in France and Germany, as it offered to do so.

https://www.reuters.com/markets/deals/hitachi-wins-eu-okay-18-bln-thales-deal-2023-10-30/

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  • NASA wants Canadian boots on the moon

    November 14, 2018 | International, Aerospace

    NASA wants Canadian boots on the moon

    By Mike Blanchfield OTTAWA — The head of the U.S. space agency says he wants to see Canadian astronauts walking on the moon as part of a first step toward the farther reaches of space. Jim Bridenstine, the administrator of the National Aeronautics and Space Administration, says he wants Canada's decades-long space partnership with the U.S. to continue as NASA embarks on the creation of its new Lunar Gateway. The U.S. is seeking broad international support for the next-generation space station it is planning to send into orbit around the moon starting in 2021. Bridenstine says he wants Canada to contribute its expertise in artificial intelligence and robotics, and that could include a next-generation Canadarm on the Lunar Gateway and more Canadian technology inside. He says NASA wants to create a “sustainable lunar architecture” that would allow people and equipment to go back and forth to the moon regularly. “If Canadians want to be involved in missions to the surface of the moon with astronauts, we welcome that. We want to see that day materialize,” he said told a small group of journalists in Ottawa today. “We think it would be fantastic for the world to see people on the surface of the moon that are not just wearing the American flag, but wearing the flags of other nations.” He says the return to the moon is a stepping stone to a much more ambitious goal: exploration that could include reaching Mars in the next two decades. “The moon is, in essence, a proving ground for deeper space exploration,” he said. Bridenstine is in Ottawa for a large gathering of the Aerospace Industries Association of Canada, where speculation is running high about Canada's possible participation in the U.S. space program. Innovation Minister Navdeep Bains, a vocal booster of Canada's AI hubs in Ontario and Quebec, is also scheduled to speak, along with one of Canada's former astronauts, Marc Garneau, the current federal transport minister. On Dec. 3, Canadian astronaut David Saint-Jacques will travel to the International Space Station on his first mission. The Canadian Press https://ipolitics.ca/2018/11/14/nasa-wants-canadian-boots-on-the-moon/

  • UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    March 5, 2019 | International, Aerospace, Naval, C4ISR

    UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    (AOF) - La Direction générale de l'armement (DGA) vient de confier à un groupement industriel mené par Airbus et composé de Naval Group et Rohde & Schwarz, le contrat RIFAN 2.1. Ce contrat a été signé pour une durée maximale de 8 ans et un montant maximum de 150 millions d'euros. Le contrat consiste à maintenir et adapter l'actuel Réseau IP de la Force Aéronavale étape 2 (RIFAN 2) aux besoins de la Marine nationale dans les années à venir, à y intégrer de nouveaux b'timents et à traiter les obsolescences des matériels et logiciels. Il permettra ainsi d'intégrer dans le réseau RIFAN 2 les frégates de défense et d'intervention (FDI), futures frégates de premier rang de la Marine nationale, ainsi que les futurs pétroliers-ravitailleurs du programme BRF (b'timent ravitailleur de forces). Les adaptations du réseau porteront tant sur son architecture centrale que sur la mise à jour du système de surveillance et de détection des incidents de cyber-sécurité. 63 b'timents sont équipés du réseau RIFAN 2 : du porte-avions et frégates aux b'timents de soutien et patrouilleurs basés outre-mer, ainsi que des sous-marins. Le programme vise à doter la force navale française, d'un véritable réseau sécurisé à haut-débit. Il est conçu pour échanger entre les navires à la mer et les centres de commandement à terre, des données de différents niveaux de classification allant de " non protégé " jusqu'aux niveaux " secret ". Le réseau permet de transmettre aussi bien les données issues des applications spécifiques à la conduite des opérations aéronavales que celles dédiées à la gestion quotidienne et logistique de la vie à bord, comme celles des systèmes d'information des états-majors de thé'tre embarqués pour la durée d'une opération. RIFAN 2 comprend également une capacité de gestion globale du réseau et de surveillance des incidents de cyber-sécurité. Cette supervision s'exerce à la fois depuis un centre de gestion et de contrôle à terre, que localement à bord des navires, conférant ainsi une certaine autonomie aux équipages afin d'assurer le meilleur emploi du réseau en fonction de la situation opérationnelle. AOF - EN SAVOIR PLUS Les points forts de la valeur - Numéro un européen et numéro deux mondial de l'industrie aéronautique, spatiale et de défense, né de la fusion en 2000 du français Aerospatiale Matra, de l'espagnol Casa et de l'allemand Dasa ; - Activité de 67 Mds€ répartie entre l'aéronautique civile avec Airbus pour 75 %, défense & espace pour 16 % et Airbus Helicopters pour 9 % ; - Excellente visibilité pour un secteur en croissance annuelle de 3 %, bénéficiant de fortes barrières à l'entrée et d'un bon « pricing power » ; - Famille d'avions civils la plus complète du marché, de l'A380 et l'A350 (long-courrier) à l'A330 (15 heures de vol) et l'A320 (10 heures) et numéro un mondial des hélicoptères (47 % du marché civil en termes de livraisons) ; - Carnet de commandes record de 997 Mds€, donnant une visibilité de près de 15 ans de chiffre d'affaires, provenant de l'Asie-Pacifique (29 %), d'Europe (22 %), d'Amérique du nord (20 %), du Proche-Orient (12 %) et d'Amérique latine (7 %) ; - Acquisition sans sortie de cash de 50,01% de C-Series, programme de l'avionneur canadien Bombardier, qui renforce la position d'Airbus Group face à Boeing ; - Trésorerie importante alimentée par les avances sur commandes et retour à un flux de trésorerie élevé, gr'ce à une bonne maîtrise des besoins en fonds de roulement ; - Vers une hausse du taux de distribution aux actionnaires. Les points faibles de la valeur - Retards de livraisons pesant sur l'autofinancement ; - Incertitudes judiciaires avec risques de pénalités entre 1 et 6 MdsE ; - Ralentissement des cadences des programmes A380 et A400M ; - Forte concurrence à venir dans le spatial de la part de Space X. Comment suivre la valeur - Performances étroitement liées à la santé des compagnies aériennes ; - Sensibilité aux parités de change, 60 % des ventes étant facturées en dollars américains pour une base de coûts majoritairement en euros ; - Poursuite du plan « Vision 2020 », initié en 2009 et visant à un équilibre entre l'aviation commerciale et les autres activités, à un doublement à 25 % de la part des services dans le chiffre d'affaires, à un renforcement à l'international avec 40 % des approvisionnements hors Europe ; - Capacité à redresser le programme C-Series et, dans les usines européennes, à diminuer le nombre d'avions retenus au sol pour problèmes techniques ; - Confirmation de l'accélération du rythme de livraison des A320neo ; - Après l'autorisation des autorités européennes pour l'A330-900, attente de celle des autorités américaines ; - Capital réparti depuis juin 2013 entre l'Etat français (11, % via la Sogepa), l'état allemand (11,1 % via GZbv) et l'état espagnol (4, % via SEPI), réunis par un pacte d'actionnaires. Aéronautique - Défense Le secteur aéronautique est soumis à une profonde mutation. A la recherche de relais de croissance et d'une amélioration de leur rentabilité, les acteurs ne se concentrent plus seulement sur leur cœur de métier (design et assemblage des avions) mais se tournent également vers les services. Ces derniers recouvrent aussi bien le service après-vente (maintenance et réparation des appareils) que la transformation d'avions de ligne en avions-cargos, ou la formation des équipages et des mécaniciens, l'aménagement des cabines et l'optimisation des appareils. Cette évolution amène les avionneurs à revoir complètement la conception de leur métier : ils ne livrent plus un produit mais un usage. Selon Boeing, le chiffre d'affaires des services à l'aviation commerciale pourrait ainsi dépasser celui des avions neufs pour atteindre 8.800 milliards de dollars d'ici à 2037. https://www.capital.fr/entreprises-marches/un-groupement-industriel-mene-par-airbus-decroche-un-contrat-de-150-millions-aupres-de-la-dga-1330006

  • New Naval Safety Command will help units better assess, mitigate their own risk

    February 11, 2022 | International, Naval

    New Naval Safety Command will help units better assess, mitigate their own risk

    The newly elevated Naval Safety Command will work throughout the chain of command to identify risks at their most manageable level, before they burden units and put sailors in danger.

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