July 15, 2022 | International, Aerospace, C4ISR
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The Russia-Ukraine war has galvanized Europe and NATO, but facing issues such as high inflation, can defense commitments be maintained?
May 29, 2020 | International, Aerospace
Combat jets have formed the core of the force structure of Air Forces globally since their advent in the piston engine powered form on to the battlefields during the World War I with technological evolution having heralded the age of jet powered combat aircrafts by the end of World War II with the usage of turbojet powered combat aircrafts by both sides towards the later part of the war.
The radical shift in the prevailing, traditional rule based world order with the rapid build-up of military capabilities by China and resurgence of Russia on the world horizon having already propped up defense spending across most regions & parts of the world. Additionally, ongoing conflicts & unrest across some parts of the world, especially, the Middle East has also led to a spurt in defense spending over the recent years driving demand for western origin military hardware by most nations.
The global defense spending reached the $1.9 trillion level for 2019, growing by over 3% year on year to reach its highest level since the Cold war era, accounting for around 2.2% of the world GDP for 2019. Fighter jets have remained a core focus area for nations around the world with their significant role & capabilities in aerial combat, interdiction, penetration of enemy air defenses, ground attack and air dominance/superiority roles.
The 21st century has marked the mainstream shift towards the 5th generation aircrafts with the U.S. maintaining the lead as always, with its F-22 Raptor program in late 1990s and with the F-35 Lightning II in the 21st century, while similar 5th generation programs are being developed and produced by Russia, China & South Korea. The quest towards the development of 6th generation aircrafts, poised to enter service in the 2030s, has also begun, led by the European FCAS & the British Tempest programs.
This report, however, focuses on the key fighter jet program from the perspective of competition for pursuit of international exports opportunities, which has mostly been led by 4 or 4.5 generation aircrafts so far with the same mostly aimed at capabilities expansion or fleet replacement. The study, thus, takes a close look at the Top 6 4/4.5 generation fighter jet programs currently in production from the international markets perspective with focus on comparative assessment of respective programs along with a comparative SWOT analysis on these programs which have on multiple occasions have come to face off each other in multiple international competitions over the recent years.
The report provides a comprehensive, comparative analysis of the Strengths & Weaknesses of these combat jet programs relative to each other while scanning out environmental opportunities & threats for these in a rapidly evolving post COVID-19 world scenario (which is likely to see pressures on defense spending across most parts of the world over near term) which further enhances the relevance & usefulness of this report.
July 15, 2022 | International, Aerospace, C4ISR
The Russia-Ukraine war has galvanized Europe and NATO, but facing issues such as high inflation, can defense commitments be maintained?
November 26, 2023 | International, Aerospace
Nations at U.N.-led talks agreed on Friday an interim 2030 goal for reducing emissions from international aviation through the use of sustainable aviation fuel, but China, Russia and some others voiced reservations about the impact on their economies.
March 24, 2020 | International, Naval
Le successeur d'Hervé Guillou à la tête de Naval Group est désormais connu. L'Etat a désigné Pierre Eric Pommellet, actuel directeur général du groupe Thales, a-t-on appris le 24 janvier de sources gouvernementales. Le nouveau PDG de Naval Group a été désigné. Atteint par la limite d''ge, Hervé Guillou doit quitter le groupe français en mars. C'est Pierre Eric Pommellet, "directeur général opérations et performance" de Thales, qui a été choisi par l'Etat pour prendre la tête du constructeur naval, a-t-on appris vendredi 24 janvier de sources gouvernementales. “PEP”, favori pour la succession d'Hervé Guillou “Nous confirmons que le choix de l'Etat est Pierre Eric Pommellet, a déclaré une source du ministère des Armées. Il prendra la tête de Naval Group au départ d'Hervé Guillou, c'est-à-dire à la fin du mois de mars.” Vendredi 24 janvier, le comité des nominations de Naval Group s'est réuni pour valider ce choix. La candidature de Pierre Eric Pommellet doit encore passer devant le conseil d'administration de Naval Group en février. Si les administrateurs approuvent ce choix, une assemblée générale devrait avoir lieu en mars. Le nouveau patron devra ensuite être nommé officiellement par un décret du président de la République. Depuis plusieurs jours, des informations de presse présentaient “PEP” comme le favori pour la succession d'Hervé Guillou. Le nom de Benoît Ribadeau-Dumas, directeur de cabinet du Premier ministre Édouard Philippe, circulait également avec ceux de plusieurs profils internes. "Une vraie histoire personnelle avec le monde naval" “C'est un ingénieur qui a une vraie histoire personnelle avec le monde naval. Son père a construit Île Longue [la base de la Marine nationale pour les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins située dans la rade de Brest, Finistère]. Son grand-père était le patron de l'usine d'Indret à la direction des constructions navales [ancêtre de Naval Group]”, fait valoir la source gouvernementale. Pierre Eric Pommellet lui-même n'est pas étranger au secteur naval. Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de Sup Aero et du MIT aux Etats-Unis, il est aussi passé à la direction des constructions navales comme ingénieur de l'armement au début de sa carrière. A 52 ans, l'industriel est plus connu comme le directeur général opérations et performance de Thales. Il assume cette fonction depuis 2017 après avoir occupé divers postes de direction : président de Thales Underwater Systems, président de Thales Systèmes Aéroportés, directeur général de la division des systèmes de mission de défense... Autrement dit, Pierre Eric Pommellet est loin d'être un inconnu dans le monde de la défense et il avait l'avantage de cocher plusieurs cases : profil industriel, connaisseur du grand export et du milieu de défense. Malgré cette notoriété, il semble prêt à accepter un salaire un peu plus bas, plafonné par la loi à 450 000 euros par année. Un gage de motivation pour le gouvernement. Des syndicats hostiles à l'arrivée de Pierre Eric Pommellet ? L'arrivée chez Naval Group du directeur général de Thales ne va pas se faire sans complication. Le patron de Thales, Patrice Caine, va devoir trouver un nouveau numéro deux. Surtout, les critiques se sont faites entendre chez les représentants des salariés de Naval Group. Pressentant sans doute cette nomination, les syndicats Unsa et CFE-CGC ont publié un communiqué mardi 21 janvier pour dénoncer le poids de Thales dans la gouvernance de l'entreprise. Le groupe d'électronique est actionnaire à 35 % de Naval Group aux côtés de l'Etat qui détient plus de 62 % du capital. Selon les organisations syndicales, Thales “dispose de droits bien supérieurs à son poids actionnarial” et “se place régulièrement en concurrence de sa filiale Naval Group sur les offres export". "Les personnels de l'entreprise ne comprendraient pas que la succession du PDG actuel, Hervé Guillou, soit l'opportunité pour Thales de positionner un outil industriel de souveraineté comme Naval Group en situation de dépendance vis-à-vis d'un équipementier", ajoutaient-ils avant la nomination de Pierre Eric Pommellet. Vendredi 24 janvier, la source gouvernementale répond aux critiques. “Il n'y a pas d'agenda caché associé à la nomination de Pierre Eric Pommellet. La stratégie de Naval Group reste la même : être un leader mondial de conception et de construction de bateaux militaires fortement armés. Il n'y a pas d'infléchissement stratégique. Naval Group restera une entreprise indépendante, autonome et qui doit créer de la croissance avec une liberté d'entreprendre et d'innover”, assure-t-elle. L'actionnariat de Naval Group ne devrait ainsi pas évoluer. Une feuille de route conséquente Plusieurs grands projets attendent en tout cas le nouveau PDG de Naval Group. Parmi eux : la construction du sous-marin nucléaire lanceur d'engin de troisième génération à partir de 2023, la livraison à la Marine Nationale cette année du sous-marin d'attaque Suffren, mis à l'eau l'été dernier et l'important projet d'un nouveau porte-avions attendu pour 2038. “La feuille de route de Pierre Eric Pommellet, avant toute autre chose, est de livrer les programmes nationaux", affirme le cabinet de Florence Parly. https://www.usinenouvelle.com/article/qui-est-pierre-eric-pommellet-numero-deux-de-thales-futur-patron-de-naval-group.N922724