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September 18, 2023 | Local, Land

Canada Army Run: Another Successful Edition Attracts Thousands to Downtown Ottawa

The 16th edition of Canada Army Run, presented by BMO, brought together thousands of runners and supporters to the streets of Ottawa.

https://www.canada.ca/en/department-national-defence/news/2023/09/canada-army-run-another-successful-edition-attracts-thousands-to-downtown-ottawa.html

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    Canada plans to invest $7.3 billion to upgrade its fighter jet bases and Far North landing strips to accommodate the air force's new F-35s, the Prime Minister's Office announced Friday at the conclusion of a visit by U.S. President Joe Biden.

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    July 7, 2024 | Local, Security

    Webinar Alert: Learn How ITDR Solutions Stop Sophisticated Identity Attacks

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  • Airbus veut croître en Amérique du Nord en visant la défense

    February 4, 2019 | Local, Aerospace

    Airbus veut croître en Amérique du Nord en visant la défense

    DJALLAL MALTI Agence France-Presse Airbus veut profiter de son implantation industrielle croissante en Amérique du Nord pour accélérer dans la défense aux États-Unis et au Canada, avec comme argument clé d'être un acteur local qui investit et crée des emplois sur place. « Pour n'importe quel acteur du secteur aéronautique et défense, jouer aux États-Unis, c'est aujourd'hui pratiquement incontournable », relève Philippe Plouvier, directeur associé au cabinet de conseil Boston Consulting Group. « Parce que dans la défense, les États-Unis, c'est 50 % des budgets mondiaux. » Mais « jouer en Amérique du Nord, c'est avoir une base industrielle sur place. Il n'y a pas de grand acteur là-bas qui n'ait pas une base importante », souligne ce spécialiste de l'aéronautique et de la défense. Airbus a renforcé son empreinte industrielle outre-Atlantique ces dernières années. Déjà présent aux États-Unis depuis 2004 avec une usine d'hélicoptères à Columbus, il a inauguré en 2015 une ligne d'assemblage finale (FAL) destinée à l'A320 à Mobile. Mais avec la prise de contrôle du programme CSeries de Bombardier, il a encore accru cette présence. Au Canada, il a « hérité » de la ligne d'assemblage de l'A220 à Mirabel et aux États-Unis, il a décidé d'en implanter une seconde, à Mobile, ce qui fait du géant européen un acteur local. Airbus se targue d'avoir dépensé 48 milliards de dollars aux États-Unis ces trois dernières années, ce qui se traduit par 275 000 emplois américains soutenus par l'avionneur. « Lorsqu'un industriel de la défense veut vendre ses produits dans un autre pays que le sien, il y a généralement trois étapes à franchir », relève Stéphane Albernhe, du cabinet Archery Consulting. Les deux premières sont les compensations au transfert de technologies. « La troisième, qui est particulièrement importante aux États-Unis, c'est la capacité à être perçu comme un actual good US citizen, qui consiste à mettre les conditions pour que l'industriel soit considéré par les Américains comme pleinement américain. » « Pour réussir cela, beaucoup de leviers peuvent être activés », mais « ce qui compte pour remporter un contrat au-delà du respect des spécifications techniques et du prix, c'est véritablement de s'intégrer pleinement dans le paysage américain. » « Le meilleur avion pour l'armée la plus puissante » Huit ans après avoir perdu celui des avions ravitailleurs face à Boeing, Airbus s'est allié à Lockheed Martin pour répondre aux besoins de l'armée de l'air américaine en termes de ravitaillement en vol. Le géant européen propose son A330 MRTT, qu'il a déjà vendu à une douzaine de pays. « Je ne comprends toujours pas pourquoi l'armée de l'air la plus puissante du monde ne volerait pas avec le meilleur avion ravitailleur sur le marché ? Parce que c'est clairement ce qu'est le MRTT », a lancé le président exécutif d'Airbus, Tom Enders, récemment à Mobile. « Nous avons remporté toutes les compétitions à part les États-Unis », a-t-il poursuivi. « Alors tout ce que nous voulons faire est d'amener l'avion ravitailleur le plus performant à la plus grande armée de l'air du monde. Cela fait sens, non ? » Airbus vise également un appel d'offres de la marine américaine pour 130 hélicoptères, alors qu'il fournit déjà l'armée américaine avec des UH-72A Lakota. Au Canada, il est en lice avec l'Eurofighter Typhoon pour l'appel d'offres qu'Ottawa doit lancer en mai pour remplacer sa flotte d'avions de combats : 88 appareils à livrer en 2025, un contrat estimé à 19 milliards de dollars. Tom Enders a laissé entendre qu'une partie de l'assemblage pourrait se faire sur place. « Quatre-vingt huit appareils, c'est important pour le Canada, ce serait important pour nous aussi », a-t-il l'ché. À plus long terme, Airbus vise le remplacement des ravitailleurs de l'armée de l'air canadienne, à l'horizon 2021-2022. Restent les enquêtes qui le visent : Airbus, qui coopère avec les autorités judiciaires en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis, espère vite tourner cette page qui ternit son image. « C'est généralement très long et dure plusieurs années », souligne Stéphane Albernhe. « Une fois que l'instruction a démarré, il y a deux objectifs pour l'industriel : faire en sorte de converger le plus rapidement possible pour réduire les impacts "réputationnels", et négocier afin que la sanction financière soit raisonnable. » https://www.lapresse.ca/affaires/economie/transports/201902/01/01-5213165-airbus-veut-croitre-en-amerique-du-nord-en-visant-la-defense.php

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