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September 23, 2020 | Local, Naval

Australia’s PMB Defence to Supply Batteries for Canadian Victoria-class Submarines

Xavier Vavasseur

PMB Defence (PMB) has been assigned the contract to supply submarine batteries to the Canadian Government for its Victoria-class submarines.

PMB Defence press release

The Royal Canadian Navy operates four Victoria Class conventional submarines which have been active in the service since 2003. PMB will manufacture the lead-acid based battery systems at our new state-of-the art production, research and development and engineering facilities situated adjacent to the Osborne Naval Shipyard in Adelaide, South Australia.

“The contract with Canada builds on the capability grown from the Collins-class Submarine program in Australia and various new technology programs we have with other international customers. This work further endorses our strategic objective to be the world's most credible designer and supplier of submarine battery systems”.

PMB Defence' Chief Executive Officer, Mr. Stephen Faulkner

Mr Faulkner added that “The Canada contract further demonstrates the trust in PMB's world-class capabilities by an allied country.” This additional contract adds to the recent announcement regarding PMB's purchase of the EnerSys' submarine battery business.

PMB looks forward to a collaborative relationship with the Canadian customer, ensuring the Royal Canadian Navy gets the best battery and in turn the best submarine performance.

https://www.navalnews.com/naval-news/2020/09/australias-pmb-defence-to-supply-batteries-for-canadian-victoria-class-submarines/

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    Avec une base de données suffisante et une intelligence artificielle, il est parfois possible d'anticiper certains incidents. Certaines plateformes, comme Facebook, travaillent sur des algorithmes permettant de repérer les adolescents suicidaires et d'intervenir dans le cas où ils risquent de passer à l'acte. Au Canada, les forces de l'ordre vont utiliser des modèles prédictifs pour prédire les disparitions avant qu'elles n'aient lieu. Selon un rapport du gouvernement, les modèles prédictifs seront basés sur des publications sur les réseaux sociaux, les dossiers de la police et les services sociaux. Les algorithmes se référeront à une dizaine de facteurs de risques communs, comme des antécédents de fugue ou de violence à la maison, afin d'identifier les personnes susceptibles de disparition. L'initiative fait toutefois l'objet de nombre de critiques. Certains experts pensent que l'utilisation de modèles prédictifs à cette fin pourrait conduire à de faux positifs. Le type d'informations à utiliser n'a pas été dévoilé Le document a été publié le mois dernier par la RDDC (Defence Research and Development Canada), une agence rattachée au ministère de la Défense nationale. Selon le rapport, la conception des modèles prédictifs sera assurée par SPPAL (Saskatchewan Police Predictive Analytics Lab). Ce laboratoire est le fruit d'un partenariat entre la police, le ministère provincial de la Justice et l'Université de la Saskatchewan. La police canadienne utilise déjà les réseaux sociaux pour repérer des cas d'infraction, trouver des suspects et résoudre des enquêtes. Toutefois, le rapport n'indique pas les types d'informations qui seront recueillies sur les médias sociaux. Des risques de faux positifs Tamir Israel est avocat à CIPPIC (Canadian Internet Policy and Public Interest Clinic). Il a reconnu que les modèles prédictifs de SPPAL pourraient être utilisés pour trier les cas suspects selon leur ordre de priorité. Il est en effet nécessaire de distinguer, par exemple, une éventuelle victime d'enlèvement d'une fugueuse habituelle. « Les forces de l'ordre seront invitées à s'appuyer sur les résultats du modèle prédictif » pour décider de la sérieuse prise en charge d'un cas de personne disparue », a-t-il déclaré à Motherbord. Toutefois, il a souligné que ces modèles prédictifs sont souvent opaques dans leur fonctionnement, en s'appuyant sur des facteurs que les policiers eux-mêmes ne peuvent pas évaluer ou deviner. Il a noté que les informations sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours fiables et augmentent les risques de faux positifs. Il a également noté que cette méthode pourrait conduire à des résultats faussés lorsque les modèles sont appliqués à des groupes minoritaires. Il craint qu'ils ne fassent pas de différences entre les cultures. « Nous savons que les modèles prédictifs sont loin d'être infaillibles dans des situations réelles et qu'il y aura des faux positifs », a-t-il rappelé. « Les conséquences d'une intervention basée sur un faux positif peuvent être très graves. » http://www.fredzone.org/au-canada-les-policiers-vont-utiliser-les-reseaux-sociaux-pour-predire-les-disparitions-avant-quelles-ne-se-produisent-998 http://cradpdf.drdc-rddc.gc.ca/PDFS/unc335/p809812_A1b.pdf

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