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January 20, 2022 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

Assemblée publique annuelle - La Corporation commerciale canadienne (CCC)

Assemblée publique annuelle 2020-2021 L’Assemblée publique annuelle 2020-2021 de la CCC est 100 % virtuelle. Elle comprend la publication du Rapport annuel 2020-2021 et des présentations vidéo du président du conseil, Doug Harrison, et du président et chef de la direction, Bobby Kwon. Le rapport et les présentations vidéo, présentés ci-dessous, donnent un aperçu du ... Lire la suite

https://www.ccc.ca/fr/a-propos/divulgation/assemblee-publique-annuelle-2/

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    February 13, 2019 | Local, Aerospace

    Du plomb dans l’aile ou plutôt de la rouille sur les ailes et le moral dans les talons…

    par Dave Blackburn La décision du gouvernement de Justin Trudeau de procéder à l'achat de 25 avions de combat F-18 à l'Australie est fortement discutable sur de multiples facettes. Dans quelques semaines, le Canada commencera à prendre possession de ces « nouveaux » appareils. Personnellement, je suis d'avis que notre nation est une fois de plus la risée mondiale. Quel autre pays du G7 irait dépenser 500 millions de dollars pour faire l'achat de 25 avions de combat qui ont plus de 30 ans de service ? Pourront-ils (au moins) voler de Mirabel à Cold Lake ? Le comble du comble, Radio-Canada nous apprenait que le gouvernement Trudeau considère sérieusement de rapporter au Canada ces vieux appareils à l'aide... d'un avion-cargo de type Antonov. C'est quoi le problème ? Les F-18 australiens ne sont pas en mesure de parcourir la distance entre Canberra en Australie et Mirabel au Canada ? Si cela est le cas, c'est rassurant, car ce sont ces mêmes appareils qui assureront la défense aérienne de notre pays. Pourront-ils voler de Mirabel à Cold Lake ? Si le Canada décide de rapporter les 23 avions par avion-cargo (2 avions sont déjà aux États-Unis), une fortune sera dépensée en transport, car les frais de fonctionnement d'un Antonov sont très élevés. Ils n'ont pas pensé à les transporter par bateau ? Pourquoi ne pas acheter un porte-avion usagé ? Avec nos sous-marins et nos « nouveaux » F-18, un porte-avion usagé ferait aussi l'affaire ! Vous savez quoi, ça me donne l'impression que tout est improvisé ! Technologie désuète Fondamentalement, avons-nous besoin de F-18 dont la technologie est désuète et qui selon toute vraisemblance ne feraient aucunement le poids contre des avions de chasse de 5e génération ? Dans le contexte des guerres modernes et urbaines, quelle est la valeur ajoutée, l'utilité, de procéder à l'achat de ces appareils ? Les gouvernements libéraux ont une f'cheuse habitude d'acheter du matériel militaire usagé. Personne (et surtout pas les contribuables) n'a oublié la désastreuse transaction du gouvernement de Jean Chrétien avec la Grande Bretagne dans les années 1990 pour l'achat de 4 sous-marins, au diesel, technologie qui était déjà dépassée depuis longtemps au moment de l'achat. Ces sous-marins ont coûté jusqu'à présent plus de 3 milliards de dollars et ont passé 91% du temps en cale sèche ou à quai. Mais au-delà de tous ces éléments de discussion, ma réflexion porte sur les répercussions sur le moral des troupes lorsque notre gouvernement fait l'achat d'équipement qui est bon pour la ferraille, pour le musée ou pour être installé en avant d'une filiale de la Légion royale canadienne. Et le moral des troupes ? Si je prends le temps de me mettre dans la tenue de vol d'un pilote de l'Aviation royale canadienne, j'aurais sans doute le moral dans les talons. Je me questionnerais sérieusement. J'aurais sans doute des craintes pour ma propre vie si jamais je devais être impliqué dans un combat aérien. Je me demanderais si notre gouvernement est véritablement sérieux dans sa stratégie de défense. En fait, je serais assez confus et déprimé. De mon point de vue, l'achat d'équipement militaire usagé ne peut qu'avoir un impact négatif sur le moral des troupes et un impact sur l'attrition du personnel. Par de fait même, cela doit aussi affecter le recrutement des personnes qui auraient un intérêt pour la carrière de pilote de chasse. J'ai tenté de rejoindre deux pilotes de chasse que je connais, mais je n'ai pas eu de retour. De toute manière, je doute fortement qu'ils aient commenté cet achat, ils sont trop professionnels. Nous avons l'une des meilleures forces militaires au monde sur le plan des ressources humaines. Une force qui est professionnelle, très bien entraînée et qui a démontré à maintes reprises son excellence lors de conflits ou d'opérations locales ou de maintien de la paix. Toutefois, pour demeurer parmi les meilleurs, nos soldats, marins et aviateurs doivent pouvoir bénéficier d'un équipement militaire à la fine pointe de la technologie. C'est aussi simple que ça ! Il est impossible de séparer le soldat de l'équipement militaire pour obtenir de bons résultats. Une fausse bonne affaire Bien évidemment, l'équipement militaire moderne est extrêmement cher et comme pays, nous avons des moyens financiers limités en matière de défense (budget de +/- 25 milliards en 2017). Comme nation, nous devons faire des choix en matière d'investissements dans les différentes sphères de la société. Conséquemment, avant d'acheter n'importe quoi dont des sous-marins au diesel qui devraient être stationnés à Pointe-au-Père en Gaspésie ou des F-18, il faudrait possiblement avoir une réflexion de fond sur nos intentions en matière de défense, sur nos alliances et sur notre capacité financière. Entretemps, le gouvernement de Justin Trudeau pourra continuer de penser qu'il a fait une bonne affaire et se réjouir d'avoir obtenu 7 avions F-18 sur les 25 qui seront utilisés par leurs pièces. À une échelle moins considérable il va sans dire, c'est comme le gars, très fier de son coup, qui s'achète deux Bombardiers ski doo Tundra 250cc 1988 dont l'un sera utilisé pour les pièces ! Il doit aller les chercher à Chibougamau et il habite en banlieue de Montréal. Il pense faire une bonne affaire ! Le Tundra à quand même 30 ans, il doit parcourir des centaines de kilomètres pour aller le chercher et son moral risque d'en prendre un coup lorsqu'il sera « stallé » dans les bois à des kilomètres de chez lui ! Une bonne affaire vous dites ! ? http://www.45enord.ca/2019/02/du-plomb-dans-laile-ou-plutot-de-la-rouille-sur-les-ailes-et-le-moral-dans-les-talons-f-18-australiens-canada/

  • Charlie Bouchard steps down from Lockheed Martin Canada’s top job

    April 25, 2019 | Local, Aerospace

    Charlie Bouchard steps down from Lockheed Martin Canada’s top job

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN Charles Bouchard announced his decision Wednesday to retire as Chief Executive, Lockheed Martin Canada effective April 30. Bouchard, a retired lieutenant general, served in the role for nearly six years. He had a 37-year career in the Royal Canadian Air Force. “I have thoroughly enjoyed serving Lockheed Martin Canada and Lockheed Martin Corporation and while the time has come for me to retire, I will remain an ardent supporter and advocate of the work Lockheed Martin does to deliver the best equipment to today's modern warfighter, the F-35 being a primary example,” Bouchard said in a statement. Lorraine Ben will serve as Interim Chief Executive. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/charlie-bouchard-steps-down-from-lockheed-martin-canadas-top-job

  • FAA inks aviation agreements with Canada and Brazil

    September 24, 2018 | Local, Aerospace

    FAA inks aviation agreements with Canada and Brazil

    Federal Aviation Administration Press Release he Federal Aviation Administration (FAA) has signed separate agreements with Brazil's Agência Nacional de Aviação Civil (ANAC) and Transport Canada Civil Aviation (TCCA) that will make it easier to approve each country's aircraft and aviation products for their growing aviation markets. The FAA and TCCA are continuing their long tradition of cooperation. The two agencies signed a shared surveillance management plan that defines the process by which they recognize each other's surveillance of manufacturers and their suppliers in the United States and Canada. The Plan ensures manufacturers, certificate holders, production approval holders and suppliers are complying with the responsible countries' applicable regulatory requirements. The plan requires manufacturers to comply with an approved quality system and ensure their subcontractors and suppliers also meet the applicable requirements and adhere to quality standards The result will be less need for FAA and TCCA aviation inspectors to travel to each other's facilities to do surveillance. Previously this was done on a case-by-case basis. https://www.skiesmag.com/press-releases/faa-inks-aviation-agreements-with-canada-and-brazil

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