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February 13, 2019 | Local, Aerospace

Du plomb dans l’aile ou plutôt de la rouille sur les ailes et le moral dans les talons…

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La décision du gouvernement de Justin Trudeau de procéder à l'achat de 25 avions de combat F-18 à l'Australie est fortement discutable sur de multiples facettes.

Dans quelques semaines, le Canada commencera à prendre possession de ces « nouveaux » appareils. Personnellement, je suis d'avis que notre nation est une fois de plus la risée mondiale. Quel autre pays du G7 irait dépenser 500 millions de dollars pour faire l'achat de 25 avions de combat qui ont plus de 30 ans de service ?

Pourront-ils (au moins) voler de Mirabel à Cold Lake ?

Le comble du comble, Radio-Canada nous apprenait que le gouvernement Trudeau considère sérieusement de rapporter au Canada ces vieux appareils à l'aide... d'un avion-cargo de type Antonov. C'est quoi le problème ? Les F-18 australiens ne sont pas en mesure de parcourir la distance entre Canberra en Australie et Mirabel au Canada ? Si cela est le cas, c'est rassurant, car ce sont ces mêmes appareils qui assureront la défense aérienne de notre pays. Pourront-ils voler de Mirabel à Cold Lake ?

Si le Canada décide de rapporter les 23 avions par avion-cargo (2 avions sont déjà aux États-Unis), une fortune sera dépensée en transport, car les frais de fonctionnement d'un Antonov sont très élevés. Ils n'ont pas pensé à les transporter par bateau ? Pourquoi ne pas acheter un porte-avion usagé ? Avec nos sous-marins et nos « nouveaux » F-18, un porte-avion usagé ferait aussi l'affaire !

Vous savez quoi, ça me donne l'impression que tout est improvisé !

Technologie désuète

Fondamentalement, avons-nous besoin de F-18 dont la technologie est désuète et qui selon toute vraisemblance ne feraient aucunement le poids contre des avions de chasse de 5e génération ? Dans le contexte des guerres modernes et urbaines, quelle est la valeur ajoutée, l'utilité, de procéder à l'achat de ces appareils ? Les gouvernements libéraux ont une f'cheuse habitude d'acheter du matériel militaire usagé. Personne (et surtout pas les contribuables) n'a oublié la désastreuse transaction du gouvernement de Jean Chrétien avec la Grande Bretagne dans les années 1990 pour l'achat de 4 sous-marins, au diesel, technologie qui était déjà dépassée depuis longtemps au moment de l'achat. Ces sous-marins ont coûté jusqu'à présent plus de 3 milliards de dollars et ont passé 91% du temps en cale sèche ou à quai.

Mais au-delà de tous ces éléments de discussion, ma réflexion porte sur les répercussions sur le moral des troupes lorsque notre gouvernement fait l'achat d'équipement qui est bon pour la ferraille, pour le musée ou pour être installé en avant d'une filiale de la Légion royale canadienne.

Et le moral des troupes ?

Si je prends le temps de me mettre dans la tenue de vol d'un pilote de l'Aviation royale canadienne, j'aurais sans doute le moral dans les talons. Je me questionnerais sérieusement. J'aurais sans doute des craintes pour ma propre vie si jamais je devais être impliqué dans un combat aérien. Je me demanderais si notre gouvernement est véritablement sérieux dans sa stratégie de défense. En fait, je serais assez confus et déprimé. De mon point de vue, l'achat d'équipement militaire usagé ne peut qu'avoir un impact négatif sur le moral des troupes et un impact sur l'attrition du personnel. Par de fait même, cela doit aussi affecter le recrutement des personnes qui auraient un intérêt pour la carrière de pilote de chasse. J'ai tenté de rejoindre deux pilotes de chasse que je connais, mais je n'ai pas eu de retour. De toute manière, je doute fortement qu'ils aient commenté cet achat, ils sont trop professionnels.

Nous avons l'une des meilleures forces militaires au monde sur le plan des ressources humaines. Une force qui est professionnelle, très bien entraînée et qui a démontré à maintes reprises son excellence lors de conflits ou d'opérations locales ou de maintien de la paix. Toutefois, pour demeurer parmi les meilleurs, nos soldats, marins et aviateurs doivent pouvoir bénéficier d'un équipement militaire à la fine pointe de la technologie. C'est aussi simple que ça ! Il est impossible de séparer le soldat de l'équipement militaire pour obtenir de bons résultats.

Une fausse bonne affaire

Bien évidemment, l'équipement militaire moderne est extrêmement cher et comme pays, nous avons des moyens financiers limités en matière de défense (budget de +/- 25 milliards en 2017). Comme nation, nous devons faire des choix en matière d'investissements dans les différentes sphères de la société. Conséquemment, avant d'acheter n'importe quoi dont des sous-marins au diesel qui devraient être stationnés à Pointe-au-Père en Gaspésie ou des F-18, il faudrait possiblement avoir une réflexion de fond sur nos intentions en matière de défense, sur nos alliances et sur notre capacité financière.

Entretemps, le gouvernement de Justin Trudeau pourra continuer de penser qu'il a fait une bonne affaire et se réjouir d'avoir obtenu 7 avions F-18 sur les 25 qui seront utilisés par leurs pièces.

À une échelle moins considérable il va sans dire, c'est comme le gars, très fier de son coup, qui s'achète deux Bombardiers ski doo Tundra 250cc 1988 dont l'un sera utilisé pour les pièces ! Il doit aller les chercher à Chibougamau et il habite en banlieue de Montréal. Il pense faire une bonne affaire ! Le Tundra à quand même 30 ans, il doit parcourir des centaines de kilomètres pour aller le chercher et son moral risque d'en prendre un coup lorsqu'il sera « stallé » dans les bois à des kilomètres de chez lui !

Une bonne affaire vous dites ! ?

http://www.45enord.ca/2019/02/du-plomb-dans-laile-ou-plutot-de-la-rouille-sur-les-ailes-et-le-moral-dans-les-talons-f-18-australiens-canada/

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    November 21, 2018 | Local, Aerospace

    Le Canada manque d'avions de chasse et de pilotes, constate le vérificateur général

    Le Canada dispose d'un nombre insuffisant d'avions de chasse pour répondre au niveau d'alerte le plus élevé et honorer ses engagements à l'endroit de l'OTAN. C'est la conclusion inquiétante du vérificateur général du Canada, Michael Ferguson, qui déplore du même coup l'absence de plan pour mettre fin notamment à l'importante pénurie de pilotes et de techniciens. Un texte de Marc Godbout Des appareils qui ne sont pas à jour et un sérieux manque de pilotes et de techniciens : les conclusions du vérificateur général sont loin d'être rassurantes. En fait, même si la Défense nationale disposait d'un nombre suffisant d'appareils, les problèmes ne seraient pas réglés pour autant, confirme Michael Ferguson. Elle n'a aucun plan pour surmonter les plus grands obstacles au respect de la nouvelle exigence opérationnelle, à savoir la pénurie de pilotes et le déclin de la capacité de combat de ses aéronefs. Extrait du rapport Il faudra donc plus que les 3 milliards de dollars déjà prévus pour prolonger la durée de vie de la flotte actuelle et pour acheter, exploiter et entretenir des avions de chasse d'occasion de l'Australie. « Les investissements décidés ne suffiront pas pour lui permettre d'avoir chaque jour un nombre suffisant d'appareils disponibles afin de répondre au niveau d'alerte le plus élevé du NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord) et honorer dans le même temps l'engagement du Canada envers l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) », précise Michael Ferguson. Y a-t-il un pilote dans l'avion? Le rapport confirme que la Défense nationale disposait de seulement 64 % des pilotes de CF-18 qualifiés pour satisfaire aux exigences opérationnelles. Entre avril 2016 et mars 2018, l'Aviation royale canadienne a perdu 40 pilotes de chasse qualifiés et en a formé seulement 30 nouveaux. Extrait du rapport Michael Ferguson va même plus loin : « Si les pilotes continuent de quitter à ce rythme, il n'y aura pas assez de pilotes expérimentés pour former la prochaine génération de pilotes de chasse. » Le problème est confirmé par le ministre des Transports fédéral, Marc Garneau. « C'est un défi qu'on a au Canada de recruter plus de pilotes, non seulement du côté militaire, mais aussi du côté commercial. C'est un dossier sur lequel je me penche en ce moment pour essayer de trouver des solutions pour recruter plus de gens », a indiqué le ministre aux journalistes mardi. M. Garneau souligne que le coût d'une formation de pilote est très élevé, et que c'est la raison principale pour laquelle pas assez de gens sont attirés vers le domaine. « Pour devenir un pilote commercial, ça coûte 80 000 $ », dit-il. Par ailleurs, Marc Garneau ne voit pas de contradiction entre le fait d'acheter des avions usagés australiens et l'absence de pilotes pour les conduire. « Nos forces armées sont en train de travailler très fort pour recruter des pilotes, et quand les pilotes vont être là, il faut que les avions soient là. Alors il faut s'occuper des deux en parallèle », pense-t-il. Manque de techniciens pour préparer les avions De plus, les techniciens avaient été en mesure de préparer à peine 83 % des aéronefs nécessaires pour satisfaire aux engagements en matière de défense auprès du NORAD et de l'OTAN. Or, si le nombre de techniciens expérimentés n'augmente pas, prévient Michael Ferguson, les vols que pourra effectuer chaque pilote de CF-18 diminueront. Le rapport précise que, l'an dernier, les pilotes avaient enregistré moins d'heures de vol que le nombre minimal requis de 140 heures. 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Les délais pour remédier aux lacunes entraînent « des retards pour assurer efficacement la protection du personnel et des biens à l'étranger », conclut Michael Ferguson. Vidéosurveillance inadéquate, absence de barrière pour restreindre l'accès des véhicules aux entrées des missions et mécanismes d'alarme défaillants sont cités en exemple par le vérificateur général. Une mission située dans un endroit où la menace était élevée ne disposait pas d'appareil de radiographie pour contrôler les visiteurs, alors que l'on en trouvait dans des endroits où la menace était plus faible. Extrait du rapport De plus, de nombreux employés qui travaillaient dans des endroits dangereux n'avaient toujours pas suivi la formation obligatoire. Michael Ferguson souligne que les retards sont attribuables « à une mauvaise gestion et à une surveillance inadéquate des projets » par Affaires mondiales. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136935/avions-chasse-canadiens-verificateur-general

  • Impact de Covid-19 Avions militaires marché Aperçu financier du 2020 des acteurs tels que Boeing, Lockheed Martin, Bae Systems, Airbus, Embraer

    May 5, 2020 | Local, Aerospace

    Impact de Covid-19 Avions militaires marché Aperçu financier du 2020 des acteurs tels que Boeing, Lockheed Martin, Bae Systems, Airbus, Embraer

    “Le rapport de l'industrie comprend également l'impact de COVID-19 sur le marché mondial. Restez à la maison | Restez en sécurité Avions militaires Marché Dans les avions militaires, les segments d'avions multirôles et de transport devraient représenter 59,3% et 23% du marché. L'industrie Avions militaires a connu un taux de croissance solide au cours de la décennie précédente et devrait beaucoup progresser au cours des prochaines décennies. Il est donc essentiel d'identifier toutes les opportunités d'investissement, les menaces à venir du marché, les facteurs limitants, les défis, la dynamique du marché et les avancées technologiques pour renforcer la présence dans Avions militaires industries. La recherche proposée a analysé tous les éléments ci-dessus afin de présenter au lecteur une analyse détaillée qui inspire la croissance attendue de ses activités. Les fabricants suivants sont évalués dans ce rapport en termes de chiffre d'affaires, de chiffre d'affaires et de part de marché pour chaque société: Boeing, Lockheed Martin, Bae Systems, Airbus, Embraer, Dassault Aviation, Russian Aircraft, Sukhoi, Pilatus Aircraft, Alenia Aermachhi, Saab AB, Eurofighter Typhoon, Obtenir un exemple de copie PDF (comprenant la table des matières, les tableaux et les figures) @ https://garnerinsights.com/Avions militaires Marché Les types de Avions militaires couverts sont: Avions de combat, avions non-de combat Les applications de Avions militaires couverts sont: Défense, Sauvetage, Autre Le rapport Avions militaires propose des profils détaillés des principaux acteurs afin de donner une vision claire du paysage concurrentiel des perspectives. Il comprend également l'analyse de nouveaux produits sur le marché, l'aperçu financier, les stratégies et les tendances marketing. 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Obtenir la description complète du rapport, la table des matières, le tableau des figures, le graphique, etc. @ https://garnerinsights.com/Avions militaires Marché Table des matières: Couverture de l'étude: Elle inclut les principaux fabricants couverts, les principaux segments du marché, la gamme de produits proposés sur le marché mondial, les années considérées et les objectifs de l'étude. En outre, il aborde l'étude de segmentation fournie dans le rapport sur la base du type de produit et de l'application. Résumé: Il résume les études clés, le taux de croissance du marché, le paysage concurrentiel, les moteurs du marché, les tendances et les problèmes, ainsi que les indicateurs macroscopiques. Production par région: le rapport fournit des informations sur les importations et les exportations, la production, les revenus et les acteurs clés de tous les marchés régionaux étudiés. Profil des fabricants: chaque joueur décrit dans cette section est étudié sur la base de l'analyse SWOT, de ses produits, de sa production, de sa valeur, de ses capacités et d'autres facteurs essentiels. Les objectifs du rapport sont les suivants: – Analyser et prévoir la taille du marché de l'industrie sur le marché mondial. – Étudier les principaux acteurs mondiaux, l'analyse SWOT, la valeur et la part de marché mondiale des principaux acteurs. – Déterminer, expliquer et prévoir le marché par type, utilisation finale et région. – Analyser le potentiel et les avantages du marché, les opportunités et les défis, les contraintes et les risques des régions clés globales. – Identifier les tendances significatives et les facteurs qui déterminent ou freinent la croissance du marché. – Analyser les opportunités sur le marché pour les parties prenantes en identifiant les segments à forte croissance. – Analyser de manière critique chaque sous-marché en termes de tendance de croissance individuelle et de leur contribution au marché. – Comprendre les développements concurrentiels tels que les accords, les extensions, les lancements de nouveaux produits et les possessions sur le marché. – Décrire de manière stratégique les principaux acteurs et analyser de manière exhaustive leurs stratégies de croissance. Accéder à la description complète du rapport, à la table des matières, à la figure, au graphique, etc. @ https://garnerinsights.com/Avions militaires Marché La croissance de ce marché à l'échelle mondiale est soumise à divers facteurs, dont la consommation de Avions militaires produits, les modèles de croissance des sociétés inorganiques, la volatilité des prix des matières premières, l'innovation des produits et les perspectives économiques des pays producteurs et consommateurs. En conclusion, ce rapport vous fournira une vue claire de chaque fait du marché sans qu'il soit nécessaire de vous référer à un autre rapport de recherche ou à une source de données. Notre rapport vous fournira tous les faits sur le passé, le présent et l'avenir du marché concerné. Contactez-nous: Mr. Kevin Thomas +1 513 549 5911 (US) +44 203 318 2846 (UK) Email: sales@garnerinsights.com“

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