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February 16, 2018 | Local, Aerospace

IMP Aerospace & Defence Forms Strategic Partnership with Taiwan’s Air Asia Company Limited

13-Feb-2018

Halifax, Canada - As one of the three major air shows in the world, the Singapore Air Show hosts aviation industry participants from all over the world. At this year's event, Air Asia Company Limited has a delegation led by Chairman Lu Tian-lin to meet with aviation companies to discuss cooperation opportunities.

On February 6, Air Asia Company Limited signed an MOU with IMP Aerospace & Defence to form a strategic partnership in the pursuit and sustainment of P-3 and C-130 aircraft modification and maintenance work.

IMP Aerospace & Defence is a world-renowned aircraft maintenance and engineering company with operating units from coast to coast in Canada and certifications from numerous aircraft original manufacturers. IMP has a rich history and much experience in maintenance of numerous aircraft types including P-3 and C-130 logistics and engineering support. As a result of this cooperation, Air Asia Company Limited and IMP will be able to better serve customers in the areas of modification engineering, aircraft performance enhancements and material support to improve aircraft maintenance, longevity, and operating efficiency.

The President of IMP Aerospace & Defence, Mr. David Gossen, looks forward to this strategic agreement assisting in the promotion of both companies' world class capabilities in today's competitive marketplace.

About IMP Aerospace

IMP Aerospace & Defence, based in Halifax, Nova Scotia, is a full service aerospace and defence organization with over 65 years of experience serving both national and international customers in the aerospace, space, naval, and land sectors. The organization comprises six operations with over 2,400 engineering, technical and support staff across Canada specializing in a diversified line of manufacturing, engineering and In Service Support services.

For additional information please contact;

Carl Kumpic
Vice President International Marketing
IMP Aerospace & Defence
Direct: (902) 873-2250
e-mail: carl.kumpic@impaad.com
Website: www.impaad.com

https://www.impgroup.com/newsitem.aspx?mid=E554FA9F-5812-4866-B534-13AE55D4F516

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    April 3, 2020 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Subject: New challenges launched from the NATO Innovation Hub to fight COVID-19

    As part of a coordinated effort to fight COVID-19, IDEaS is informing innovators about COVID-19 related challenges being issued by the NATO Innovation Hub. The NATO Innovation Hub is a community where experts from around the world collaborate to tackle NATO challenges and design solutions. In response to the pandemic, the Innovation Hub has issued two challenges. 1. Identifying false information and mitigate its effects; and 2. Delivering supply to isolated individuals and teams. These challenges are open to all. If interested, you can submit your solutions here: https://www.innovationhub-act.org/challenge-intro If you have questions, you can contact them directly by email: sactinnovationhub@act.nato.int

  • Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    September 3, 2019 | Local, Aerospace

    Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    Par LEE BERTHIAUME La division Airbus Defence and Space, en partenariat avec le gouvernement britannique, était l'une des quatre entreprises qui devaient selon toute vraisemblance soumissionner pour ce contrat de 19 milliards portant sur la construction des 88 nouveaux avions de chasse qui doivent remplacer les CF-18 vieillissants de l'Aviation royale canadienne. Mais dans un communiqué publié vendredi, Airbus annonce qu'elle a informé le gouvernement canadien de sa décision de retirer de la course son « Eurofighter Typhoon » pour deux motifs — déjà évoqués par ailleurs avant même le lancement officiel de l'appel d'offres en juillet. Le premier motif concerne l'obligation pour les soumissionnaires de préciser comment ils comptent s'assurer que leurs avions pourront s'intégrer au réseau canado-américain ultra-secret de renseignement, connu sous le nom de « Two Eyes », qui est utilisé pour coordonner la défense commune de l'Amérique du Nord. Airbus conclut que cette exigence fait peser « un coût trop lourd » sur les avions qui ne sont pas américains. Le géant européen explique qu'il aurait été tenu de démontrer comment il envisageait d'intégrer son Typhoon au système « Two-Eyes » sans même connaître les détails techniques de ce système ultra-secret de renseignement. Le deuxième facteur a été la décision du gouvernement libéral de modifier la politique qui obligeait traditionnellement les soumissionnaires à s'engager légalement à investir autant d'argent dans des produits et activités au Canada que ce qu'ils tirent des contrats militaires décrochés. En vertu du nouveau mécanisme, les soumissionnaires peuvent plutôt établir des « objectifs industriels » et signer des accords non contraignants promettant de tout mettre en œuvre pour les atteindre. Ces soumissionnaires perdent des points dans l'appel d'offres, mais ils ne sont plus écartés d'emblée de la course. Les États-Unis soutenaient que la politique précédente violait un accord signé par le Canada en 2006 pour devenir l'un des neuf pays partenaires dans le développement du F-35 de Lockheed Martin. Or, cet accord prévoit que les entreprises des pays partenaires se feront toutes concurrence pour obtenir des contrats en sous-traitance. Deuxième retrait Dans son annonce, vendredi, Airbus soutient que la nouvelle approche ne valorise pas suffisamment les engagements contraignants qu'elle était prête à offrir et qui constituaient l'un de ses principaux arguments. La ministre des Services publics et de l'Approvisionnement, Carla Qualtrough, a défendu à nouveau l'approche de son gouvernement dans ce dossier. Dans une déclaration écrite publiée après l'annonce du retrait d'Airbus, elle a estimé que cette nouvelle approche « assurera une participation maximale des fournisseurs ». « Notre gouvernement priorise les retombées économiques solides dans ce projet, a soutenu Mme Qualtrough. Nous sommes convaincus que cet investissement soutiendra la croissance de la main-d'œuvre canadienne hautement qualifiée dans les industries de l'aérospatiale et de la défense pour les décennies à venir et créera d'importantes retombées économiques et industrielles dans l'ensemble du pays. » Airbus devient la deuxième entreprise à retirer son chasseur de l'appel d'offres canadien, après le retrait du « Rafale » de la société française Dassault en novembre dernier. Il ne reste plus maintenant comme prétendants que le « F-35 » de Lockheed Martin, le « Super Hornet » de son concurrent américain Boeing et le « Gripen » du suédois Saab. Boeing et Saab ont déjà exprimé leurs préoccupations au sujet de la nouvelle politique en matière d'exigences industrielles, affirmant que ces changements ne profiteront pas aux contribuables et à l'industrie canadienne de l'aérospatiale et de la défense. Les entreprises devraient soumettre leurs offres l'hiver prochain et le contrat final doit être signé en 2022 ; le premier avion ne sera pas livré avant au moins 2025. Les gouvernements fédéraux successifs s'emploient à remplacer les CF-18 depuis plus de dix ans. Selon le porte-parole conservateur en matière de défense, James Bezan, le retrait d'Airbus prouve que le gouvernement libéral a mal géré tout ce dossier pendant son mandat — notamment en attendant quatre ans avant de lancer l'appel d'offres promis en campagne électorale en 2015. « Alors que d'autres pays ont choisi des avions de combat en moins de deux ans, le bilan du premier ministre Justin Trudeau en matière d'achats militaires en est un de retards et d'échecs », a estimé M. Bezan. Le gouvernement conservateur précédent avait annoncé en 2010 un plan pour acheter des F-35 de Lockheed Martin sans appel d'offres, mais il y a renoncé deux ans plus tard à la suite de préoccupations concernant les coûts et les capacités de ce chasseur furtif. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201908/30/01-5239279-airbus-se-retire-de-la-course-pour-remplacer-les-cf-18-canadiens.php

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    June 3, 2019 | Local, Land

    Rheinmetall rolls out robot rescue vehicle at CANSEC 2019

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN Rheinmetall has rolled out at CANSEC 2019 in Ottawa a rescue model of its “Mission Master” robotic vehicle. The vehicle gives soldiers the ability to evacuate casualties over long distances either autonomously or via remote control. The rescue robot vehicle comes equipped with two basket stretchers with sliding provisions, head and foot immobilizers, oxygen masks and canisters, a monitor defibrillator, and other medical gear. All of these items would be impossible for a medic to carry on foot, Rheinmetall points out. Troops can operate the Mission Master from near or far using autonomous navigation. While transporting a wounded soldier using the system's stretcher, for example, accompanying medics can use the vehicle as a workstation to administer emergency care. Using the “follow me” function, the rescue robot can roll alongside other soldiers, who are busy making sure that the surrounding area is safe and secure, the company noted. “In both “follow me” and autonomous navigation modes, the Mission Master significantly relieves cognitive and physical stress, allowing troops to deal with the mission at hand,” according to Rheinmetall. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/rheinmetall-rolls-out-robot-rescue-vehicle-at-cansec-2019

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