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March 25, 2020 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

Appel à idées : Formulaire en ligne et précisions des critères

INNOVONS SANS PERDRE DE TEMPS

Face à la situation sanitaire unique que nous vivons tous dans nos vies personnelles, professionnelles, sociales, nous avons lancé un appel à idées la semaine dernière. Nous avons déjà reçu des dizaines de demandes en quelques heures, preuve de l'intérêt et de l'implication de tous. C'est extraordinaire, merci beaucoup.

À des fins d'efficacité, nous mettons en ligne un simple formulaire afin que les analyses, la qualification et la transmission vers le Ministère de l'Économie et de l'Innovation soient encore plus rapides. Nous ne voulons pas perdre de temps.

Aussi, nous désirons vous préciser les priorités et les critères.

LES PRIORITÉS SONT (par ordre d'importance) :

  1. Projets avec impact le plus direct possible sur la santé, des technologies médicales reliées au diagnostic ou au traitement de nos concitoyens.
  2. Innovations utiles aux institutions et cliniciens sur la ligne de front de la lutte contre la pandémie, soit des solutions d'optimisation d'efficience et multiplication d'impact.
  3. Solutions permettant aux travailleurs et entreprises de mieux s'adapter aux nouveaux défis et contexte auxquels ils font face en ces temps difficiles.


LES CRITÈRES D'ANALYSE SONT :

  • la pertinence et ampleur des retombées et des résultats attendus vs les ressources requises;
  • les chances de succès à relativement court terme;
  • la qualité du ou des organisations porteuses du projet;


Les demandes qualifiées seront par la suite envoyées au Ministère de l'Économie et innovation pour analyse. Encore merci de votre aide et de votre mobilisation.

FORMULAIRE

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  • Davie aims to replace Canadian Coast Guard's entire icebreaker fleet

    July 3, 2018 | Local, Naval

    Davie aims to replace Canadian Coast Guard's entire icebreaker fleet

    Kevin Dougherty Shipbuilding firm will start work on icebreaker conversion this summer Chantier Davie Canada Inc., the country's largest shipbuilding firm, is gunning for contracts to build new icebreakers for the Canadian Coast Guard. "Given the age of the Canadian Coast Guard fleet, the entire icebreaker fleet will need to be replaced in the near future," says Alex Vicefield, CEO of Inocea Group, which has owned Davie since 2012. "We have every intention of submitting a world-class proposal together with global leaders in icebreaker design." Until then, Davie, located across the river from Quebec City in Lévis, is in the home stretch of negotiations with the federal government to convert three surplus commercial icebreakers for the Canadian Coast Guard. Under its new management, Davie has made its mark in the industry by turning surplus ships into lower-cost solutions. The first converted icebreaker will be ready in time for the 2018-2019 ice season on the St. Lawrence and Great Lakes. However, when it comes to building new ships, there remain doubts about Davie's ability to deliver at a competitive cost. Canadian ships cost 'twice as much' Marc Gagnon is director, government affairs and regulatory compliance for the Montreal-based Fednav, which operates a fleet of nearly 100 ships. Fednav buys its ships in Japan because, Gagnon says, Canadian-built ships cost "at least twice as much." "Davie no longer has the capacity to build an icebreaker or a frigate," Gagnon said. "To do so, they would have to re-equip their shipyard." Vicefield said Davie is aware of the challenges ahead and has invested $60 million to upgrade its steel-cutting and IT infrastructure. The University of British Columbia's Michael Byers, who argues that Ottawa's current shipbuilding strategy is too costly and needlessly slow, says building government ships in Canada makes sense and Davie is definitely up to the task. "For every $100 million that is spent on building a ship in Canada, you would get several times more than that in terms of knock-on economic activity," Byers said. "And Davie is the logical place to do it. They have a very large shipyard. They have a very capable workforce. The labour costs are relatively low and it's an active shipyard." Asterix 'very impressive' Last year, before Ottawa agreed to sit down with Davie to discuss the icebreaker conversions, Davie delivered the Asterix — a container ship converted into a supply ship for the Royal Canadian Navy — on time and on budget. ​In 2015, when the navy's existing two supply ships were no longer seaworthy, Vicefield and his team proposed converting the Asterix to a naval supply ship for about $600 million. "What they did with the Asterix was very impressive," Byers said. "There is no other shipyard in Canada that could have done that." In comparison, Vancouver-based ​Seaspan was chosen to build two new navy supply ships for $2.6 billion. But the first new supply ship will only be ready in 2020. "This is a cutthroat business and there is a lot of money involved and a lot of politics involved," Byers said. "Davie has the capacity and the experience to build icebreakers, plus they have the lowest costs in terms of labour of any shipyard in the country," he said. The Canadian Coast Guard has an aging fleet of 13 ice-breaking vessels and two hovercraft. Ice still a hazard to navigation Canada's oldest and largest icebreaker, the CCGS Louis S. St-Laurent, was commissioned in 1969. It was to be replaced in 2017 by the CCGS John G. Diefenbaker. But from the initial estimate of $720 million, the Diefenbaker is now expected to cost over $1.4 billion, with delivery in 2022. To meet Ottawa's need for "interim icebreakers," Davie found four icebreakers built for oil and gas drilling off the coast of Alaska that were idled when oil prices fell, putting an end of Shell's Arctic venture. Prime Minister Justin Trudeau agreed to negotiations with Davie to acquire the three smaller ice-breaking vessels, leaving aside the larger Aiviq. With no other shipyard matching Davie's proposal, the conversion work will begin this summer. https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/davie-coast-guard-icebreakers-canada-vicefield-byers-gagnon-1.4730332

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    January 21, 2024 | Local, Aerospace

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    In a degraded environment, Exercise Mobility Guardian gave AN RCAF airlift detachment the opportunity to test concepts of operations and Strengthen interoperability in a region CC-130Js and CC-150s rarely train.

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    August 27, 2020 | Local, Aerospace

    Remplacement des CF-18: une occasion d’économiser et de répondre aux Américains

    OPINION / L'avion qui doit enfin remplacer nos CF-18 devrait être choisi dans les prochaines semaines. Débuté en 1997 (!), ce processus devrait permettre à nos Forces aériennes de recevoir leurs premiers nouveaux appareils à partir de 2025. Trois aéronefs sont en lice : le F-35 A de Lockheed-Martin, le F-18 E de Boeing, dit le Super Hornet, et le JAS 39 de SAAB, dit le Gripen. Mais comment les départager ? Tout d'abord, rappelons que chacun de ces trois appareils répond aux exigences de nos Forces aériennes. Le gouvernement évalue les trois possibilités selon les critères suivants : 60 % pour les performances/caractéristiques techniques des avions, 20 % pour les coûts et 20 % pour les retombées économiques au Canada. En ce qui a trait aux performances/caractéristiques, le F-35 est le seul des trois qui soit « furtif », c'est-à-dire qu'il est pratiquement invisible pour les radars ennemis. Par contre, son rayon d'action sur réservoirs intérieurs est limité et avec des réservoirs extérieurs, il perd beaucoup de sa furtivité. Étant l'appareil le plus récent, c'est celui qui dispose des systèmes électroniques les plus modernes. En fait, la principale faiblesse du F-35 réside dans le fait qu'il s'agit d'un avion extrêmement capricieux, qui est affecté par un nombre incroyable de problèmes techniques, dont plusieurs sont toujours non résolus à ce jour. Il en résulte qu'en moyenne, au moins 50 % des F-35 livrés ne peuvent voler, étant en révision/réparation. Ce taux de non-disponibilité est l'un des plus élevés de tous les avions militaires existants et on questionne fortement la capacité réelle de cet avion à livrer ses performances théoriques. Un bon exemple de cela est que, lors du dernier spectacle aérien de Bagotville, un des deux F-35 américains (qui n'ont pourtant présenté que deux courtes démonstrations de 15 minutes) est tombé... en panne ! Au niveau des performances/caractéristiques, le Super Hornet est supérieur à nos CF-18 actuels, mais inférieur au Gripen, qui est plus fiable que les deux autres. Cet appareil est aussi le plus rapide des trois, le plus maniable, celui qui a le meilleur rayon d'action et est le meilleur en termes de combat aérien. Par contre, la capacité du Gripen d'opérer avec les autres avions américains est questionnée. Pourtant, cet avion effectue régulièrement des missions conjointes avec ceux des autres pays de l'OTAN et il a été déclaré admissible à tous les appels d'offres de remplacement des CF-18. De plus, comme son coût d'acquisition/utilisation est de loin le plus bas des trois avions en lice, cela permet d'envisager que même en y ajoutant des frais d'adaptation au système d'interopérabilité du NORAD, il demeurera bien plus abordable que les deux autres. Au niveau financier, voici le coût total, par heure de vol, des trois appareils en dollars canadiens : le F-35, 58 300 $, le Super Hornet, 17 800 $ et le Gripen, 10 500 $ (source Aviatia). L'avion suédois est donc près de six fois moins coûteux que le F-35... Au niveau des retombées économiques au pays, le Canada est déjà un « partenaire industriel » du programme F-35. Cela signifie que plusieurs entreprises canadiennes (et québécoises) sont qualifiées comme fournisseur, à raison d'environ 2,6 millions $ par appareil. Au total, il a été estimé que 325 emplois seront ainsi créés au Canada (soit 9500 personnes/années en 30 ans). Le ministère de la Défense du Canada a affirmé à plusieurs reprises que faire partie du programme industriel F-35 ne nous oblige pas à acquérir obligatoirement cet avion. Cependant, en termes de retombées économiques canadiennes, il est utile de rappeler que depuis 2009, le F-35 est considéré par les Américains comme un appareil à technologie « sensible ». Cela signifie qu'une bonne partie de l'entretien qui est actuellement réalisé par nos militaires à Bagotville et à Cold Lake, ainsi que par l'entreprise qui a pris la suite de Bombardier à Montréal pour les CF-18 actuels, sera réalisé aux États-Unis dans le cas du F-35. Environ 2500 militaires et civils sont actuellement employés au Canada à l'entretien des avions de chasse. Combien perdront leurs emplois, notamment ici dans la région, si le F-35 est choisi ? De plus, durant les 30 ou 40 ans où nous utiliserons le F-35, les Américains ne pourraient-ils par augmenter sensiblement ces coûts d'entretien une fois que nous serons dépendants d'eux ? Pour le Super Hornet, le même niveau de retombées économiques qu'avec l'actuel CF-18 est à prévoir, alors que le fabricant du Gripen a déjà annoncé que, contrairement au F-35 ou au Super Hornet, il s'engage à le produire dans une nouvelle usine au Canada. Bien que théoriquement supérieur, le F-35 est donc un choix prohibitif en termes de coûts et hasardeux au niveau de la fiabilité ou du nombre d'emplois en entretien qui seront perdus au Canada. Le Super Hornet est un choix performant, beaucoup moins cher et plus fiable que le F-35. Le Gripen est de loin l'avion qui répond le mieux à nos besoins, au moindre coût et avec la fiabilité maximale. En terminant, souvenons-nous que le Super Hornet est fabriqué par Boeing, la même compagnie qui a réussi à faire imposer des droits compensatoires de 219 % aux Série C de Bombardier destinées aux États-Unis. Cela a précipité la chute de la division aéronautique du fleuron québécois, tout en lui faisant perdre sept milliards $ (dont deux provenaient du gouvernement du Québec). Le Gripen de SAAB est d'origine européenne. Ne pas toujours être dépendant des Américains, ça aussi, c'est défendre la souveraineté du Canada! Roger Boivin Président de Groupe Performance Stratégique https://www.lequotidien.com/opinions/carrefour-des-lecteurs/remplacement-des-cf-18-une-occasion-deconomiser-et-de-repondre-aux-americains-7015f0786a4fb446a03530adab548da5

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