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September 18, 2023 | International, Aerospace

Anyone seen my F-35? US searches for fighter jet after mishap | Reuters

The U.S. military said on Monday it was still searching for an F-35 fighter jet after a mishap on Sunday near an air base in South Carolina and has asked for the public's help locating it.

https://www.reuters.com/world/us/anyone-seen-my-f-35-us-searches-fighter-jet-after-mishap-2023-09-18/

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  • Les cinq beautés cachées du traité d’Aix-La-Chapelle

    January 22, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Les cinq beautés cachées du traité d’Aix-La-Chapelle

    (B2) Passées quelques généralités, il faut lire attentivement le traité d'Aix-la-Chapelle. Celui-ci recèle quelques beautés cachées qui méritent une attention, notamment en matière de défense et de diplomatie La salle du couronnement de l'Hôtel de ville d'Aix-la-Chapelle, qui accueille ce mardi (22 janvier) la Chancelière Angela Merkel et le président Emmanuel Macron sous le blason de Charlemagne, qui unit le lys français à l'aigle allemand, aurait sans doute mérité un peu plus d'enthousiasme et d'explications. Tel un vieux diesel poussif, qui recrache plus de scories que d'énergie, le traité d'Aix-la-Chapelle, qui vient s'ajouter au bon vieux traité de l'Elysée de 1963, manque d'un grand projet qui pourrait faire vibrer un peu nos nations endormies. Il reste souvent limité dans son ambition, marquée par toute une série de réserves, hésitant entre l'emphase et le réalisme précautionneux, et finalement moins concret que son aîné. Mais il ne faut pas s'arrêter à un premier survol, naturellement critique. Ce texte recèle aussi plusieurs vertus qu'il importe de bien détailler. De nombreux engagements, anodins en apparence, donneront bien du fil à retordre à leurs auteurs pour être mis en œuvre jusqu'au bout. Ne pas les mettre en valeur serait une erreur. Une vertu stratégique : le couple franco-allemand dans l'Europe La première vertu stratégique de ce texte est de resituer le franco-allemand dans le contexte actuel. Il permet d'affirmer, haut et fort, combien la nécessaire coopération entre Paris et Berlin est nécessaire et utile non seulement pour les Français et les Allemands, mais aussi pour les Européens. Avec le départ du Royaume-Uni, la France et l'Allemagne restent plus que jamais les deux principales puissances de l'Union européenne, rassemblant près d'un Européen sur trois. C'est dans ce cadre que Français et Allemands situent désormais leur action et non plus seulement dans leur dialogue intuitu personae. C'est l'élément fondamental qui distingue à 55 ans de distance l'écrit de l'Elysée de celui d'Aix-la-Chapelle. « L'amitié étroite entre la France et l'Allemagne demeure un élément indispensable d'une Union européenne unie, efficace, souveraine et forte » est-il indiqué. Le mot Europe est inscrit à tous les tournants, tellement conjugué régulièrement à toutes les politiques, qu'on l'oublierait presque. Ainsi Paris et Berlin s'engagent à « renforcer leur coopération » en matière de politique étrangère, de défense ou de sécurité intérieure « tout en renforçant la capacité de l'Europe à agir de manière indépendante ». En matière de défense, ils s'engagent à la fois « à renforcer la capacité d'action de l'Europe » comme à « investir conjointement pour combler ses lacunes capacitaires » dans des projets industriels, etc. Une approche commune entre les deux armées La seconde vertu de ce texte est de mettre le curseur sur quelques difficultés qui empêchent d'avancer. Il entend ainsi jeter les bases d'une approche commune plus serrée entre les armées française et allemande. La volonté « d'instaurer d'une culture commune » est affirmée, tout comme celle « d'opérer des déploiements conjoints ». C'était déjà l'esprit du traité de l'Elysée, au moins pour la partie doctrinale. Mais on ne peut pas dire que les réalisations suivantes, notamment la création de la brigade franco-allemande, aient produit l'effet escompté. Les « doctrines » d'intervention restent différentes. Même si Français et Allemands se retrouvent souvent sur les mêmes terrains (Afghanistan, Mali...), ce sont souvent des déploiements juxtaposés (au mieux!) que des déploiements conjoints. Y arriver va nécessiter beaucoup d'efforts de part et d'autre : pour les Français il faudra être un peu plus patients et inclusifs et pour les Allemands être un peu plus volontaires et ... efficaces. C'est une vraie gageure. « Ce n'est pas facile » comme le dit Définir une politique d'armements commune Troisième ‘beauté cachée' : la mise en place d'une « approche commune en matière d'exportation d'armements ». Ce n'est pas gagné non plus. Les règles allemandes sont plus strictes que les règles françaises. Et le contexte politique national outre-Rhin est plus sensible à certaines exportations qu'en France. Mais c'est une nécessité à la fois politique et économique. Certes cette approche n'est valable que pour les « projets communs », et chaque pays restera maitre chez lui pour des projets purement nationaux. Mais, du moins pour les investissements lourds, l'investissement en commun va devenir la règle. Entre l'avion de transport militaire, A400M, les hélicoptères d'attaque Tigre ou de transport NH90, le futur char lourd, l'avion du futur (l'après Rafale) et le drone de surveillance européen (Eurodrone MALE), ils ne manquent pas. Ne pas définir une règle commune d'exportation serait mettre en péril certains projets industriels communs. Une clause de solidarité alternative Quatrième engagement : la volonté commune de défendre les frontières de l'autre s'il venait à être agressé. Les pays entendent se garantir mutuellement « aide et assistance éventuelle en cas d'attaque armée de leurs territoires ». Ce « par tous les moyens dont ils disposent, y compris la force armée ». Rien de nouveau en apparence. C'est la répétition du cadre des clauses dites de défense mutuelle ou d'assistance mutuelle prise dans le cadre de l'OTAN ou de l'Union européenne, avec toutes les limites qui s'imposent. L'assistance mutuelle ne se déclenche ainsi qu'en cas d'évènement très grave : une attaque armée, venant de l'extérieur, sur le territoire ‘européen' d'un des deux pays. Cette clause est donc surtout « symbolique et politique » ainsi que me l'a confié un haut gradé. Y voir quelque chose de totalement inutile est cependant une erreur. C'est plutôt une ‘double' assurance, qui n'aurait à s'actionner que si, pour une raison ou une autre, l'OTAN serait paralysée. En matière militaire, le superflu est parfois nécessaire... Militer pour une réforme du Conseil de sécurité de l'ONU Dernière vertu du texte, défendre la revendication allemande d'avoir un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. Ce n'est pas illogique au regard du poids économique et politique de l'Allemagne. Cette avancée est cependant liée à une réforme plus globale du Conseil de sécurité des Nations unies que les deux pays s'engagent à pousser. C'est en fait un cadeau fait à la coalition au pouvoir à Berlin qui a fait de cette présence un des points clés de sa politique étrangère. Paris n'entend pas céder donc son siège permanent au Conseil de sécurité et son droit de veto. C'est un des ressorts de la puissance diplomatique hexagonale. On est là face à des contradictions de la relation franco-allemande qu'il faudra bien résoudre demain. (Nicolas Gros-Verheyde) article paru chez Euractiv https://www.bruxelles2.eu/2019/01/22/les-cinq-beautes-cachees-du-traite-daix-la-chapelle/

  • L'impact du Coronavirus pour l'Europe

    April 23, 2020 | International, Aerospace

    L'impact du Coronavirus pour l'Europe

    Au-delà du plan sanitaire, la crise du Coronavirus impacte l'ensemble des projets des Etats et vient questionner l'Europe. L'Europe questionnée. Le Sénat, à travers la commission des affaires étrangères et de la défense et des sénateurs Hélène Conway-Mouret et Ronan Le Gleut, a présenté les impacts de la crise du coronavirus sur l'Europe, sous l'angle de la défense et de la sécurité. Et le constat semble sans appel : la coopération entre les Etats européens doit être renforcée. « Le bilan de la coopération européenne est pour le moment nuancé : des coopérations bilatérales ont permis des transferts de patients du Grand Est vers des pays frontaliers [...] mais le Conseil européen du 26 mats a donné le spectacle d'Etats membres divisés, incapables de répondre rapidement à l'urgence de la situation », rapporte les deux sénateurs, en rappelant par ailleurs que des mécanismes existants permettraient une coopération accrue, à l'instar de l'article 222 du TFUE qui met en avant le principe de solidarité. Surveiller le contexte international. Cette nécessité de coopération est à analyser à la lumière du contexte international précédent la crise et renforcé par l'événement sanitaire qui touche actuellement le monde. « La crise risque en effet d'accentuer les évolutions stratégiques en cours : l'effritement de l'Europe, le désengagement américain et l'affirmation de puissance de certains Etats qui ne manqueront pas de s'emparer de la faiblesse de l'Europe pour faire avancer leurs propres intérêts », expliquent les deux sénateurs. En effet, on ne manquera pas de noter que si la crise touche violemment la grande majorité des Etats du monde, certains restent épargner, à l'instar de la Corée du Nord qui profite de l'occasion pour démontrer ses capacités militaires et mener des essais de missiles. De même, certains Etats profitent de l'absentéisme de réponse européenne pour nouer des liens précieux avec des pays du vieux continent en leur apportant une aide cruciale face à la crise. « Plusieurs acteurs et observateurs estiment aujourd'hui que la Chine et la Russie utilisent la crise sanitaire pour faire avancer leurs intérêts et renforcer leur influence. [...] Le déploiement de militaires russes en Italie, dans les zones les plus touchées par l'épidémie (Bergame) suscite des interrogations », rapportent les deux sénateurs. Rester présent en OPEX. Une autre préoccupation liée à la crise sanitaire actuelle réside dans la gestion des opérations extérieures. Une préoccupation qui touche d'autant plus la France, qui est aux premières loges au niveau européen. L'Europe « ne doit pas se détourner du reste du monde car la pandémie, si elle mobilise les esprits, ne fait pas disparaître les autres crises, et risque même de les aggraver », soulignent les auteurs. Une attention particulière doit être donnée à l'Afrique, qui souffre déjà d'importants déséquilibres économiques et d'inégalités sociales majeures, souvent à la racine des conflits qui sévissent actuellement sur le continent. Or cette situation pourrait se trouver largement accentuée par la crise du coronavirus, touchant massivement les économies des pays à travers le monde. Une accentuation des problèmes économiques et sociaux en Afrique pourrait aboutir à des désaccords internes pouvant mener à des affrontements. Retour à la case départ ? https://air-cosmos.com/article/limpact-du-coronavirus-pour-leurope-22957

  • Nammo signs strategic partnership agreement with the Finnish Defense Forces

    December 11, 2020 | International, Land

    Nammo signs strategic partnership agreement with the Finnish Defense Forces

    By Endre Lunde, December, 9 2020 Nammo and the Finnish Defense Forces (FDF) signed a new long-term strategic partnership agreement today during a brief ceremony at the Finnish Defense Command in Helsinki. The agreement is a continuation of a previous security of supply agreement between the two parties signed in 2014, and comes after the Finnish Minister of Defense approved the new agreement on 20 November “This agreement confirms the close relationship between Nammo and the Finnish government, which has existed since the formation of Nammo in 1998, and before that since our current Finnish factories were founded in the 1920s. We are as committed to Finnish safety and security as we have ever been, and this new agreement will allow us to take on an even greater role and build an even closer partnership with the Finnish Defense Forces,” said Morten Brandtzæg, President and CEO of the Nammo Group. Raimo Helasmäki, Managing Director of Nammo Lapua Oy, Nammo's Finnish subsidiary, is very satisfied with the agreement being signed. “This Strategic Partnership Agreement strengthens and supports Nammo Lapua Oy's position as a major player in domestic security of supply,” Helasmäki said. The Strategic Partnership is a multi-year agreement, and will remain be in force until further notice. The total value is expected to be about EUR 20 million per year. Nammo's history in Finland dates back to the years immediately following its independence, when what is today Nammo Lapua, Nammo Vihtavuori and Nammo Sastamala were founded to produce much-needed munitions for its armed forces. The new agreement continues this long-standing history, and covers every aspect of ammunition, explosives and propellants manufacturing in Finland, thereby ensuring a continued domestic security of supply for the Finnish Armed Forces. Finnish Defense Forces Deputy Chief of Staff for Logistics and Armaments, Lieutenant General Timo Kakkola believes the agreement will strengthen the approach and ways of working that has been developed over the past six years by Nammo and the FDF. At the same time, it represents an important step further where Nammo becomes a true strategic partner for the FDF, helping to manage the full supply chain for ammunition, an essential part of Finnish national readiness. “Our domestic ammunition and propellants industry still has a significant part to play in our security of supply, and this agreement allows us to continue its development through a long-term partnership with Nammo,” said General Kakkola. ABOUT THE AUTHOR ENDRE LUNDE, SENIOR VICE PRESIDENT, COMMUNICATIONS EMAIL endre.lunde@nammo.com TEL +4790853270 View source version on NAMMO: https://www.nammo.com/story/nammo-signs-strategic-partnership-agreement-with-the-finnish-defense-forces/

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