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January 26, 2022 | International, Aerospace

Antitrust regulators sue to block Lockheed's Aerojet acquisition

The U.S. Federal Trade Commission says Lockheed Martin's planned $4.4 billion acquisition of Aerojet Rocketdyne will raise antitrust concerns, the companies said Tuesday.

https://www.defensenews.com/industry/2022/01/25/lockheed-says-planned-aerojet-acquisition-faces-federal-antitrust-roadblock/

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  • Ce qu’est l’Europe de la défense. Ce qu’elle n’est pas

    November 7, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Ce qu’est l’Europe de la défense. Ce qu’elle n’est pas

    (B2) Alors que le serpent de mer de l'armée européenne ressurgit par la gr'ce d'Emmanuel Macron (*), il n'est pas inutile de revenir sur terre. Ce qui existe aujourd'hui ... et ce qui n'existe pas en matière de défense au niveau européen. La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC). Ou en langage commun, l'Europe de la défense. Elle n'est cependant pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Que ce soit dans le langage des pro ou des anti-intégrations européennes, cet aspect est bien souvent gommé. Or, il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Une politique nationale de défense D'un point de vue national, une politique de défense se définit tout d'abord par une autorité qui imprime sa marque et un circuit décisionnel court (comme en France avec un président de la république acteur principal) ou plus long (comme en Allemagne avec une décision du gouvernement, une approbation du parlement). Elle répond à une stratégie de défense, qui est élaborée par strates successives, en répondant à des antécédents historiques et une logique politique. Elle se développe ensuite dans un budget d'investissement d'une armée, des équipements militaires, des troupes, une logique d'action et une légitimité dans l'opinion publique qui accepte, plus ou moins, un engagement militaire intérieur ou extérieur, à risque ou non. L'Europe de la défense : un projet politique L'Europe de la défense est tout d'abord un projet politique, qui vise à affirmer la place de l'Europe dans le monde, au service d'une politique étrangère. Elle ne consiste pas ainsi à assurer la défense du territoire ni la protection des citoyens (malgré les déclarations politiques en ce sens). Elle ne procède que d'une coordination des efforts des États membres. Son circuit décisionnel repose ainsi toujours, à toutes les étapes, de l'initiative à l'approbation puis au commandement et au contrôle, sur un accord de tous les États membres, de façon collégiale. Mettre tout le monde d'accord au même moment sur un enjeu commun est un véritable ‘challenge'. Elle a comme objectif unique d'avoir une capacité d'intervention, limitée, dans des missions ou opérations de paix ou de consolidation de l'état de droit. Elle n'est pas ainsi une force d'intervention tout azimut, n'a pas de commandement militaire direct (national) ou intégré (comme l'OTAN), ni de troupes ou de forces disponibles en permanence ni en propre. Elle ne peut intervenir qu'à l'extérieur des frontières, avec le consentement des États concernés (ou au moins de leurs gouvernements) et de la communauté internationale. On est ainsi très loin des ‘fondamentaux' d'une armée européenne. Quand on met face à face ainsi les principes d'une défense nationale et ceux de l'Europe de la défense, il est inévitable que la seconde soit moins efficace que la première. On peut considérer qu'il s'agit d'une faiblesse temporaire, due aux personnalités politiques du moment. Ce peut être le cas parfois. Mais il ne faut pas minorer les faiblesses structurelles dû à un fait principal : l'Europe n'est pas un État mais une structure juridique et économique de concertation et de coopération avant tout. Si on veut donner un aperçu plus mathématique, j'ai évalué, sous forme d'une note — sur une échelle de 0 à 3 — quels points remplit l'Union européenne, une fois mis en place tous les projets évoqués ces derniers temps. On va ainsi d'une note de 0 à 3 selon les thèmes : de 0 pour les équipements et les forces disponibles à 2 pour le budget de recherche, en passant par le mode de décision et le consensus politique que je cote à 1 sur 3. Article complet: https://www.bruxelles2.eu/2018/11/07/ce-quest-leurope-de-la-defense-ce-quelle-nest-pas/

  • CISO Perspectives on Complying with Cybersecurity Regulations

    April 8, 2024 | International, C4ISR

    CISO Perspectives on Complying with Cybersecurity Regulations

    Navigating cybersecurity compliance just got easier. Our latest blog taps into the wisdom of CISOs to share strategies for managing data security requ

  • US Air Force relaunches effort to replace MQ-9 Reaper drone

    June 8, 2020 | International, Aerospace

    US Air Force relaunches effort to replace MQ-9 Reaper drone

    By: Valerie Insinna WASHINGTON — It has been eight years since the U.S. Air Force canceled its effort to field a successor to the MQ-9 Reaper, but it appears the service might take another swing at developing a new combat drone. On June 3, the Air Force issued a request for information on a next-generation unmanned aircraft with strike, intelligence, surveillance and reconnaissance capabilities, with the intent to accept delivery of the first systems in 2030 and field them in 2031. The solicitation was first reported on by Aviation Week. “With the MQ-9 platform planning for end of service life, a need to identify a solution that continues to provide for this demand is imperative,” the RFI stated. “The purpose of this RFI is to research potential solutions for the Next Generation UAS ISR/Strike platform, the Next Generation Medium Altitude UAS and potential follow-on program to the MQ-9 weapon system.” The Air Force is looking to collect market research on existing technologies as well as systems that are currently under development, with a focus on drones that incorporate advanced technologies such as autonomy, artificial intelligence, machine learning, digital engineering and open-mission systems. In addition, the service is open to attritable technologies — meaning systems that are not cheap enough to be considered expendable, but some losses are still expected in combat. “The Air Force is also interested in researching alternative ways to support future lower-end, lower-cost ISR missions which may include initiatives to modernize, augment, and/or replace existing systems,” the RFI stated. “This RFI inquires about unique and innovative practices that can deliver relevant capability efficiently, timely and at a reduced life-cycle cost.” Although the Air Force has not solidified an acquisition strategy, it intends to hold multiple competitions for the air vehicle itself, as well as its ground control systems and the suite of sensors and data exploitation technology it will use to collect and dissect information. Each technology area will be built to open-architecture standards. Responses to the RFI are due July 20. This latest effort would mark the second time the Air Force has tried to replace the MQ-9 Reaper, currently being manufactured by General Atomics. In its first attempt, known as MQ-X, the service sought to procure a more survivable combat drone that could operate in contested spaces where a Reaper cannot fly. The program was canceled in 2012. Over the years, the Air Force remained mostly quiet about what an MQ-9 replacement could look like. But in 2019, Kenneth Bray, acting associate deputy chief of staff for ISR, said the service has done a fair amount of behind-the-scenes thinking on the topic over the past three to four years. But instead of starting with requirements for the aircraft itself, Bray said the service focused on the data the system would collect and how to optimize the drone's design to to gather and use that information. “We're starting to think not from the sensor or from the platform, we're starting to think from the data and decide: Is it even collecting the right size data, or do I need to have different sensors on those platforms?” he told Defense News. “Are those platforms even relevant anymore, or do I need a different platform because what I need is this type of data, and only this type of platform can get me that type of data? That is how we're going to change our thinking.” In March, Will Roper, the Air Force's top acquisition official, said the service is working on a study that will inform the fiscal 2022 budget and lay out a path for replacing the MQ-9 Reaper. Finding a single replacement to fill the MQ-9′s strike and surveillance mission is unlikely, Roper said, as the service wants to be able to operate in all environments without solely relying on exquisite, pricey systems. The service may need a family of systems that includes high-end, military-specific drones as well as cheaper UAVs that could be sourced from the commercial unmanned systems market, he said. https://www.defensenews.com/air/2020/06/04/the-air-force-is-looking-for-a-next-gen-replacement-to-the-mq-9-reaper-drone/

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