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June 13, 2019 | International, Other Defence

Northrop Grumman awarded $958M contract for radar system

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The Marine Corps awarded Northrop Grumman a $958 million contract for an advanced radar system that will aid in air defense.

The system, the Gallium Nitride-based (GaN) AN/TPS-80 Ground/Air Task-Oriented Radar known as G/ATOR, is a multi-mission radar that provides real time, 360-degree situational awareness to identify and track missiles, manned and unmanned aircraft vehicles, rockets, mortars, and artillery fire.

The Corps first received the system in July 2018. This contract will provide an additional 30 units.

“G/ATOR is a crucial capability that protects our warfighters and defends against today's threat environment and the threat environment of the future,” Christine Harbison, vice president, land and avionics C4ISR, Northrop Grumman, said in a press release. “We are excited to reach the full-rate production decision and continue providing advanced multi-mission functionality that meets our customer's mission needs, protects the warfighter in a rapidly changing threat environment, and has significant margin for capability growth.”

The G/ATOR is expected to eliminate five systems, which will in turn reduce training, logistics and maintenance costs.

The need for this system stems from the shift in necessary air defense as ballistic missile threats are rising.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/2019/06/12/northrop-grumman-awarded-958m-contract-for-radar-system/

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  • US Navy awards $43M contract for autonomous supply chain management

    November 9, 2020 | International, Naval

    US Navy awards $43M contract for autonomous supply chain management

    Andrew Eversden WASHINGTON — The U.S. Navy awarded a $42.6 million contract for autonomous supply chain management to One Network Enterprises, the company announced Nov. 4. Under the award, One Network Enterprises will work on modernizing the Navy's Naval Operational Supply System, an end-to-end supply chain management solution that supports maritime, aviation, expeditionary and shore support units. Through the NOSS solution, the Navy is modernizing legacy systems and applications to develop an integrated system that tracks all the commodities in its supply chain, including munitions; parts and repairables; medical supplies; petroleum, oils and lubricants; food and food preparation; and hazardous material. Under current capabilities, individual commodities are managed by multiple systems, according to the company news release. One Network will manage and support all commodities through a single, global federated system, the release said. “The confidence that the Navy has entrusted to One Network is another proof point regarding the capabilities of our multi-party network platform,” said David Stephens, executive vice president and general manager of government programs at One Network Enterprises. “The Navy will benefit from a modernized global platform that will never go legacy, supporting both ashore and afloat capabilities. “In addition, One Network's federated platform-to-platform integration enables the Navy with a Delayed/Disconnected, Intermittently Connected, Low Bandwidth Environment (typically referred to as D-DIL), which is ideal for deployed operations afloat. We look forward to providing a truly global and mobile One Network solution operating on all Navy ships and submarines with access from every shore-based location while working in both unclassified and classified environments.” The contract was awarded through the other transaction authority process. The company also recently won a $62 million contract with the Air Force to help configure its Master Data Management business processes to support the service's logistics portfolio. https://www.c4isrnet.com/it-networks/2020/11/06/us-navy-awards-43m-contract-for-autonomous-supply-chain-management

  • Boeing Gets $862M Super Hornet Full-Rate Production Contract Modification

    June 12, 2018 | International, Aerospace, Naval

    Boeing Gets $862M Super Hornet Full-Rate Production Contract Modification

    The U.S. Navy has awarded Boeing (NYSE: BA) a two-year, $862.2 million contract modification to fund the full rate production of lot 42 Super Hornet multirole aircraft. Boeing will produce 15 units of the F/A-18E variant and and 3 of the F/A-18F variant for the service branch under the modified contract, the Defense Department said Friday. The company also received a $73.2 million indefinite-delivery/indefinite-quantity contract in late February to update four F/A-18E/Fs in an effort to extend the aircraft's operational service life. Super Hornet's E and F versions are designed to operate in various tactical missions such as strike, fighter escort, close air support, reconnaissance, forward air control, tanker and suppression of enemy air defenses. https://www.govconwire.com/2018/06/boeing-gets-862m-super-hornet-full-rate-production-contract-modification/

  • AIR2030: A la rencontre du consortium Eurofighter et du Typhoon (3/5)

    October 25, 2018 | International, Aerospace

    AIR2030: A la rencontre du consortium Eurofighter et du Typhoon (3/5)

    Alexis Pfefferlé Que produire en Suisse ? Mercredi 17 octobre 2018, 0800, Lausanne. Troisième journée BtoB et troisième introduction du Président du Groupe romand pour le matériel de Défense et de Sécurité (GRPM). « On ne vient pas en Suisse pour produire des choses simples et pas chères, on vient produire en Suisse des biens complexes ou pour dépasser des challenges techniques » C'est direct mais le ton est donné. Pour détendre l'atmosphère, l'introduction est ponctuée par une petite plaisanterie bienvenue car, on le sait bien à Berne, le rire, c'est bon pour la santé. D'European Fighter Aircraft à Typhoon Troisième journée BtoB et dernier avion européen en lice pour le programme AIR2030, l'Eurofighter-Typhoon. Produit d'une coopération unique en Europe et dans le monde, l'Eurofighter –Typhoon est un biréacteur de 4ème génération + né du souhait, au début des années 80, de plusieurs pays de fabriquer en coopération un avion multi-rôles européen dans un contexte de guerre froide. Partenaire au début, la France quitte rapidement le programme en 1985 pour développer son propre chasseur, le Rafale, lequel a fait l'objet de la journée BtoB du 16 octobre dont le compte rendu est disponible ici. Les « Eurofighters » ont tour à tour pris différents noms, d'abord EFA (European Fighter Aircraft) puis Eurofighter, puis Eurofighter 2000 pour enfin prendre le nom d'Eurofighter Typhoon. L'exemple de la coopération européenne et industrielle La présentation du jour se veut ambitieuse. En effet, l'Eurofighter Typhoon est aujourd'hui produit par un consortium industriel composé de quatre entreprises principales rattachées au quatre pays piliers du programme, AIRBUS pour l'Allemagne, BAE SYSTEMS pour le Royaume-Uni, LEONARDO pour l'Italie et EUROJET pour l'Espagne. Les différents pays / industries se partagent la production selon les investissements de leur pays dans le programme. Nous avons donc 33 % pour l'Allemagne, 33 % pour le Royaume-Uni, 21 % pour l'Italie et 13 % pour l'Espagne. Les quatre sociétés vont se succéder sur scène en l'espace d'une petite heure. Nous démarrons avec une introduction par le représentant d'AIRBUS. La force du programme Eurofighter c'est l'expérience industrielle et la coopération maitrisée. Les chiffres sont impressionnants : 623 avions commandés dont près de 500 actuellement en utilisation dans 5 forces aériennes européennes, 9 pays utilisateurs au total, 100'000 places de travail et plus de 400 sociétés impliquées dans 180 lieux de production différents. Toutefois, comme pour le Rafale, l'Eurofighter Typhoon est un programme mature avec peu ou pas de place pour une compensation directe dans le cadre du programme lui-même. Cependant, le consortium a fait ses devoirs avant de venir en Suisse et les exemples de coopération possibles ne vont pas manquer. Les quatre piliers On enchaine donc avec LEONARDO. Le groupe italien a décidé de mettre l'accent sur son expérience en matière d'affaires compensatoires. En chiffres, LEONARDO c'est 40 ans d'expérience dans les affaires compensatoires dans près de 30 pays, 100 projets en cours dans 12 pays différents et près de EUR 3mia à compenser dans les 15 prochaines années. Pour LEONARDO, l'EUROFIGHTER en Suisse c'est prendre part à un grand projet européen et pouvoir s'offrir un accès privilégié au marché international au travers des entreprises qui composent le consortium. C'est au tour du représentant de BAE SYSTEMS d'intervenir. Il insiste sur la taille du groupe, 3ème mondial, plus de 80'000 employés dans 40 pays et 80 pays clients. Pour son représentant, le groupe peut ouvrir à la Suisse les portes de marchés très intéressants comme les Etats-Unis ou le Golfe. BAE SYSTEMS met en avant les domaines du groupe à forte croissance et dans lesquels la Suisse pourra jouer un rôle de premier plan : Le cyber, l'électronique, surtout dans le domaine civil/commercial avec AIRBUS, et l'espace. Avec « la nouvelle philosophie suisse en matière de satellites » (petits satellites utilisés en réseaux) ils viennent chercher chez nous la technologie du futur. Touché, l'assemblée est flattée. Nous passons sans transition à l'espagnole EUROJET. Pour son représentant, la force d'EUROJET c'est sa capacité à travailler en équipe. EUROJET travaille sur l'EUROFIGHTER, l'A400 ou encore l'hélicoptère tigre, ces projets ont apporté au groupe l'expérience de la coopération internationale et de la coordination. Intégrer la Suisse ne sera pas un problème nous dit-on. S'en suit une présentation technique du moteur de l'Eurofighter. Comme mes voisins, je ne comprends pas tout mais je crois comprendre que pour son créateur, c'est un excellent moteur. Après cet interlude technico-ibérique, c'est au tour du représentant d'AIRBUS de conclure. En premier lieu quelques chiffres sur le groupe : EUR 59mia de chiffre d'affaire en 2017, 12'000 sous-traitants qui se partagent EUR 50 mia de commandes et 129'442 employés. Précis, allemand, efficace. Il précise qu'AIRBUS a 7'265 avions en commande dont 1'019 commandés en 2017. Vous cherchez un partenaire solide et pérenne ? Vous l'avez trouvé. En second lieu, comme pour BAE SYSTEMS, le représentant d'AIRBUS confirme que les secteurs qui montent et dans lesquels ils cherchent des partenaires sont le cyber, l'espace, l'urban mobility ou encore les drones. Autant de secteurs qui, très justement, aiguisent depuis quelques années l'appétit de l'industrie suisse et des EPF. Enfin, et c'est le premier constructeur à le soulever, AIRBUS souligne que remplir CHF 6mia en offset c'est une t'che difficile. Les partenaires d'EUROFIGHTER ne veulent pas acheter pour acheter ou simplement faire leur marché. La présentation se conclut en ces termes : Le consortium souhaite une vraie collaboration bilatérale avec la Suisse (!). L'Europe n'aura de cesse de nous surprendre. https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/22/air2030-a-la-rencontre-du-consortium-eurofighter-et-du-typhoon-3-5/

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