December 31, 2024 | International, C4ISR, Security
KULR Technology partners with US Army for helicopters vibration reduction study
KULR Technology Group has a collaboration with the US Army to conduct an evaluation of its KULR VIBE system.
November 24, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security
Supply chain problems have hit all sides of the defense industry in unexpected ways -- and small businesses with narrower profit margins are particularly worried about how they can weather this storm.
December 31, 2024 | International, C4ISR, Security
KULR Technology Group has a collaboration with the US Army to conduct an evaluation of its KULR VIBE system.
January 28, 2019 | International, Aerospace
Par : Nicolas Gros-Verheyde | EURACTIV France La Slovaquie, la Roumanie, et bientôt la Bulgarie et la Croatie : les avions de chasse américains séduisent toute l'Europe. Pour les armées européennes, voler non américain se fait rare. Seuls six pays n'ont pas équipé leur flotte aérienne de chasse avec du matériel américain. La Suède et la France s'équipent uniquement en national (respectivement le Gripen et le Rafale), et l'Allemagne avec du matériel européen certes (Eurofigther), mais fabriqué sur son sol. Tandis que l'Autriche, la République tchèque et la Hongrie se sont équipées, le premier, en Eurofighter, les deux autres, en Gripen suédois. Un équipement made in US ou panaché Plusieurs pays, notamment dans le sud de l'Europe (Espagne, Grèce, Italie) ont choisi de panacher, prenant un produit européen (Eurofighter ou Mirage) et un produit américain (F-16 ou/et F-35). Un exemple suivi par le Royaume-Uni. Bien que fervente défenseure du lien transatlantique, la Royal Air Force équilibre ses achats entre le made in USA (F-35) et le made in Europa (l'Eurofighter renommé Typhoon outre-Manche). Un pragmatisme qui a un fondement très industriel. Une partie de ces avions sont fabriqués dans les usines britanniques. Les pays d'Europe centrale ou orientale, proches de la Russie sont plus monogames. Sauf les trois exceptions mentionnées (Autriche, Hongrie, Tchéquie), ils s'équipent exclusivement en matériel américain, en général avec des avions F-16 (Lockheed Martin). Il en est de même des pays du nord de l'Europe (Norvège, Danemark, Pays-Bas, Belgique) tous équipés en matériel américain. La tendance ne s'inverse pas Aucun signe ne montre une inversion de tendance. Au contraire ! Les derniers pays qui viennent de s'équiper (Belgique, Roumanie, Slovaquie) l'ont fait avec du matériel américain. Et les Bulgares et Croates s'apprêtent à suivre ce chemin. Tandis que les Grecs qui vont devoir renouveler leur flotte se t'tent pour déterminer leur choix, qui sera largement guidé par le poids économique de l'investissement. Même les Suisses, équipés actuellement de F-18 de chez Boeing,, se demandent s'ils ne vont pas reprendre américain à nouveau. Cette prééminence américaine pose un défi à l'industrie européenne, et à la velléité d'autonomie stratégique et industrielle des « 27 ». L'équipement en avion de chasse est, en effet, un investissement lourd. Le renouvellement n'intervient que tous les 20 ans en cas d'achat d'occasion, et à 40 ans en cas d'achat en neuf. Autant dire que les acquisitions prévues aujourd'hui vont réduire d'autant les capacités de l'industrie européenne jusqu'à 2060 minimum ! D'autant que l'arrivée de l'avion américain de nouvelle génération F-35 dans la flotte de plusieurs États (Belgique, Danemark, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni) risque de « siphonner » durablement les budgets de ces pays. Le futur avion franco-allemand-espagnol prévu pour 2035-2040 risque d'avoir un marché « bouché » et réduit à l'espace de ses pays constructeurs. Cette inconséquence européenne est troublante. Mais plutôt que d'accuser les États-Unis d'interventionnisme industriel, les Européens devraient se regarder dans le miroir. L'industrie aéronautique européenne est aujourd'hui éclatée entre trois constructeurs (Airbus, Dassault, Saab). Ce qui l'empêche d'avoir un modèle unique et donc de faire des économies d'échelle. Elle ne dispose pas d'une offre de « second choix », les fameux F-16 d'occasion, qui permet de s'équiper à moindre coût. Et les pays européens sont incapables de proposer une offre complète, politique, économique, académique et opérationnelle, comme le font les Américains. Offre qui va de l'accueil des stagiaires officiers dans les écoles militaires aux facilités financières pour l'équipement, à la présence militaire, parfois permanente, dans le pays, à titre de réassurance politique. Or, acheter un avion de chasse est une décision éminemment stratégique. Il ne s'agit pas seulement d'acquérir un véhicule aérien avec des capacités. On achète une « assurance-vie » et une protection militaire. Et on assure ainsi à cet allié un « retour » sur l'investissement politique et militaire. On bénéficie d'une culture stratégique et d'un réseau académique puissant. Tant que les Européens ne pourront offrir l'équivalent, l'avion de chasse, made in US, a de beaux jours devant lui. https://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/les-europeens-achetent-de-plus-en-plus-davions-de-chasse-americains/
September 9, 2020 | International, Aerospace
Nathan Strout WASHINGTON — The U.S. Space Force can now collect critical weather data from a repurposed government satellite, the armed service announced Sept. 8, ensuring that war fighters have an accurate picture of what's happening over the Indian Ocean. The Space Force declared initial operational capability of the Electro-optical Infrared Weather System Geostationary satellite, a former National Oceanic and Atmospheric Administration weather satellite known as GOES-13. The EWS-G1 satellite will now provide cloud characterization and theater weather imagery of the Indian Ocean region to the Department of Defense, filling a critical gap between the end of the Defense Meteorological Satellite Program and the launch of a new constellation of weather satellites operating in low Earth orbit. “EWS-G1 is a prime example of innovation and the leveraging of partnerships. SMC partnered with NOAA and NASA to deliver critically needed Geostationary visible and infrared cloud characterization and theater weather imagery in the Indian Ocean region. This effort demonstrates speed by allowing the spacecraft to be moved and operated in the Indian Ocean region far earlier than a new satellite could be produced and fielded,” said Charlotte Gerhart, the Space and Missile Systems Center's Production Corps Low Earth Orbit Division chief. “The repurposing of GOES-13, and residual NOAA ground equipment, accomplished the mission at a fraction of the procurement cost of a brand new system.” Initially launched in 2006, GOES-13 provided weather coverage of the American East Coast for 10 years before being replaced. No longer needed by NOAA, it was transferred to the U.S. Air Force in 2019. It was then relocated to its new position, where NOAA and the Space Force completed a thorough review of the satellite and its sensors. The satellite is currently providing weather data to the DoD, although the NOAA will continue to operate it on behalf of the Space Force. https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/space/2020/09/08/space-force-now-using-repurposed-noaa-satellite-for-weather-data/