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  • La Fabrique Défense s’ouvre à l’Europe

    1 février 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    La Fabrique Défense s’ouvre à l’Europe

    La Fabrique Défense se veut le « rendez-vous de référence de l'ensemble des acteurs de l'écosystème de la défense », a expliqué la ministre des Armées Florence Parly lors de sa visite le 28 janvier en ouverture du salon à Paris. Il constitue un événement visant à participer au développement d'une culture européenne en matière de défense, notamment auprès des jeunes Européens. Outre le salon en lui-même, l'édition 2021-2022 a permis d'organiser une centaine d'événements en France et dans 20 autres pays européens autour de la question. A cette occasion, de nombreux acteurs (institutionnels, universités, associations, entreprises, think tanks, etc.) ont été associés pour organiser ces rendez-vous, autour de 136 stands répartis en 13 espaces thématiques. Outre les stands, un programme riche de tables rondes et de témoignages professionnels a permis aux visiteurs de découvrir les grands enjeux de la défense. Des espaces animations avec notamment des Serious Games (wargames, simulateurs de vol, etc.), et des démonstrations extérieures (drones) étaient également proposées. Au moment où la filière recrute, le GIFAS était présent, aux côtés de l'armée de l'Air et de l'Espace et des industriels du secteur. Cet espace avait vocation à présenter au public la contribution de l'industrie aéronautique et spatiale à la Défense et ses nombreuses opportunités de métiers et d'emplois.

  • Tigre, drones, MGCS, munitions : les priorités capacitaires de l'armée de Terre

    1 février 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Tigre, drones, MGCS, munitions : les priorités capacitaires de l'armée de Terre

    DÉFENSE Tigre, drones, MGCS, munitions : les priorités capacitaires de l'armée de Terre L'armée de Terre se prépare pour être apte à s'engager dans tous les conflits, jusqu'à l'affrontement majeur. Elle travaille ainsi à l'acquisition de nouvelles capacités et à la modernisation de ses systèmes d'armes. « Nous sommes au début de la modernisation du segment médian », souligne le général Hervé Gomart, major général de l'armée de Terre. L'armée de Terre compte sur le respect de la LPM (loi de programmation militaire) 2019-2025, qui prévoit entre 2023 et 2025 l'augmentation des crédits pour les armées de 3 Md€ par an. La France travaille aussi, avec l'Espagne, à la modernisation du Tigre, l'hélicoptère de combat, qui équipe les armées françaises, allemandes et espagnoles. De son côté, le char du futur franco-allemand (MGCS) avance sous les radars. Le CEMAT vient de valider un document de concept exploratoire portant sur l'emploi de ce futur système d'armes franco-allemand (Main Ground Combat System), sur lequel la France attend un retour de la partie allemande. Enfin, l'armée de Terre veut revenir à la pointe en matière de drones : « Toutes les unités doivent savoir se servir d'un drone » pour aller au combat, a expliqué le général Hervé Gomart. L'armée de Terre devrait disposer de 3 000 drones en 2023, dont le drone Patroller (de Safran) qui doit entrer en service cette année. En revanche, elle n'a « pas un stock suffisant de munitions » pour mener un combat de haute intensité dans la durée, a admis le général Gomart. La Tribune du 31 janvier

  • Electric Boat readies to deliver attack sub Oregon, almost two years after last delivery

    26 janvier 2022 | International, Naval

    Electric Boat readies to deliver attack sub Oregon, almost two years after last delivery

    Electric Boat is weeks from delivering attack submarine Oregon, about 16 months after Oregon was originally due and nearly two years after the shipyard delivered its last submarine.

  • Department of Defense labs face $5 billion infrastructure shortfall

    26 janvier 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Department of Defense labs face $5 billion infrastructure shortfall

    The Pentagon's innovation steering group will brief Congress this month on the details of the funding gap.

  • Defense industry frets as funding talks crawl

    26 janvier 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Defense industry frets as funding talks crawl

    Despite repeated warnings from lawmakers and uniformed Pentagon leaders that a full-year continuing resolution will hurt national security, some in the defense industry are still worried that budgetary route is a possibility.

  • Following procurement cut, the Army is looking to add funding back in 2022 for aerial jamming pod

    26 janvier 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Following procurement cut, the Army is looking to add funding back in 2022 for aerial jamming pod

    The Army updated its capability document for the MFEW-Air Large system.

  • Podcast: Sizing Up the U.S. Defense Industrial Base

    26 janvier 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Podcast: Sizing Up the U.S. Defense Industrial Base

    Despite the challenges facing companies supplying the U.S. military, analysts Byron Callan and Steve Grundman see signs of strength and evolution.

  • Tribune : « Préservons l'industrie de Défense »

    26 janvier 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Tribune : « Préservons l'industrie de Défense »

    Dans une tribune publiée par Les Echos, des élus locaux, dont, notamment, Xavier Bonnefont, maire d'Angoulême, Yann Galut, maire de Bourges, et François Cuillandre, maire de Brest, appellent à « préserver l'industrie de Défense ». Ils alertent sur le risque que représente le manque de financements : au-delà du rôle de l'Etat, le financement de l'innovation de Défense « repose aussi sur le financement bancaire, qui se réduit du fait de l'accumulation de normes internationales qui conduisent les banques et les fonds d'investissement à exclure certains secteurs, comme celui de la Défense ». Cette exclusion touche les grands groupes, mais surtout les startups, ETI et PME, observent-ils. Ils soulignent qu'« à côté de quelques groupes d'envergure internationale qui font la fierté de notre pays », la base industrielle et technologique de défense (BITD) française repose essentiellement sur des milliers de PME, ETI et TPE sur l'ensemble du territoire : « Chaque département accueille des entreprises du secteur de la Défense, soit un tissu de plus de 200 000 emplois de haute technicité, non délocalisables, qui contribuent positivement à la balance commerciale. Dans plusieurs régions, la Défense représente plus de 7% des emplois industriels ». Les élus appellent à « veiller impérativement à ne pas exclure des entreprises stratégiques qui bénéficient d'une avance technologique et sont le terreau de notre souveraineté nationale ».

  • Le projet de rapport du Centre commun de recherche (JRC) de la Commission européenne : une menace pour l’industrie de la Défense

    26 janvier 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Le projet de rapport du Centre commun de recherche (JRC) de la Commission européenne : une menace pour l’industrie de la Défense

    DÉFENSE Le projet de rapport du Centre commun de recherche (JRC) de la Commission européenne : une menace pour l'industrie de la Défense La Tribune signale que la société de gestion d'actifs spécialisée Ossiam, filiale de Natixis Investment Managers, a décidé d'intégrer à partir de cette semaine des critères ESG à la stratégie de gestion de son ETF (fonds indiciels cotés) équipondéré. Dans ce cadre, Ossiam a décidé d'exclure, notamment, les industries du secteur de l'armement. « La stratégie applique des filtres d'exclusion supplémentaires pour les sociétés de l'industrie du tabac, de l'énergie liée au charbon, et du secteur de l'armement », indique le communiqué. La société précise à La Tribune que dans la plupart de ses fonds actions, les secteurs de la défense et de l'aéronautique ne sont pas exclus. La Tribune rappelle que le Centre commun de recherche (JRC), le service scientifique interne de la Commission européenne, travaille sur la mise en place de nouveaux critères de label écologique de l'UE pour les produits financiers. Tel qu'il est proposé aujourd'hui, ce nouveau label aurait de graves conséquences sur les industries de défense européennes, qui risqueraient leur mise à l'index par les banques et les organismes financiers européens. « Il me semble majeur d'insister sur le fait qu'il n'y aura pas d'activités soutenables sur le long terme s'il n'y a pas, au préalable, des pays stables et des économies stables elles-aussi », avait expliqué le PDG de Thales, Patrice Caine, dans une interview accordée en octobre dernier à La Tribune. « Il faut bien considérer que la stabilité et la sécurité sont des prérequis à la durabilité, une réalité qui est parfaitement comprise et admise par les Américains : « No Sustainability without Stability ». Les investisseurs américains estiment qu'investir dans la défense est légitimement un investissement socialement responsable ». Six fédérations d'industriels européens de la défense - BSDI (Belgique), AFDA (Finlande), CIDEF (France), BDSV (Allemagne), NIDV (Pays-Bas) et FSi (Norvège) - ont cosigné une lettre sur la thématique des critères RSE et du financement, qu'ils ont remise auprès de leurs autorités nationales. « Il n'y a pas de durabilité sans sécurité », déclarent-elles, rappelant que l'un des rôles essentiels de la défense est « de protéger la démocratie et les libertés dans un environnement mondial très instable ». La Tribune du 25 janvier

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