7 mai 2021 | Local, Naval

WILLIAMS: Here's why Canada's shipbuilding debacle matters

Canadians are quite rightly preoccupied with coping with the COVID-19 pandemic. It affects our safety and security. Nevertheless, there is another crisis…

https://torontosun.com/opinion/columnists/williams-heres-why-canadas-shipbuilding-debacle-matters

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  • AETE must move to make room for new fighters says commanding officer

    4 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    AETE must move to make room for new fighters says commanding officer

    Kelly-Anne Riess ADJUSTCOMMENTPRINT Moving the Canadian military's Aerospace Engineering Test Establishment out of Cold Lake to Ottawa is the only way 4 Wing can grow to accommodate new fighters, says AETE commanding officer Col. Eric Grandmont, referring to feasibility studies conducted by the Air Force. He said the loss of AETE will be offset by a gain for 4 Wing. “We are planning ahead for the long-term future of Canada's fighters,” he said. “The RCAF is committed to Cold Lake and Bagotville as our fighter bases, and there will be significant investment in these areas to prepare for the arrival of the future fighters.” The new aircraft will require an expansion of 4 Wing. Facilities will need to be updated and the current AETE building, which is the newest and second largest hanger on the base, will need to be repurposed. Canada is currently in the process of purchasing 25 used fighter aircraft from Australia and buying another 88 new jets to replace the existing fleet of CF-18s. The costs for relocating AETE are included in the $470 million the Liberal government has set aside for buying the used Australian F-18 fighter jets. Grandmont said he is hoping the transition plan for AETE will be approved by this spring. The move, which would not take place before the summer of 2021, could affect one-third of AETE, which employs 166 military personnel and 22 public servants. The remainder would be reassigned elsewhere in the air force, either in Cold Lake or other military bases. “We are trying to minimize the impact on the city,” said Grandmont, adding the current plan is to stagger his staff's moves to Ottawa. He said some of the positions in question are currently vacant and, if filled, those employees would start their jobs immediately in the nation's capital instead of coming to Cold Lake in the interim. Also, some public servants currently working for AETE in Cold Lake are close to retirement and would likely choose to end their careers and stay in Alberta's north instead of moving to Ottawa. Grandmont says once the unit relocates it will augment its staff with civilian test pilots. “We are hoping to recruit retired members back to the unit once it's in Ottawa,” said Grandmont, adding that moving AETE would put the unit in a central position to service all Canadian Forces aircraft, many of which are in Eastern Canada. “Our people spend a lot of time on the road. They can be away for five or six months a year,” said Grandmont. Recently, some AETE personnel spent seven months in Petawawa, Ont. doing the work necessary to have two Chinooks available to send to Mali, where Canada has been providing emergency medical evacuation for the United Nations peacekeeping mission going on in that country. There are 19 fleets in the Canadian Air Force and only two of them are in Cold Lake—the CF-18 and the Griffon helicopters, said Grandmont. Other aircraft, like the CC-130J Hercules, CC-17 Globemaster and CC-150 Polaris are all based in Trenton, Ont. The CC-144 Challengers are in Ottawa. The CP-140 Aurora and the CH-149 Cormorants are in Greenwood, NS. The CH-148 Cyclones are in Shearwater, NS, The CH-147F Chinooks are in Petawawa, Ont. There are CC-138 Twin Otters are in Yellowknife. AETE, like all units in the Air Force, is facing a shortage of pilots. Recruiting multiengine pilots from Eastern Canada is a challenge for AETE, and a CC-130H Hercules pilot based in Winnipeg does not necessarily want to uproot his or her family to Cold Lake where his or her spouse would have limited options for employment, as well as restricted access to health care. “Although once people get to Cold Lake, they usually enjoy their time here,” said Grandmont. “It is a beautiful area.” AETE has also been losing personnel to private industry, which can offer better working conditions for experienced testers. Postmedia first revealed the proposal to move AETE in 2016. The plan first started under the Conservative government, but the Liberals continued with the relocation initiative. -With files from David Pugliese (Disclosure: The editor of the Cold Lake Sun is married to a member of AETE.) https://www.pinchercreekecho.com/news/local-news/aete-must-move-to-make-room-for-new-fighters-says-commanding-officer

  • Du plomb dans l’aile ou plutôt de la rouille sur les ailes et le moral dans les talons…

    13 février 2019 | Local, Aérospatial

    Du plomb dans l’aile ou plutôt de la rouille sur les ailes et le moral dans les talons…

    par Dave Blackburn La décision du gouvernement de Justin Trudeau de procéder à l'achat de 25 avions de combat F-18 à l'Australie est fortement discutable sur de multiples facettes. Dans quelques semaines, le Canada commencera à prendre possession de ces « nouveaux » appareils. Personnellement, je suis d'avis que notre nation est une fois de plus la risée mondiale. Quel autre pays du G7 irait dépenser 500 millions de dollars pour faire l'achat de 25 avions de combat qui ont plus de 30 ans de service ? Pourront-ils (au moins) voler de Mirabel à Cold Lake ? Le comble du comble, Radio-Canada nous apprenait que le gouvernement Trudeau considère sérieusement de rapporter au Canada ces vieux appareils à l'aide... d'un avion-cargo de type Antonov. C'est quoi le problème ? Les F-18 australiens ne sont pas en mesure de parcourir la distance entre Canberra en Australie et Mirabel au Canada ? Si cela est le cas, c'est rassurant, car ce sont ces mêmes appareils qui assureront la défense aérienne de notre pays. Pourront-ils voler de Mirabel à Cold Lake ? Si le Canada décide de rapporter les 23 avions par avion-cargo (2 avions sont déjà aux États-Unis), une fortune sera dépensée en transport, car les frais de fonctionnement d'un Antonov sont très élevés. Ils n'ont pas pensé à les transporter par bateau ? Pourquoi ne pas acheter un porte-avion usagé ? Avec nos sous-marins et nos « nouveaux » F-18, un porte-avion usagé ferait aussi l'affaire ! Vous savez quoi, ça me donne l'impression que tout est improvisé ! Technologie désuète Fondamentalement, avons-nous besoin de F-18 dont la technologie est désuète et qui selon toute vraisemblance ne feraient aucunement le poids contre des avions de chasse de 5e génération ? Dans le contexte des guerres modernes et urbaines, quelle est la valeur ajoutée, l'utilité, de procéder à l'achat de ces appareils ? Les gouvernements libéraux ont une f'cheuse habitude d'acheter du matériel militaire usagé. Personne (et surtout pas les contribuables) n'a oublié la désastreuse transaction du gouvernement de Jean Chrétien avec la Grande Bretagne dans les années 1990 pour l'achat de 4 sous-marins, au diesel, technologie qui était déjà dépassée depuis longtemps au moment de l'achat. Ces sous-marins ont coûté jusqu'à présent plus de 3 milliards de dollars et ont passé 91% du temps en cale sèche ou à quai. Mais au-delà de tous ces éléments de discussion, ma réflexion porte sur les répercussions sur le moral des troupes lorsque notre gouvernement fait l'achat d'équipement qui est bon pour la ferraille, pour le musée ou pour être installé en avant d'une filiale de la Légion royale canadienne. Et le moral des troupes ? Si je prends le temps de me mettre dans la tenue de vol d'un pilote de l'Aviation royale canadienne, j'aurais sans doute le moral dans les talons. Je me questionnerais sérieusement. J'aurais sans doute des craintes pour ma propre vie si jamais je devais être impliqué dans un combat aérien. Je me demanderais si notre gouvernement est véritablement sérieux dans sa stratégie de défense. En fait, je serais assez confus et déprimé. De mon point de vue, l'achat d'équipement militaire usagé ne peut qu'avoir un impact négatif sur le moral des troupes et un impact sur l'attrition du personnel. Par de fait même, cela doit aussi affecter le recrutement des personnes qui auraient un intérêt pour la carrière de pilote de chasse. J'ai tenté de rejoindre deux pilotes de chasse que je connais, mais je n'ai pas eu de retour. De toute manière, je doute fortement qu'ils aient commenté cet achat, ils sont trop professionnels. Nous avons l'une des meilleures forces militaires au monde sur le plan des ressources humaines. Une force qui est professionnelle, très bien entraînée et qui a démontré à maintes reprises son excellence lors de conflits ou d'opérations locales ou de maintien de la paix. Toutefois, pour demeurer parmi les meilleurs, nos soldats, marins et aviateurs doivent pouvoir bénéficier d'un équipement militaire à la fine pointe de la technologie. C'est aussi simple que ça ! Il est impossible de séparer le soldat de l'équipement militaire pour obtenir de bons résultats. Une fausse bonne affaire Bien évidemment, l'équipement militaire moderne est extrêmement cher et comme pays, nous avons des moyens financiers limités en matière de défense (budget de +/- 25 milliards en 2017). Comme nation, nous devons faire des choix en matière d'investissements dans les différentes sphères de la société. Conséquemment, avant d'acheter n'importe quoi dont des sous-marins au diesel qui devraient être stationnés à Pointe-au-Père en Gaspésie ou des F-18, il faudrait possiblement avoir une réflexion de fond sur nos intentions en matière de défense, sur nos alliances et sur notre capacité financière. Entretemps, le gouvernement de Justin Trudeau pourra continuer de penser qu'il a fait une bonne affaire et se réjouir d'avoir obtenu 7 avions F-18 sur les 25 qui seront utilisés par leurs pièces. À une échelle moins considérable il va sans dire, c'est comme le gars, très fier de son coup, qui s'achète deux Bombardiers ski doo Tundra 250cc 1988 dont l'un sera utilisé pour les pièces ! Il doit aller les chercher à Chibougamau et il habite en banlieue de Montréal. Il pense faire une bonne affaire ! Le Tundra à quand même 30 ans, il doit parcourir des centaines de kilomètres pour aller le chercher et son moral risque d'en prendre un coup lorsqu'il sera « stallé » dans les bois à des kilomètres de chez lui ! Une bonne affaire vous dites ! ? http://www.45enord.ca/2019/02/du-plomb-dans-laile-ou-plutot-de-la-rouille-sur-les-ailes-et-le-moral-dans-les-talons-f-18-australiens-canada/

  • État de l'industrie canadienne de la défense 2018

    25 mai 2018 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    État de l'industrie canadienne de la défense 2018

    Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDE) s'est associé à l'Association des industries canadiennes de défense et de sécurité (AICDS) pour diffuser publiquement un nouveau rapport sur l'industrie canadienne de la défense à l'intention des décideurs. Le rapport aborde notamment le renforcement de la capacité d'analyse par la recherche collaborative, les retombées économiques, l'innovation, les exportations et l'analyse des chaînes d'approvisionnement. https://www.ic.gc.ca/eic/site/ad-ad.nsf/fra/h_ad03978.html

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