16 mars 2021 | International, Aérospatial
Pakistan extends delayed T129 helo deal with Turkey — again
A diplomatic row between the United States and Turkey is continuing to jeopardize a planned procurement by Pakistan.
10 avril 2024 | Naval
The needs are perhaps most clear for the Navy, and yet even for that service, the technology — and the path to using it more widely — is still maturing.
16 mars 2021 | International, Aérospatial
A diplomatic row between the United States and Turkey is continuing to jeopardize a planned procurement by Pakistan.
23 juin 2020 | International, Aérospatial
By: Seth J. Frantzman JERUSALEM — Israel's defense export deals from 2019 totaled $7.2 billion and involved 120 different defense companies, according to the head of the Defense Ministry's International Defense Cooperation Directorate. The country's defense-related sales have been slightly declining over the last decade. Israel's defense export contracts in 2010 also totaled $7.2 billion, but was down to $5.7 billion in 2015. In his announcement, Yair Kulas said the large number of companies selling abroad “reflects the strength of the Israeli defense industry.” The former brigadier general added that he anticipated growth in government-to-government agreements in 2020, but noted that the coronavirus pandemic has “devastated the global economy and the defense sector.” Israel's three largest defense companies are Elbit Systems, Rafael Advanced Defense Systems and Israel Aerospace Industries. The local defense industry has experienced consolidation in the past few years, with IMI Systems now part of Elbit, and Aeronautics Limited acquired by Rafael. Ten years ago Israel was a world leader in UAV sales, but as its focus has changed, unmanned aerial systems now make up only 8 percent of the country's sales. Today's major markets for Israel are in radars and electronic warfare. The Elta ELM-2084 — the radar used in the Iron Dome air defense system — was sold to the Czech Republic in a government-to-government deal last year worth $125 million. Elta is a subsidiary of Israel Aerospace Industries. Israel has also inserted itself into the missiles market, among other products, in India, where there are several joint ventures. Israel is also a leader in multilayered air defense thanks largely to its Iron Dome and David's Sling systems, which Rafael co-produces with the American firm Raytheon. Elbit and other Israeli companies are also major suppliers of electro-optical technology. However, many Israeli defense deals are not made public, and the destination country for products is often not released. Israel says radars and electronic warfare suites made up 17 percent of the sales last year; missiles at 15 percent; and optics at 12 percent. Naval systems and vehicles were among the smallest portion of contracts. Slightly over 41 percent of sales were in Asia, while Europe and North America each accounted for a quarter of contracts. Africa and Latin America were both at 4 percent each. Israel historically sold UAVs and other items to Latin America and Africa, but the size of the purchases and lack of demand for the highest-end technologies appear to have led to minor contracts in these regions. Israel has been trying to turn the COVID-19 pandemic into an opportunity to work with foreign allies and partners, and not necessarily on defense but also medical needs. Israel's Defense Ministry says that Israel is among the top defense exporters in the world. Certainly per capita, the country is a global leader in defense exports. Up to 80 percent of its defense production is exported, according to the ministry. https://www.defensenews.com/global/europe/2020/06/22/israels-defense-export-contracts-were-worth-72-billion-in-2019
3 juin 2019 | Local, Aérospatial
Marc Godbout Justin Trudeau s'était engagé à ne pas acheter le F-35, l'avion de chasse de Lockheed Martin. Pourtant, de récentes manoeuvres rendent de plus en plus probable l'acquisition de l'appareil américain. Une réelle compétition aura-t-elle vraiment lieu pour remplacer les vieux chasseurs des Forces armées canadiennes? Les jeux de coulisse se sont intensifiés toute la semaine à Ottawa. L'enjeu est énorme : un contrat de 19 milliards de dollars pour 88 avions de combat canadiens. En toile de fond, le salon canadien des équipements militaires. Non seulement les lobbyistes sont plus actifs que jamais, mais leurs clients ont mis le paquet pour séduire et chercher à influencer le futur acheteur. Airbus et SAAB ont même fait venir d'Europe, par navire, des répliques de leurs avions de chasse respectifs. Mais au-delà des apparences, l'inquiétude s'est installée. Après le F-35, le F-35 Après des années d'attente, de dérapages et d'interminables débats, un appel d'offres du gouvernement fédéral doit finalement être lancé d'ici la mi-juillet. Il le sera juste avant la campagne électorale, près de quatre ans après l'élection des libéraux qui avaient promis d'amorcer le processus immédiatement en arrivant au pouvoir. Résultat? Le choix du gagnant ne sera annoncé qu'en 2022, et les premiers avions, livrés en 2025, au plus tôt. Les concurrents potentiels pour la construction des avions de chasse canadiens : Boeing (Super Hornet) Airbus (Typhoon) Saab (Gripen) Lockheed Martin (F-35) Quatre joueurs souhaiteraient être de la course. Mais le seront-ils tous? Le portrait pourrait très bien changer. Les pressions exercées par Washington sur Ottawa y sont pour beaucoup. L'administration Trump a obtenu des assouplissements au processus d'évaluation des retombées économiques au Canada pour s'assurer que le F-35 soit de la course. La politique canadienne d'approvisionnement militaire exige depuis très longtemps que les entreprises dépensent au pays l'équivalent de la valeur d'un contrat afin de renforcer l'industrie canadienne. Or, le programme du F-35, dont le Canada est l'un des neuf pays partenaires, est structuré autrement. Les entreprises canadiennes ont le droit de soumissionner pour des contrats mondiaux liés à la chaîne d'approvisionnement. Les pays partenaires ne peuvent, par contre, exiger des avantages économiques comme condition préalable à l'achat de l'appareil. Voilà que la récente révision obtenue par Washington permet à Lockheed Martin et son avion de ne pas être écartés de la compétition quoiqu'ils seraient pénalisés s'ils choisissent un système différent. On est donc bien loin de la promesse électorale de 2015 de Justin Trudeau, qui s'engageait à ne pas acheter l'avion de Lockheed Martin. Les libéraux ont tout fait pour se distancer du F-35 dans la foulée du fiasco qui collait à la peau des conservateurs. Mais la réalité a fini par rattraper le gouvernement Trudeau. « Sélectionner un appareil autre que le F-35 pourrait créer des tensions avec les Américains », soutient Justin Massie, professeur de science politique à l'UQAM. « Le F-35 est important pour l'administration Trump, qui veut développer davantage l'industrie militaire américaine. » Ce revirement a eu l'effet d'une douche froide chez les concurrents. « Il ne serait pas étonnant de voir des joueurs se retirer dès le départ ou en cours de route. Ils sont furieux », a confié à Radio-Canada une source très proche du dossier. Tant l'américaine Boeing que l'européenne Airbus et la suédoise Saab disent maintenant attendre « l'ensemble des exigences » de l'appel d'offres avant d'annoncer leurs intentions finales. « Nous sommes sur nos gardes [....] et de plus en plus incertains de vouloir nous lancer », a même indiqué un dirigeant de l'une de ces compagnies, sous le couvert de l'anonymat. Retour vers le futur Le temps est-il en train de jouer en faveur du F-35? Possiblement. « Le volume de production du F-35 entraîne la diminution du coût à l'unité qui est inférieur à celui de ses concurrents qui sont moins avancés sur le plan technologique », expliquait récemment Richard Shimooka dans un rapport de l'Institut Macdonald-Laurier. Alors que le coût par avion dépassait les 200 millions de dollars américains au début de la production en 2007, il devrait passer sous la barre des 80 millions d'ici 2020, selon le Pentagone. Plus de 390 appareils ont été livrés dans le monde. Et pas plus tard que cette semaine, le président américain annonçait la vente de 105 avions supplémentaires à l'issue d'un sommet avec le premier ministre japonais. Les pays qui ont choisi le F-35 : États-Unis Royaume-Uni Italie Pays-Bas Norvège Danemark Belgique Turquie Japon Australie Israël Corée du Sud Il s'est déjà écoulé neuf ans depuis l'annonce par le gouvernement Harper de l'achat de 65 avions F-35. « La modernisation de nos vieux F-18 a coûté beaucoup d'argent. Et l'acquisition de chasseurs intérimaires australiens a coûté au bas mot un milliard de dollars de plus aux contribuables canadiens », déplore Justin Massie. Neuf ans plus tard, le Canada a commencé à recevoir ses premiers F-18 australiens usagés, toujours dans l'attente d'une solution permanente. Il est quand même plutôt ironique de constater que l'Australie voulait s'en débarrasser pour recevoir ses premiers F-35 tout neufs. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1173077/canada-avions-chasse-f-35-achat-armee