3 juin 2021 | International, Naval

US Marines request more missiles, radars in FY22 wish list

The Marine Corps says additional funding in fiscal 2022 could support four key areas of investment that will set up the service for success in a fight against a peer adversary like China.

https://www.defensenews.com/congress/budget/2021/06/02/us-marines-request-more-missiles-radars-in-fy22-wish-list/

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  • Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    25 octobre 2019 | International, Aérospatial

    Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    OPINION. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », mais le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Par un groupe de travail au sein de l'association EuroDéfense-France(*). « Le Charles-de-Gaulle aura besoin d'un successeur », souligna Florence Parly, la ministre des Armées, au salon Euronaval en octobre 2018, en lançant une phase d'études pour la construction d'un nouveau porte-avions, qui pourrait entrer en service vers 2030-2035. Ce successeur sera-t-il isolé ? Ou en couple, comme le furent naguère le Clemenceau et le Foch ? Cette solution serait militairement préférable, permettant à la France de toujours disposer d'un b'timent opérationnel, tandis que l'autre serait en période d'entretien ou en refonte. Elle aurait toutefois un coût élevé, celui d'un seul navire étant estimé à 4,5 milliards d'euros. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. Dans sa mission Clemenceau, entre mars et juillet derniers, le groupe aéronaval, constitué par le Charles de Gaulle avec ses b'timents d'accompagnement, a participé à l'opération Chammal contre Daech au Moyen-Orient, puis a rejoint la région indo-pacifique pour une série d'exercices avec les marines de l'Inde, des États-Unis, de l'Australie, de la Malaisie et du Japon, et celle de l'Egypte au retour. Combat contre le terrorisme et coopération avec nos alliés ont ainsi conjugué guerre et diplomatie. Dans sa réponse aux propositions d'Emmanuel Macron en vue d'une réforme de l'Union européenne, Annegret Kramp-Karrenbauer, alors successeure d'Angela Merkel à la présidence de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne et désormais ministre fédérale de la Défense, a écrit en mars de cette année : close volume_off « Dès à présent, l'Allemagne et la France travaillent ensemble au projet d'un futur avion de combat européen... La prochaine étape pourrait consister en un projet hautement symbolique, la construction d'un porte-avions européen commun, pour souligner le rôle de l'Union européenne dans le monde en tant que puissance garante de sécurité et de paix. » Macron et Merkel ont plusieurs fois exprimé l'ambition d'une « armée européenne. » Si l'Europe veut tenir sa place dans le concert mondial, tel qu'il se dessine avec des puissances-continent comme les États-Unis, la Chine, la Russie ou l'Inde, elle doit se doter d'une capacité militaire d'action. Des progrès indéniables sont intervenus depuis 2017, notamment gr'ce à la coopération structurée permanente, le fonds européen de défense, l'initiative européenne d'intervention, mais l'Union européenne reste loin de disposer d'une véritable armée. Un porte-avions aux couleurs de l'Europe ? L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », comme l'écrit la responsable allemande, et ce navire pourrait montrer le drapeau de l'Union sur les mers du globe et aux approches des continents. Cependant, le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Un porte-avions est un navire de guerre et, s'il peut remplir des missions diplomatiques de présence, il faut, pour que celles-ci soient crédibles, qu'il soit aussi capable d'intervenir militairement, qu'il sache effectivement combattre. À cet égard, la réalisation d'un porte-avions peut paraître prématurée à ce stade de l'intégration européenne. Florence Parly a, en effet répondu, sur les ondes de RMC en mai dernier qu'on « n'en est pas encore tout à fait là », en évoquant les conditions d'emploi d'un tel navire. Il ne suffit pas de construire un porte-avions, encore faut-il être capable de l'employer, certes pour des missions de présence, mais également, si besoin, pour un engagement armé dans une crise ou un conflit. Or, l'on n'en est pas encore là. La brigade franco-allemande est déployée au Sahel, mais seules ses composantes françaises se battent contre les djihadistes, la partie allemande intervenant dans le cadre d'un mandat de l'Union européenne pour la formation de l'armée malienne ou dans celui de la force onusienne Minusma. Conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Faut-il alors abandonner l'idée d'un porte-avions européen ? Ne pourrait-on conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Un second porte-avions serait utile à la marine française. Un porte-avions européen signifierait une étape considérable dans l'affirmation militaire de l'Union, qui est en chemin. Pourquoi la France ne partagerait-elle pas un porte-avions ? Pourquoi ne pas engager la construction de deux porte-avions, le premier français, le second franco-européen. Celui-ci naviguerait sous le pavillon national, celui-là naviguerait généralement sous le pavillon européen et arborerait le pavillon français, quand l'autre serait indisponible. Le premier serait financé uniquement par la France, le second le serait à parité par la France et l'Union européenne. Budgétairement, l'opération serait rentable : la France disposerait toujours d'un porte-avions opérationnel pour un coût probablement inférieur à celui d'un b'timent et demi, une série de deux s'avérant à l'unité moins couteuse que la construction d'un seul ; l'Union européenne acquérait, de même, un porte-avions pour un budget inférieur sans doute à la moitié du coût d'un navire isolé. Mettre en œuvre un groupe aérien de qualité Des questions sensibles seraient à résoudre, l'une des premières concernant le groupe aérien. En effet, la puissance d'un porte-avions réside dans sa capacité mettre en œuvre un groupe aérien de qualité. La France est le seul pays européen à utiliser, comme les Etats-Unis, des catapultes. La Grande-Bretagne, l'Espagne et l'Italie déploient des porte-aéronefs avec des avions à décollage court ou vertical, aux capacités moindres. Le groupe aérien, qui réunirait des appareils capables d'apponter sur les nouveaux porte-avions, serait logiquement composé du futur avion de combat européen, dont le projet a été lancé par la France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne. Des évolutions devraient intervenir chez nos amis, soit, comme en Allemagne, pour reconstituer une aviation embarquée, soit, comme en Italie, pour choisir un avion européen. Des décisions significatives seraient nécessaires, mais ces pays, voire d'autres, pourraient vouloir développer une composante aéronavale moderne, dès lors que le coût budgétaire, né de la coopération européenne, serait raisonnable. Rien, techniquement, n'interdirait de créer des flottilles européennes d'avions pouvant apponter sur ces porte-avions. Un autre sujet délicat est celui de l'équipage. Celui-ci rend opérationnel le porte-avions, qui accueille des flottilles d'avions et l'état-major du groupe aéronaval. Il doit être en phase avec son navire. Quand le b'timent franco-européen naviguerait sous pavillon français, son équipage devrait, au besoin, pouvoir être engagé au combat, y compris avec ses membres non français. Développer la participation, étendre le périmètre de discussion S'agissant du groupe aéronaval, d'ores et déjà l'habitude est prise que des navires européens intègrent celui du Charles-de-Gaulle, y compris dans des missions d'engagement armé. Ainsi, chaque fois que ce b'timent a été déployé pour frapper Daech, il a été accompagné par de tels navires (allemand, belge, britannique et italien). L'existence d'un porte-avions européen développerait la participation des marines européennes, en contribuant à leur excellence. L'accord devrait intervenir également sur le système de propulsion, nucléaire ou non, et sur le partage des t'ches entre les industries navales, la France étant la seule, à ce jour, à disposer des compétences pour construire des porte-avions dotés de catapultes. D'autres sujets seraient à traiter, comme le port d'attache, la formation et l'entrainement, la chaîne de commandement... La résolution de certaines questions serait indéniablement délicate, mais possible en présence d'une vraie volonté politique. Cette volonté témoignerait d'un pas nouveau et significatif de l'Europe pour sa défense et de son rayonnement dans le monde. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/pourquoi-pas-un-porte-avions-franco-europeen-831590.html

  • Leonardo plans upgrades for its UK operations, as leaders meet

    16 septembre 2024 | International, Aérospatial

    Leonardo plans upgrades for its UK operations, as leaders meet

    The Italian defense group will invest £435 million ($575 million) in the UK this year, including upgrades to its helicopter production line.

  • For DoD cyber, 2019 is the year of doing

    31 janvier 2019 | International, C4ISR

    For DoD cyber, 2019 is the year of doing

    By: Mark Pomerleau Following a year of cyberspace strategizing, 2019 will be all about implementing rules and tools, according to the Department of Defense's top uniformed cyber policy adviser. Appearing Jan. 29 before the Senate Armed Services Subcommittee on Cybersecurity, Brig. Gen. Dennis Crall said the department knows where it needs to head following last year's DoD cyber strategy (the first in three years) and now is the time to show results. “This is the year of outcomes and that's what we're focused on — delivering the capabilities and improvements that we've discussed for some time,” he told the committee, adding that the strategy process allowed them to take a look at some departmental gaps and get after them. The strategy actually has actionable lines of effort and there are things they can do to measure progress, he said. The document lays out five objectives and five areas of interest under its strategic approach. The five objectives include: Ensuring the joint force can achieve its missions in a contested cyberspace environment; Strengthening the joint force by conducting cyberspace operations that enhance U.S. military advantages; Defending U.S. critical infrastructure from malicious cyber activity that alone, or as part of a campaign, could cause a significant cyber incident; Securing DoD information and systems against malicious cyber activity, including DoD information on non-DoD-owned networks; and Expanding DoD cyber cooperation with interagency, industry, and international partners. The five areas of interest under the guise of its strategic approach include building a more lethal joint force; competing and deterring in cyberspace; strengthening alliances and attracting new partners; reforming the department; and cultivating talent. The strategy also notes DoD must take action in cyberspace during day-to-day competition to preserve U.S. military advantages and defend U.S. interests. The focus will be on nation states that can pose strategic threats to the United States, namely China and Russia. “We will conduct cyberspace operations to collect intelligence and prepare military cyber capabilities to be used in the event of crisis or conflict,” the document says. Dana Deasy, the department's chief information officer, told the same committee that the threat from Russia and China is so acute he is briefed weekly from U.S. Cyber Command and the National Security Agency on them. This allows him to understand their offensive and defensive posture relative to the DoD. “Suffice to say that these are very strong, capable adversaries, but at the same time we have some strong, capable abilities ourselves,” he said. Cyber Command has now assembled a full force of cyberwarriors and received limited acquisition authority to start equipping them. However, there is much more work to be done. In fact, aside from individual tools, the force is still in need of a training range where cyberwarriors can do individual and collective training, as well as mission rehearsal, similar to rifle ranges or national training centers in the physical world. The Persistent Cyber Training Environment, being run by the Army for the joint force, will get after this; however, it is still in the prototype phase with a limited capability delivered to users. Additionally, the force needs a large-scale command-and-control platform that will house tools, provide commanders global situational awareness of forces and enable forces to plug into operations from remote locations. This is the goal of Unified Platform, which is also still in the prototype phase, though officials have said a limited product could be delivered as early as the spring. https://www.fifthdomain.com/dod/2019/01/30/for-dod-cyber-2019-is-the-year-of-doing

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