8 décembre 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

US and China Dominated Arms Market in 2019: SIPRI Report

China's heavy investments in the defense industry appears to be paying off with Beijing dominating the global arms market in 2019 while Russia is losing ground.

Total sales by the top 25 rose by 8.5% to $361 billion, or 50 times the annual budget of the U.N.'s peacekeeping operations. The United States is still number 1, accounting for 61% of sales by the world's top 25 manufacturers last year, way ahead of China's 16%, a Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI) report published Monday reveals.

In 2019, the top five arms companies were all based in the U.S. - Lockheed Martin, Boeing, Northrop Grumman, Raytheon and General Dynamics. These five together registered $166 billion in annual arms sales. In total, 12 U.S. companies appear in the top 25 for 2019, accounting for 61% of the combined arms sales of the top 25.

The largest absolute increase in arms revenue was registered by Lockheed Martin: $5.1 billion, equivalent to 11% in real terms.

Chinese companies that made its way to the global top 25 are Aviation Industry Corporation of China (AVIC; ranked 6th), China Electronics Technology Group Corporation (CETC; ranked 8th), China North Industries Group Corporation (NORINCO; ranked 9th), and China South Industries Group Corporation (CSGC; ranked 24th). Their combined revenue grew by 4.8% between 2018 and 2019.

“Chinese arms companies are benefiting from military modernization programmes for the People's Liberation Army,” SIPRI Senior Researcher Nan Tian said.

The only two Russian companies in the list - S-400 missile system manufacturer Almaz-Antey in 15th spot and United Shipbuilding in 25th - accounted for 3.9% of 2019 arms sales. The revenues of the two firms both decreased between 2018 and 2019, by a combined total of $634 million. A third Russian company, United Aircraft, lost $1.3 billion in sales and dropped out of the top 25 in 2019.

Alexandra Kuimova, Researcher at SIPRI, said: “Domestic competition and reduced government spending on fleet modernization were two of the main challenges for United Shipbuilding in 2019.”

For the first time, a Middle Eastern firm appears in the top 25 ranking. EDGE, based in the United Arab Emirates (UAE), was created in 2019 from the merger of more than 25 smaller companies. It ranks at number 22 and accounted for 1.3% of total arms sales of the top 25.

https://www.defenseworld.net/news/28477#.X8_0tdhKiUk

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La Belgique a choisi son allié américain La Belgique n'est pas le premier pays de l'UE a mettre un coup de canif dans l'Europe de la Défense. L'Italie et les Pays-Bas ont déjà fait le choix du F-35 plutôt que d'un avion européen. Si la Belgique justifie son choix pour des raisons techniques: coordination plus simple avec les pays voisins (comme les Pays-Bas), emport de bombes, interopérabilité au sein de l'Otan... la raison serait surtout diplomatique. "Le choix de l'avion de chasse fait partie des achats les plus stratégiques pour un pays. C'est une arme de souveraineté et choisir une technologie, c'est s'engager pour 30 ou 40 ans. Vous êtes ensuite pieds et poings liés avec votre fournisseur", affirme Philippe Plouvier, directeur associé au Boston Consulting Group sur les questions de défense et d'aéronautique. "Si vous faites une carte du monde, des achats d'avions de chasse par pays, c'est très révélateur des alliances. Quand la Belgique choisit le F-35, elle choisit un parapluie de défense américain plutôt que franco-allemand", poursuit-il. Une explication que donne aussi, à demi-mot, ce vendredi le premier ministre belge Charles Michel: "Pour moi les Etats-Unis ne sont pas devenus un ennemi parce que Donald Trump est président". Et malgré les "divergences de vues" avec Washington "la sécurité pour nos petits-enfants sera liée au maintien et au renforcement d'une double alliance, européenne et transatlantique". Un avion très cher et pas encore opérationnel Car mieux vaut rester ami avec le pays qui vous vend des avions de chasse. Le choix du F-35 ferre la Belgique: "que se soit en termes de pièces détachés ou de mise à jour logicielle... Sans les Etats-Unis, les F-35 belges n'iront pas très loin”, concède Philippe Plouvier. Pour justifier leur choix, les Belges ne pourront en tout cas pas brandir l'argument du prix. Le coût du développement du F-35 a explosé les estimations de départ. 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