28 juin 2021 | International, Aérospatial

U.S. Air Force selects Electra for ultra-short takeoff aircraft development | Aerotech News & Review

The U.S. Air Force has signed a contract with Electra to strengthen advanced air mobility markets through the development of hybrid-electric propulsion...

https://www.aerotechnews.com/blog/2021/06/25/u-s-air-force-selects-electra-for-ultra-short-takeoff-aircraft-development/

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    12 septembre 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    French joint chief calls for coordinated European force

    By: Pierre Tran SATORY ARMY BASE, France — Nations in Europe need to forge a more coordinated forceacross the continent, with each ready to step up to play a leadership role during conflict, said the French joint chief of staff. “The future of the defense of nations on the continent cannot be considered outside the European framework,” Army Gen. François Lecointre told the Summer Defense University, a two-day gathering of senior officers, parliamentarians and industry chiefs. “In the context of doubt over multilateralism, greater fragility of alliances and America's refocus of attention to the Indo-Pacific region, the European continent must confront — increasingly on its own — all kinds of threats: might, terrorism, hybrid, cyber and migration,” he said. That use of the term “might” referred to unspecified nations perceived to pose a threat to Western allies. That calls for a common vision in strategy and capability, with a country ready to take the role of a “leader nation,” he said. The aim is to build a “European strategic autonomy,” he added. The French armed forces minister, Florence Parly, came to the army base, just outside Versailles, west of the capital, and watched a dynamic display staged by the Army. The service fielded a Jaguar combat and reconnaissance vehicle, a VBCI infantry fighting vehicle carrying a squad of troops, a robotic vehicle carrying a wounded soldier, and a Leclerc main battle tank carried by a tank transport. France invites foreign officers and political leaders to the high-level annual gathering, organized by CEIS, a think tank and consultancy. https://www.defensenews.com/global/europe/2018/09/11/french-joint-chief-calls-for-coordinated-european-force

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    15 mars 2021 | International, Terrestre

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    The company hopes the French forces will sign on as an initial client for the futuristic ride.

  • Florence Parly lance une initiative européenne de défense à neuf

    26 juin 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Florence Parly lance une initiative européenne de défense à neuf

    LUXEMBOURG (Reuters) - Neuf pays européens dont l'Allemagne, la Belgique et le Royaume-Uni ont signé lundi la lettre d'intention de l'initiative européenne d'intervention (IEI) prônée par Paris pour porter une approche novatrice de la défense hors des dispositifs de l'UE. Par l'IEI, la France ambitionne de doter les Européens d'une capacité d'action et de prévention autonome de l'UE, pour des conflits mais aussi des crises humanitaires ou environnementales, en mutualisant la planification militaire, le soutien aux opérations, l'anticipation et le renseignement. “Face aux doutes éventuels, il faut affirmer ses convictions”, a déclaré la ministre des Armées Florence Parly à l'issue de la signature. “Les Européens doivent être forts, les Européens doivent être capables, de plus en plus, d'assurer leur protection et leur souveraineté et donc cette initiative est en faveur de la souveraineté européenne”, a-t-elle ajouté. L'Allemagne, la Belgique, le Danemark, les Pays-Bas, l'Estonie, la France, le Portugal, l'Espagne et le Royaume-Uni ont signé lundi à Luxembourg le premier acte de l'initiative. La ministre des Armées, qui a porté le projet qu'Emmanuel Macron avait appelé de ses voeux en septembre lors d'un discours à la Sorbonne, a estimé qu'il répondait en outre aux appels américains pour une Europe qui assume plus sa sécurité. “Cette étape va permettre de commencer très vite des travaux communs qui impliqueront les états-majors des différentes forces armées”, a-t-elle précisé dans un entretien au Figaro. “Une première rencontre aura lieu mi-septembre à Paris pour mettre en place un programme de travail concernant l'anticipation, la planification et l'organisation d'exercice”, poursuit-elle, évoquant l'étude de scénarios concrets, “par exemple pour préparer l'exfiltration de ressortissants”. Absente de la liste des signataires, l'Italie “réfléchit à la possibilité de rejoindre cette initiative, mais n'a pas pris de décision définitive”, a précisé Florence Parly. Dans un communiqué, elle ajoute que “d'autres pays européens, capables, volontaires et partageant les objectifs de l'IEI, pourront rejoindre l'Initiative européenne d'intervention”. MOBILISATION PLUS RAPIDE L'accord à neuf a ménagé des concessions à l'Allemagne sur le maintien d'un lien fort entre l'IEI et la Coopération structurée permanente (Pesco ou CSP), le pacte de défense entériné en décembre dernier par 25 pays de l'Union européenne (excluant un Royaume-Uni sur le départ). “L'Allemagne ne souhaitait pas que l'Initiative européenne d'intervention soit détachée de la CSP. C'est parce que nous maintiendrons entre les deux mécanismes un lien fort qu'elle a décidé d'adhérer”, a précisé Florence Parly. En dépit d'inquiétudes quant à l'accumulation de dispositifs, le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a salué la décision, jugeant que l'initiative faciliterait la modernisation des armées européennes et leur rapidité de mobilisation. “Je pense que cela peut renforcer la disponibilité des forces, car nous avons besoin d'une disponibilité élevée”, a-t-il déclaré à la presse en marge de la réunion des ministres de la Défense et des Affaires étrangères de l'Union européenne. Paris, qui entend stimuler des réponses européennes plus promptes face aux crises, se place au centre d'une réorganisation des structures européennes de défense post-Brexit, en incluant la puissance militaire britannique au sein de cette nouvelle initiative. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Mass, a paru lundi partager l'impatience française et a dit souhaiter que la politique étrangère européenne soit décidée par un vote à la majorité à l'avenir, et non par une décision à l'unanimité. Londres entend conclure un traité avec l'Union européenne en matière de sécurité d'ici 2019, en vue notamment de garder après le Brexit accès aux bases de données, contrats d'armement et au partage d'informations au sein de l'Union, un projet soutenu par plusieurs Etats membres mais dont d'autres ne veulent pas. “Notre engagement dans la sécurité de ce continent est sans conditions”, a déclaré lundi un diplomate britannique, qui déplore la vision idéologique de certains pays pour lesquels le départ du Royaume-Uni de l'Union doit être total. https://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN1JL1S2-OFRTP

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